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Editions Lunatique
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Le recueil s'ouvre avec Je vis pédé : je dis pédé / parce que c'est ma vie / parce que ça salit / mais qu'on s'en fout / que ça suinte / que ça sente / et qu'on brille / comme des lucioles / des astres en feu / dans la nuit. Et les garçons, la nuit, s'envolent, en quête d'affection et de stupre. Mots âpres, crus et sauvages, pour dire l'incandescence des corps dans l'exaltation fiévreuse des nightclubs ; mots naïfs et sensuels pour décrire un « quality time » tendre et idéal (quelques promesses / après la baise / c'est bien). En somme, le recueil de Florian Bardou est une déclaration d'amour à la vie (Éros) et aux corps des hommes.
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Le phrasé, singulier, captive, les images fusent, l'écriture est immersive. Florian Bardou délivre ici une poésie étourdissante et syncopée, pleine de mouvements, de sueur, de rapprochements et de torpeur. Les répétitions phoniques impulsent à Clubs une effervescence stroboscopique qui n'est pas sans rappeler le dancefloor sous une boule à facettes. Sono, alcools, pression des mains, douleur des pieds, battements des coeurs, tout est plus fort dans un nightclub. Et le sentiment de vivre, aussi.
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La Rochelle-Paris est une invitation à redécouvrir les mots et merveilles du langage poétique. Une inspiration puisée dans le quotidien de l'auteur, une respiration dans le quotidien du lecteur.
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Je regarde dans la fenêtre écrire un poème
Angélique Condominas, Frank Schluk
- Editions Lunatique
- 26 Juin 2021
- 9782383980117
PRÉ EN BULLES
Une « aventure du libre écrire. En laissant l'orthographe, la syntaxe et tous ces trucs de maîtrise de la langue au placard, à l'heure des poèmes. Non que ces trucs ne nous tinssent pas à coeur ! Nous voulions juste qu'ils n'encombrassent pas l'écriture de chacun de l'appréhension de la fÔte et qu'ils n'inhibassent point le jaillissement spontané dans la prairie du verbe que nous souhaitions fertile.
Et nous avons ainsi eu le privilège de regarder un écosystème de mots se développer tout au long de l'année. Des fleurs, des bulles, des papillons, des licornes. Mais pas seulement. Un regard sans fard sur la vie, sur la mort, et puis, en creux, dans les plis de la parole jeune et peut-être naïve (va croire !) des considérations sur la liberté. Ou son absence. La lucidité écologique sur le désastre en cours. Sur le temps qui passe et sa relativité.
[...] C'est tout cela que nous vous restituons aujourd'hui.
Une brassée de poèmes de mômes dans laquelle la main de l'adulte n'a pas mis le pied. »
Angélique Condominas -
Dialogue d'amant à amant, d'un vivant à un mort, d'un mort à un vivant. Qui est l'un, qui est l'autre ? D'autant plus difficile à dire quand confluent dans nos bouches gorgées d'herbe pourpre deux apories mêlées de temps et d'espaces. Il y a là la présence, que ravive la mémoire ; et il y a l'absence, pour l'éternité. Cependant que sur les souvenirs heureux et sensuels plane l'ombre de la douleur, la poésie érige objets du vivre au quotidien et paysages en allégories. De page en page sinue un chemin menant à l'apaisement, à une possible réconciliation avec la vie.
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« Dans le vocabulaire géologique, un trémor est un séisme engendré par la remontée du magma lors d'une éruption », prévient Saïd Mohamed en exergue. Et il est vrai que son recueil bouscule, ébranle, avec une véhémence peu commune. Les mots bouillonnent, les images s'entrechoquent, et de là naît toute la magie qu'on appelle poésie. Déambulation d'un éternel déraciné dans des paysages réels ou intimes, délabrés ou sublimes, Trémorscélèbre l'amour, l'amitié, le partage de peu mais de l'essentiel. On y entend la douceur d'une promesse et la raucité de celui n'a de cesse d'élever la voix pour partager ses aspirations, ses convictions et ses espoirs. Avec Trémors, Saïd Mohamed ouvre son coeur, et déferle toute la tendresse du loup.
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Une invitation à déjeuner s'affiche sur l'écran du mobile, et le fragile équilibre d'une vie de famille ordinaire menace de s'effondrer sous le poids des souvenirs. Les coups, les mots, qui n'épargnaient ni la fille ni le garçon, la colère du père, la passivité de la mère, et l'insupportable douleur d'une enfance brisée que la mort parfois tentait. Alors, elle fera comme la docteure l'a conseillé, lâcher l'affaire sinon elle va pas s'en sortir. Les poèmes ainsi s'égrènent, peignant par touches délicates un quotidien tristement oppressant, violent. Pas d'apitoiement cependant, ça a le cuir dur, un éléphant, quand bien même il se meut dans un magasin de porcelaine.
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Après une plongée dans le monde la nuit (Les garçons, la nuit, s'envolent, Prix du Roman gay - recueil de poésies 2023) et l'exploration de la vie nocturne dans les grandes villes du monde (clubs), Florian Bardou dévoile, avec Les étés de l'homme nu, la douceur de vivre nu au soleil. Évoluant dans un décor paradisiaque, les corps s'affichent avec nonchalance. Les naturistes ici s'adonnent à des activités innocentes (bain de mer, pêche sous-marine, randonnée), se nourrissent avec frugalité et délectation ; ce qui ne les empêchent pas de temps à autre de lorgner les beaux garçons... Une leçon de vie au naturel, dans le respect de soi, des autres et du monde environnant.
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Ce n'est pas ce que tu n'as pas dit, mais la manière dont tu t'es tu
Myriam Oh (ould-hamouda)
- Editions Lunatique
- 26 Juin 2021
- 9782383980100
Ce n'est pas ce que tu n'as pas dit, mais la manière dont tu t'es tu est né d'une réflexion sur les difficultés de communication. Exploration poétique des mille et une manières de se dire, de construire des ponts sur le monde, de tisser des liens avec l'autre. Y sont tour à tour disséqués : l'appréhension de la vie au présent ; le retour aux sources, les racines ; des tentatives de définition de l'amour ; des tentatives de réconciliation entre le paraître et l'être ; l'empathie et l'écoute bienveillante ; les idées qu'on se fait et dont on veut se défaire, pour choisir au milieu de ce chaos qui n'est qu'une réalité parmi tant d'autres, celle dans laquelle on veut s'engager pour un bout de chemin ; et le lâcher-prise.
Dans une langue cadencée qui claque, à la portée de tous bien que richement travaillée, Myriam OH (Ould-Hamouda) déroule ses poèmes comme autant d'histoires, sincères, touchantes, peut-être personnelles (je, tu), mais assurément universelles. -
Dans J'ai du mal, Sandra Bechtel dissèque son quotidien en fines tranches de vie, savoureusement féroces. Elle écrit comme elle pense, comme ça vient, sur tout, sur rien. Surtout sur rien. Et c'est ça qui est bien.
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Mémoires d'une enfant dérangée s'adresse « à toutes les petites filles qui neveulent plus être sages ». Et l'on pourrait même ajouter : à tous ceux et celles qui rêveraient de renouer, ne serait-ce que le temps d'une lecture, avec leur enfance ; qui voudraient avoir de nouveau l'âge où malice et candeur se confondent, où tout est encore possible, où tout est essentiel.
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Scènes d'intérieur sans vis-à-vis
Myriam Oh (ould-hamouda)
- Editions Lunatique
- 26 Juin 2021
- 9782383980094
Scènes d'intérieur sans vis-à-vis est une déclaration d'amour tout empreinte de poésie à eux, les invisibles, les inaudibles, les refoulés de la vie et les ignorés du monde. C'est une déclaration d'amour aussi à la langue, aux mots tout simples et aux expressions toutes faites, dont Myriam OH (Ould-Hamouda) se joue pour mieux déjouer la banalité d'un monde sans pitié, et lui insuffler du rythme, du sens, de l'esprit et du coeur. Ici, pas de faux-semblant, la poésie de Myriam OH ne prend pas de gants pour dépeindre la vie des gens. On est en plein dedans, et on aime, forcément.
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Éprise de liberté, Charlotte Monégier a toujours voyagé, avec pour seul compagnon de route, un carnet dans lequel écrire, raconter ce qu'elle vivait : être sur la route, ne pas savoir où dormir le soir, faire des rencontres toutes plus improbables les unes que les autres. Au bout du monde, tout est plus fort, tout est plus intense, surtout quand on est seul et que les repères habituels ne sont plus que des points de bateaux à l'horizon.
L'écriture de Voyage(s) s'est terminée à Clichy, au début de l'année 2021, et ces poèmes traduisent l'émotion qu'elle a pu ressentir sur le moment, quand elle foulait le sol de tous ces lieux visités. Une émotion retranscrite en décalage, amplifiée peut-être aussi, et mâtinée de nostalgie pour cette jeunesse et cette liberté qu'elle aura désormais du mal à retrouver. -
marche nage Vole suit une femme dans sa quête d'émancipation ; et Virginie Séba nous incite, tous·tes, à regarder sentir renifler goûter toucher entendre toutes les jolies choses de la vie, à en jouir, corps et âme, car c'est ainsi qu'on aime la vie. Elle nous souffle aussi que d'une chute, terrible, brutale, on se relève, qu'on le peut, qu'on le doit, pour aller de l'avant.
Rythmé, généreux, poétique et inspirant, ce recueil est un vrai dopant pour tous celleux qui le lisent. Il encourage à aimer la vie jusque dans les petits riens que trop souvent on oublie, on ignore, à prendre des risques, à se bouger (à vélo dans les rues de Paris ! mais pas que), à rencontrer des gens, à satisfaire ses envies et à exaucer ses rêves - à vivre, tout simplement. -
Dans Des Astres se mêlent jusqu'à se confondre douleur et douceur, sans heurts ni leurre. Ainsi, c'est par petites touches délicates que Julien Transy pose ses mots épars sur la page, et esquisse les portraits tout en vulnérabilité de deux femmes aux prénoms célestes, Luna et Stella, en prise avec « la vie d'après ». Car, drame familial ou rupture amoureuse, les histoires ne sont que rarement banales et peuvent laisser à tout jamais bancal.
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Les poèmes c'est des petits sons qui nous émerveillent ou nous chatouillent entre les paupières et nous créent une belle imagination.
Pablo C.
Création littéraire épistolaire France - Madagascar
Partenariat : École élémentaire de Loulay, duo d'auteurs Frangélik, Alliances Françaises de Sambava, Mahajanga, Antsirabe et Fort-Dauphin, et éditions Lunatique -
Initialement publié en 1989 au Dé bleu, Délits de faciès est toujours d'une accablante actualité. « Pourquoi reprendre des poèmes écrits il y a plus de 30 ans ? Parce que rien n'a changé. Désespérément rien ! Le "délit de faciès", c'est le délit de sale gueule, celui de l'étranger, de l'exilé, du demandeur d'asile, de l'immigré. De l'Autre : le maudit, déchu de classe ou de peau. Rien n'a changé : frontière, traque, peur, ghetto, solitude, doutes, illusions, alcool... "Chacun de mes pores te révulse, / tu insultes la chienne / capable de porter pareille bâtardise, /et me cloues au rire des gueux." Le texte de 1989 traduit déjà la colère du poète. Les mots convulsés, implacables, sans détour, sont le miroir des noirceurs d'un monde, du tragique de ces vies condamnées avant de naître et d'un ordre destructeur qui persiste "à l'ombre des lâchetés". » Mustapha Harzoune, Hommes & migrations, 1342 | 2023, 216
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Le Cafard hérétique n° 15
Alexandre Nicolas, Denis Moreau, Dominique, Julien Boutreux, Myriam Oh (Ould-Hamouda), Romane Gonzalez, Thomas Louis, To
- Editions Lunatique
- 11 Mars 2021
- 9781094318158
Contributeurs et contributions :
Alban Kacher // 37.12. 22.85 (p. 88)
Alexandre Nicolas // Poésies (p. 112)
Denis Moreau // Nul autre qu'Alphyre (p. 42)
Dominique Touri // Edgard (p. 76)
Dorothée Coll // Poésies (p. 58)
Julien Boutreux // Peut-être (p. 60) + Anagrammes (p. 128)
Myriam OH (Ould-Hamouda)
// Si tu me cherches, j'explore le chaos (p. 4) + J'arrive (tu peux mettre la table) (p. 68) + Flemme (p. 97) + de nombreux autres poèmes
Romane González // Filles mortes (p. 131)
Thomas Louis // Rôti (p. 30)
Tom Saja // L'Homme qui ne dort plus (p. 20)
Victor Malzac // Cahier de doléances (p. 12)
Yan Kouton // Poésies (p. 31)
Éditeur invité :
Lunatique
Photo de couverture et photos intérieures :
lachaisetriste -
Le Cafard hérétique n° 16
Alain Faure, Alexandre Nicolas, Chantal Noel, Charlotte Monegier, Dorothee Coll, Eve Vila, Guillaume Marie, Jean Dupont
- Editions Lunatique
- 13 Juillet 2021
- 9781094318165
Contributeurs et contributions :
Alain Faure // Ma Femme m'a quitté (p. 118)
Alexandre Nicolas // À bord de l'invisible (p. 84) + Somnambule (p. 88) + Le mouvement de l'attente (p. 92) + Résurgence (p. 94)
Chantal Noël // La Main verte (p. 98)
Charlotte Monégier // Les cinq leçons de Rosita (p. 56)
Dorothée Coll // Le bruit sourd (p. 4) + Matin violent (p. 5) + Crier, crire, écrire (p. 104) + Oppression (p. 106) + Un serpent autour du coeur (p. 108)
Ève Vila // Sentinelles (p. 66)
Guillaume Marie // J'aurais bien bu ma bière (pp. 74-80)
Jean Dupont // L'amour au premier regard (p. 16)
Jean-Jacques Nuel // Poèmes courts (pp. 45-52) + Part-Dieu (p. 53) + Rétro (p. 54) + Lyon - La Mulatière (p. 55)
Martin Zeugma // On ne plaisante pas avec Billy Joe Red Killer (p. 24)
Mickaël Auffray // Il pleut des zèbres (p. 121)
Mehdi Ikaddaren // Le Mascaret (p. 6)
Myriam OH (Ould-Hamouda) // Quelque part sur cette terre (p. 112) + Je me cherche dans la penderie de la chambre (p. 114) + je suis fatiguée qu'on me dise non (p. 116)
Raymond Penblanc // L'orphelin éternel (p. 12) + Fantômes (p. 14)
Photo de couverture et photos intérieures : lachaisetriste -
Le Cafard hérétique n° 17
Alexandre Nicolas, Christine Monot, Dorothee Coll, Fabien Sanchez, Maroine Baghat, Martin Zeugma, Romain Paris, Samuel D
- Editions Lunatique
- 27 Janvier 2022
- 9781094318189
Contributeurs et contributions :
Alexandre Nicolas // poèmes (p. 64)
Christine Monot // Le Petit Fauvette (p. 26)
Dorothée Coll // La colère ne dort que d'un oeil (p. 48)
Fabien Sanchez // 7 poèmes presque fleuve (p. 6)
Maroine Baghat // Dix Visions (p. 41) // La recette de la peur (p. 44)
Martin Zeugma // Pseudo (p. 24 ) // Battre la campagne (p. 50) // Scintillements (p. 55 ) // Les vers (p. 56)
Romain Paris // Kif-Kif (p. 124)
Samuel Deshayes // La nature : des choses (p.74)
Stéphane Rosières // La Pénélope des conteneurs (p. 100)
Thomas Louis // Le Goût de l'antidote (p. 12)
Victor Malzac // Tant pis (p. 108)
Yan Kouton // poèmes (p. 86)
Photo de couverture et photos intérieures :
lachaisetriste
éditeur invité : La revue Graminées -
Le Cafard hérétique n°18
Sandra Bechtel, Alain Faure, Christine Monot, Yan Kouton, Gaston Vieujeux, Yvan Robbere, Romain Paris, Dominique Tou
- Editions Lunatique
- 8 Juillet 2022
- 9781094318196
Contributeurs et contributions :
Sandra Bechtel // 4 saisons en enfer, p. 4
Charlotte Monégier // Roselend, p. 14
Julien boutreux // Quelques mots barrés, p. 2
Yvan Robberechts // poèmes, p. 32
Nathalie Barrié // Le Baiser de Circé, p. 57
Gaston Vieujeux // poèmes, p. 64
Yan Kouton // poèmes, p. 68
Raymond Penblanc // La petite famille, p. 74
// L'esprit de famille, p. 78
Tom Saja // poèmes, p 84
Christine Monot // Arkansas, p. 89
Alain Faure // La trêve hivernale, p. 98
Dominique Touri // Pour quelque temps encore, p. 107
Romain Paris // Kif-Kif, épisodes 4 & 5, p. 114
éditeurs invités : Et le bruit de ses talons
Chèvre-feuille étoilée
Photo de couverture et photos intérieures :
lachaisetriste -
Le Cafard hérétique n°19
Richard Huitorel, Grégory Rateau, Stéphane Rosière, Sandra Bechtel, Xavier Serrano, Guillaume Marie, Gaston Vieujeu
- Editions Lunatique
- 14 Octobre 2022
- 9791094318102
Photo de couverture et photos intérieures : lachaisetriste
Contributeurs et contributions :
Richard Huitorel // Le Goéland, p. 4
Grégory Rateau // poèmes p. 10
Stéphane Rosière // Mon étoile est née, p. 18
Sandra Bechtel // Être une femme, cette joie de chaque instant, p. 28
Xavier Serrano // La Bibliothèque invisible, p. 60
Guillaume Marie // Éléments d'une éthique nouvelle, p. 78
Gaston Vieujeux // poèmes, p. 83
Samuel Deshayes // Catalogue, p. 90
Clémence Bergerot // Ängslilja, p. 92
Raymond Penblanc // Un été dans le verger de mon père, p. 96
Martin Zeugma // Il y a des soirs..., p. 102
Véronique Liégard // Je « est » plein d'autres, p. 108
Alexandre Nicolas // poèmes, p. 116
Karen Cayrat // Ce qui brûle, p. 123
Viviane Campomar // Rosalie, p. 130
Romain Paris // Kif-Kif, épisode 6, p. 133 -
Quand naïveté rime avec lucidité. L'envol du carton est un court poème illustré par l'auteur lui-même, tout empreint de candeur pour dire sans concession la dure réalité de la vie dans la rue.
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Et si nous allions voir ensemble un film
D'Ingmar
Bergman??
Un film purement intellectuel
Qui dépeint la tentation de la chair l'érotisme la luxure et l'adultère mais
De manière purement intellectuelle
Le personnage principal en serait une actrice pulpeuse Uma Ingrid
Eva Liv Monika
Avec laquelle le réalisateur aurait dû tromper sa cinquième femme
pour expérimenter
De manière réflexive
La meilleure manière de tourner telle ou telle scène