Filtrer
Rayons
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
- Sciences humaines & sociales
- Sciences & Techniques
- Scolaire
- Parascolaire
- Dictionnaires / Encyclopédies / Documentation
Éditeurs
Formats
M.E.O.
-
« Dans ce recueil de proses poétiques, Daniel Simon évoque la beauté fugace du monde, la fuite du temps et l'instabilité socio-économique ambiante. Mais plutôt que de se livrer à une "radiographie" du monde comme il va, le poète part de l'observation minutieuse de notre quotidien afin de dresser un portrait tantôt onirique tantôt réaliste de notre petite communauté humaine et mettre au jour la grandeur des âmes et des choses. Ainsi, à travers ces textes nés de rencontres et de perceptions diverses, Simon fustige un monde dans lequel l'individu a tendance a disparaître dans la masse monétaire et est séparé de ce qu'il est vraiment. Bref, en faisant le procès d'une époque où l'on a de plus en plus de mal à dissocier la réalité formelle de la réalité objective et où la superficialité voire la vulgarité deviennent la norme, le poète dénonce les falsifications de la vie et nous invite à dépasser le stade des représentations pour sortir de l'ignorance dans laquelle on est maintenu et saisir toutes les potentialités de l'existence. Car, et c'est l'originalité du propos de ce livre, si le poète déplore la déshumanisation qui gangrène nos sociétés modernes, il excelle également à mettre en valeur les « beaux fruits » que nous offre le monde... (Pierre Schroven, Traversées).
Daniel Simon est né en 1952 à Charleroi, Belgique. Il vit aujourd'hui à Bruxelles, après le Maroc et le Portugal. Dramaturge, metteur en scène et comédien, poète, nouvelliste, critique littéraire, éditeur, animateur culturel, pionnier et théoricien des ateliers d'écriture qu'il a tenus et tient toujours en de nombreux pays, il affectionne le texte bref et le poème en prose, qui lui permettent, par la fenêtre de son logis ou de son être, de vouer à l'étrangeté du monde son regard perplexe de faux naïf. Il écrit sur les courses contre soi et les rétrécissements du temps, les vulgarités ordinaires et les trahisons communes, il écrit aussi à propos de la beauté fugace du monde où il s'est promené longtemps. -
Né à Charleroi (Belgique) le jour des Saints-Innocents 1940,
Raymond-Jean Lenoble, futur médecin gynécologue, a publié son premier recueil (prix Marin) à 18 ans. De poète, il devient aussi revuiste, auteur de théâtre et auteur compositeur de plusieurs albums de chansons poétiques. Ce nouveau recueil est un retour en arrière. Bilan poétique d'une vie, recul, détachement, sagesse empreinte de questions.
« (...) l'oeuvre de Raymond-Jean LENOBLE se distingue par une écriture serrée, dense et légère à la fois, propre à exciter la curiosité sinon le mystère.(...) patiente recherche de soi à travers le secret des mots. (...) Raymond-Jean LENOBLE pose ses propres interrogations et s'efforce de déjouer les pièges du temps (...) Une oeuvre aux éclairages indirects et aux saveurs multiples qui s'énonce finement sans jamais chercher à conclure... »
Robert Frickx et Raymond Trousson, Lettres françaises de Belgique -
« Qu'admirer de plus dans cette poésie de Lana Derkac sous le beau titre Qui a mis en rang les gratte-ciels? (Ed. M.E.O.) ? Sans doute, l'originalité des images, leur force, le souffle d'amples poèmes. Le poète radiographie le réel et nous invite à le relire, à l'aune de sa poétique imagée : les métaphores règnent sur ce territoire marqué du sceau de l'étrange. Cette poésie, prête à tout, compile les fragments de modernité et nous fait poser les questions essentielles : y circulent le tsunami, l'euro, les droits de l'homme et tant de matières, qui, naturellement offrent à cette poésie une aura d'étrangeté bienvenue. Tout y est possible, jusqu'à broder des autoroutes ou "définir sur ma paume/ où précisément commence le Sahara". Ph. Leuckx, le Journal des Poètes.
Lana Derkac, née à Pozega (Croatie) en 1969, a publié une dizaine de recueils de poèmes, deux recueils de textes brefs ainsi qu'une pièce de théâtre. Elle est l'auteur de deux anthologies de poésie, l'une en collaboration avec l'écrivain croate Davor Salat, l'autre avec le poète indien Thachom Poyil Rajeevan. Elle a obtenu plusieurs prix littéraires dans son pays, figure dans la plupart des anthologies croates et a été l'hôte de nombreux festivals de poésie, en Croatie comme à l'étranger. De ses poèmes ont été traduits dans une quinzaine de langues et publiés en revues ou en recueils collectifs -
Recueil de poésie bilingue français-croate. « Il y a dans ce recueil une énergie créatrice et une générosité lexicale qui interpellent. Par ailleurs, l'excellente traduction du croate en français par l'auteur et Gérard Adam révèle plus précisément une exigence formelle et une inventivité intéressantes. Au seuil de la souffrance, historiquement présente, le sentiment d'abandon se retrouve à peu près dans chaque texte. Abandon, perçu dans sa double valeur sémantique, et qui suggère tantôt le renoncement (à soi et aux éléments), tantôt la rupture. Un violent sentiment d'incomplétude alimente une poésie par ailleurs investie par le sentiment amoureux. Le poète procède par ajouts; il progresse dans son intention de ne rien laisser au doute, de ne jamais céder à la confusion. Autant de greffons qui s'articulent sur une charnière robuste et explicite. À d'autres moments, Tomislav Dretar privilégie le mètre court, le vers disloqué, sans doute pour provoquer l'effet de surprise ou d'aliénation. On se réjouira de la qualité des chutes qui identifient le poème tout entier. Une lecture complice et fraternelle. » (Michel Joiret, extraits d'article) Né en Croatie, Tomislav Dretar a été professeur à l'Université de Bihac (Bosnie-Herzégovine) jusqu'à l'éclatement de la guerre en 1992. Par ailleurs, poète et critique, il a publié une dizaine de recueils, dont des extraits figurent dans plusieurs anthologies bosniennes, ainsi que de nombreux articles en journaux et revues. Forcé de fuir la Bosnie durant la guerre, il s'est réfugié en Belgique où il vit depuis lors et a obtenu la nationalité belge. Il y a étudié le français, traduit en croate plusieurs auteurs francophones ainsi que la Bible et le Coran. Il collabore aussi à la traduction en français d'auteurs croates et bosniens tout en continuant d'écrire.
-
« Tomislav Dretar cultive le paradoxe d'avoir fui un pays éclaté par la guerre pour rejoindre un pays au bord de la scission. Ce paradoxe est d'ailleurs évoqué dans un recueil faisant la part belle à une ville de Bruxelles servant de prétexte à l'auteur pour dresser l'état du monde comme il va... Avec un humour caustique et un sens de l'autodérision saisissant, le poète narre avec jubilation les scènes d'une vie quotidienne dont il connaît les charmes mais aussi les dérives. Mais Dretar n'est pas pour autant un homme désabusé voire aigri et s'il n'hésite pas à fustiger les dérives d'un monde capturé par le capital, il s'extasie plus souvent qu'à son tour devant les forces et les « beaux fruits » de la vie. Si, à l'instar du regretté Richard Brautigan, le poète prend ici un malin plaisir à tourner en dérision le moindre petit événement quotidien, il appréhende également ce même réel avec l'oeil d'un philosophe. Parmi les thèmes évoqués citons : l'exil, la fuite du temps, l'exclusion sociale, le principe d'identité, le statut de la parole, du poète et de la poésie... À travers ce recueil, Dretar met finalement le monde en question et, pour notre plus grand plaisir, nous fait partager avec humour et sincérité sa foi inébranlable en une vie qu'il habille de son... désir sans fin. » (Revue Traversées).
Né en Croatie, Tomislav Dretar a été professeur à l'Université de Bihac (Bosnie-Herzégovine) jusqu'à l'éclatement de la guerre en 1992. Par ailleurs, poète et critique, il a publié une dizaine de recueils, dont des extraits figurent dans plusieurs anthologies bosniennes, ainsi que de nombreux articles en journaux et revues. Forcé de fuir la Bosnie durant la guerre, il s'est réfugié en Belgique où il vit depuis lors et a obtenu la nationalité belge. Il y a étudié le français, traduit en croate plusieurs auteurs francophones ainsi que la Bible et le Coran. Il collabore aussi à la traduction en français d'auteurs croates et bosniens tout en continuant d'écrire. -
« Dans mon écriture, j'essaie de réconcilier tant que faire se peut la nature et le corps, ou plutôt de ne plus faire de distinguo entre ces deux entités, qui n'en font qu'une. C'est pourquoi je mélange radicalement les animaux, la flore, les roches, l'eau, à l'expression du Je, en y réinvestissant les risques inhérents à cette condition. (...) Mais pour réussir cela je me heurte à une difficulté de premier plan : le langage » (Piet Lincken, in : Transversale scandinave, collectif qu'il a dirigé, Ed. Passage d'encres, 2011).
Nourri de spiritualités, Parmi les sphères est un livre où la fugacité des impressions questionne, entre «la forme et le vide», jusqu'au rôle de l'écriture. Belge d'origine franco-suédoise, Piet Lincken est écrivain, musicien compositeur et plasticien. Son oeuvre tente de dégager, parmi toutes les sphères du monde et de l'Homme, mêmes les plus terribles, une liberté faite de contemplation et de douceur, entre autres par l'usage du rite et de l'imaginaire. Son oeuvre poétique compte une dizaine de recueils. -
« Lumière nomade » a obtenu le Prix Robert Goffin.
"Chez Philippe Leuckx, la magie heureuse des mots s'apparente à la dentelle ; elle est pour lui « secourable » ; dès lors, l'exil est douceur, et non douleur. Ombre et lumière se déclinent à fleur de peau, même si, à la fin, « les pieds sont trop lourds » : trop lourds au seuil de la nuit ?Car la nuit, plus qu'une « lumière nomade », semble révéler au poète des « terres désolées ». Dès lors, reviendra-t-il à une « écume qui pointe » ? La lumière transpose, mais elle peut aussi cingler. « J'attends, cette lumière cinglante » : pour éclairer plus impitoyablement, soit plus lucidement encore que ne le fait, pour lui, la nuit, « les terres désolées » ? En attendant, la lumière va, se pose, balbutie, étire ses impressions, construit une atmosphère davantage de ville que de champs. Même si « parfois l'âme des blés convoque » l'auteur, lui « intime les mots d'enfance et de grange », le « somme de revenir à plus de densité ». Soit à davantage de matière (le blé : le pain) ? La densité, Philippe l'avait d'abord évoquée d'une façon proustienne : « le moment dense retrouvé dans l'assise d'un parfum ou au clair mouvement d'un rideau vers la mer. »
Ensuite (changement de registre ?) : « Dans la nuit qui vient à plus de densité, nous n'avons plus que du silence en poche ». Mais il nous avait prévenu : « On demeure presque sans voix, le filet d'émotion contenu. » (extraits de la préface de Monique Thomassettie). « Une écriture fluide, en clair-obscur. C'est une oeuvre enchantée », (Jean-Luc Wauthier, président du jury du prix Robert Goffin). Après des études de lettres et de philosophie, Philippe Leuckx a consacré son mémoire de licence à Marcel Proust avant d'enseigner au C.E.S. Saint-Vincent à Soignies.
Poète, critique, il collabore à de nombreuses revues littéraires francophones (Belgique, France, Suisse, Luxembourg) et italiennes. Ses fréquents voyages ont constitué les sources d'une oeuvre poétique forte aujourd'hui d'une quarantaine de recueils, dont plusieurs ont été primés. Certaines de ses oeuvres ont été traduites en italien et en croate. -
La maison des horloges groupe cinq suites de poèmes en vers ou en prose qui s'échelonnent sur une trentaine d'années.
La substance de ces pages ? Des lieux qui ont marqué l'auteure par leurs couleurs, leurs lignes, leur histoire. Le souvenir - la présence - d'êtres proches et aimés. Un regard sur soi. La vie intérieure. L'amour partagé.
L'on entre avec respect dans «la maison de la nuit» qu'est «la maison des horloges». «Les aiguilles y tournent vers la gauche», vers l'immortelle union des coeurs.«La nuit tinte à chaque demi-heure», en accord avec les «voix dans la pénombre».«Échanges» sous la «douce clarté des lampes». Clarté d'autant plus douce que l'automne et l'hiver sont dehors. Hommage au tendre compagnon disparu, «pour que s'écrive (son) parcours». Évocations colorées des voyages vécus avec lui ; intérieurs : «entre berges de livres» ; extérieurs : en Inde, au Mexique - entre autres continents. Ensuite, la progressive solitude réveillera de plus lointains souvenirs, d'enfance et de jeunesse, quand «?le soleil ne riait qu'en oblique» et que «contre la vitre/des branches noires/écrivaient janvier sur le ciel». Si alors «le temps de la mémoire commençait», il prendrait après «des années de silence» un autre cours... Celui d'une «envie d'écrire», «inattendue», qui nous offre aujourd'hui cette maison du jour. (Monique Thomassettie, in : Reflets Wallonie-Bruxelles) -
De blancs oiseaux boivent la lumière ; nuit de grand vent
Monique Thomassettie
- M.E.O.
- 1 Janvier 2015
- 9782807000162
Écrivain et peintre, Monique Thomassettie est l'auteur de plus de quarante ouvrages (poésie, contes et nouvelles, roman, théâtre), dans lesquels elle « vivifie mythes et symboles en les variant, en les mouvementant ». Certaines de ses oeuvres ont été traduites en bosniaque, croate et anglais. « De Blancs Oiseaux boivent la Lumière » est la réédition d'un recueil publié en 1994 et épuisé, enrichi de reproductions d'oeuvres plastiques. Un quintette pour quatuor à cordes et trombone basse a été composé par Luc Henrion sur « Nuit de Grand Vent » et créé à Braine-l'Alleud à l'occasion d'une exposition de tableaux de l'auteur.
« Her poetry is unusual in several ways: in its imaginary, its pictorial qualities, as wel as in its deep sense od the sacred. Humorous touches are present as wel... »
Renée Linkhorn and Judy Cochran, Belgian Woman Poets, An Anthology, Peter Lang, New York, 2000.
Voix inspirée d'une littérature de l'Autrement, Monique Thomassettie quête l'improbable d'un mythe humain en lisière d'existant... C'est tout simplement magnifique et bouleversant ! Nathalie Lescop-Boeswillwald, Les Amis de Thalie
« Je suis la démarche d'une mystique, et c'est passionnant (...) »
Paul Van Melle, Inédit nouveau. -
En symbiose avec les photos de Brahim Metiba, Méridiennes emprunte une veine de textes courts, parfois proches du haïku, avec des jeux de mise en page, pour exprimer l'amour des lumières et des visages du Maroc. Avec une préface de Philippe Leuckx.
Arnaud Delcorte est professeur de physique à l'Université de Louvain et à l'Université St-Louis à Bruxelles. Il a contribué à plusieurs revues de poésie (Sources, Point-Barre, Diptyque, IntranQu'îllités, etc.) Ses deux premiers recueils de poèmes, Le goût de l'azur cru et Toi nu(e) / Dans le linceul étoilé du monde ont été publiés par le Chasseur Abstrait Éditeur en 2009 et 2010. En 2011-2013, il a publié Écume noire, Ogo, Eden et a participé au collectif Poètes pour Haïti à L'Harmattan.
Brahim Metiba est informaticien. Habitué à l'analyse du concret, en vue de sa conceptualisation. Passionné par l'image (cinématographique mais aussi photographique), il a choisi, tardivement, la photo pour s'exprimer (pour les possibilités qu'elle offre en plus des mots). D'abord attiré naturellement par l'image frontale, facilement perceptible car le visage humain en est la figure centrale, et après une série de diptyques de portraits, dont certains publiés dans la revue Diptyque en 2011, il choisit de représenter d'autres parties du corps, pour moins de personnel, et plus d'humain.
Le projet Méridiennes contient quelques exemples des deux périodes -
la terre. le ciel. l'immensité. & la chair. la chair palpite, appelle. la chair dicte ses conditions, intransigeante. & l'esprit s'y soumet. il nous faut aimer, mal, la plupart du temps, mais il le faut. Urgemment. Plonger dans ce monde des passions auxquelles on n'échappe pas, qui nous sont nécessaires pour avancer, jusqu'à la fin. Condamnés à nous en abreuver. Même si certains luttent toute leur vie pour s'en détacher, à grand renfort de dévotion. Les Abreuvements Nécessaires sont notre condition humaine, notre passage obligé, nos pulsions racines. Éros vs. Thanatos. Ce choix de textes centrés sur l'amour et le désamour, le désir, le sexe, la mystique, le désir de reproduction, avec l'évocation d'un cheminement vers la sagesse, le dépouillement, fait référence à ce monde-là, fragile, faillible, mais grouillant de vie, exaltant. (O.V.)
Né en 1962, Olivier Vanderaa, poète slameur, participe à de nombreuses scènes ouvertes, tournois et festivals de poésie, avec pour thématiques récurrentes les chemins de vie, amour/désamour et fortune, anciens et nouveaux dieux, sexe, mort et renaissance. Il écrit également de la docu-poésie et des poèmes à deux voix. Depuis peu, il se produit sous une formule Spoken Word, Chambres Habitables.
Il a également pratiqué la prise de son pour le film de fiction et le documentaire, la photographie en tant que langage plastique et l'exploration de contextes urbains à l'aide des Nouveaux Médias (Médias Locatifs). -
Recueil de poèmes traduit du roumain par Fanny Chartres, avec des illustrations de Dan Stanciu. - Publiée en 2012, La Ventolière de Plastique (Vîntureasa de plastic), immédiatement remarquée par la critique roumaine a obtenu le Prix de la meilleure première oeuvre poétique décerné par l'Association des Écrivains de Roumanie, ainsi que le Prix de la revue « Observator Cultural ». Ces poèmes d'une grande sensibilité sont dédiés à la relation entre un fils et sa mère, paralysée et amnésique après un accident vasculaire cérébral. C'est un merveilleux chant d'amour filial, avec des associations de mots et d'images d'une grande intensité émotionnelle.
Né en 1978 à Horezu (Roumanie), écrivain, traducteur, journaliste, Marius Chivuest rédacteur en chef des revues Dilemateca et Dilema Veche, pour lesquelles il publie également des critiques littéraires. Il a traduit les oeuvres d'Oscar Wilde, Lewis Carroll et Tim Burton. En 2012, il publie La Ventolière en plastique qui sera encensé par la critique et récompensé de deux prix littéraires (celui de l'Union des écrivains et de la revue Observateur culturel). -
Recueil de poèmes publié une première fois au « Non-Dit » en 1992. Enrichi de 7 oeuvres plastiques.
Écrivain et peintre belge, Monique Thomassettie est l'auteur de plus de cinquante ouvrages (poésie, contes et nouvelles, roman, théâtre), dans lesquels elle « vivifie mythes et symboles en les variant, en les mouvementant ». Certaines de ses oeuvres ont été traduites en bosniaque, croate et anglais.
« Her poetry is unusual in several ways: in its imaginary, its pictorial qualities, as wel as in its deep sense od the sacred. Humorous touches are present as wel... »
(Renée Linkhorn and Judy Cochran, Belgian Woman Poets, An Anthology, Peter Lang, New York, 2000.)
« Monique Thomassettie élabore une des oeuvres les plus singulières de notre époque, aux confluents de la poésie, du conte, du récit intérieur et du théâtre, marquée par une spiritualité proche de la mystique, indépendante des dogmes, confrontant avec les sources religieuses une symbolique personnelle profondément vécue. »
(Gilpro, CritiquesLibres.com)
« Monique Thomassettie nous entraîne sur des voies inconnues, sur des routes mystérieuses que nous n'aurions peut-être pas empruntées sans un petit coup de pouce de sa plume qui nous les rend attirantes et dépasse toutes limites du genre. Ses mots fredonnent, ils nous emmènent vers la rêverie, vers la réflexion. A nous ensuite de dessiner une autre réalité grâce à cela. »
(Sahkti, Critiqueslibres.com).
« ... un univers personnel empreint d'une magnifique poésie de l'être intime... Un talent rare d'une grande richesse intérieure qui s'offre à l'Autre au gré de publications singulières, donneuses de clés pour mieux saisir le monde tout d'originalité de l'auteur... »
(Nathalie Lescop-Boeswildwald, « Les Amis de Thalie ») -
L'annonce faite à la femme ; lettres à Ischah
Jean-Jacques Bailly
- M.E.O.
- 5 Janvier 2016
- 9782807000643
« L'annonce faite à la femme » suivi de « Lettres à Ischah » est un recueil de poèmes en deux parties. La première originale, la seconde réédition d'un recueil paru en 1977 qui fut alors salué par Emmanuel Levinas. Plus de 40 ans séparent ces deux Poèmes. « L'annonce faite à la femme » maintient la cohérence d'inspiration initiale après un long temps de silence, de vie, de voyages, de réflexion et de ruptures. Il s'agit là d'un chant d'amour original au niveau de l'écriture poétique, de la langue, de la pensée et de l'investigation du sens des choses : une pénétration de la splendeur de l'éros.
Jean-Jacques Bailly est né à Saint-Ghislain (Belgique) le 18 mai 1946. Marié, père de famille nombreuse et grand-père, il a fait des études de Droit, de Philosophie, de Sciences Religieuses et d'Orientalisme à l' Université Catholique de Louvain, des Oulpanim d'hébreu à l'Université Hébraïque de Jérusalem et un Doctorat en Philosophie à l'Université Libre de Bruxelles. Ancien professeur de religion, il est depuis des années professeur d'hébreu et de philosophie à l'Université Catholique de Louvain. Il a fait de nombreux séjours à l'étranger et tous les continents. Il est domicilié à Louvain-La-Neuve et adore faire régulièrement le tour de son quartier en compagnie de sa femme. -
Recueil de courts poèmes en prose. Ressac de la mer et du temps, ressac de la vie qui se bat les flancs, ressac de l'amour et de la solitude, de l'abandon et des retrouvailles, ressac de la joie et de l'amertume... Que dire quand «?même la vie se défile dans le vent?» ?
Claude Donnay vit en Belgique dans la vallée de la Meuse. Auteur d'une quinzaine de recueils de poésie, il anime la revue et les éditions Bleu d'Encre. -
Dans un rêve éveillé, Jasna Samic convoque la poésie, la peinture, la danse, le vin, les dieux des religions et des mythologies, les mystiques orientales et toutes les villes aimées (Paris, Sarajevo, Istanbul, New York, Alexandrie, Venise...) pour chanter les voluptés du corps, de l'esprit et de l'âme exaltées par l'Art, mais aussi la nostalgie mélancolique du temps qui fuit, avec en filigrane la désolation de la guerre.
« Une rutilance d'images fusionne ici profane et sacré. - À l'écoute d'une baroque foison qui pétrit l'âme humaine au risque de l'éclater. »
(Monique Thomassettie, extrait de la préface)
Née à Sarajevo, Jasna Samic vit à Paris. Spécialiste des langues, littératures et civilisations orientales, elle a enseigné aux universités de Sarajevo et de Strasbourg, a été directeur de recherche associée au CNRS, collaboratrice de Radio France Internationale et France culture. Elle écrit en français et en bosniaque (serbo-croate) ; ses ouvrages comprennent des essais, des romans, des nouvelles, de la poésie et du théâtre. Elle a publié deux romans aux éditions M.E.O. : « Portrait de Balthazar » (Prix Gauchez-Philippot) et « Le givre et la cendre ». Suite à ses prises de position en faveur de la laïcité dans une Bosnie menacée par les mafias politico-religieuses et une vision wahabite de l'islam importée à grands renforts de pétrodollars, Jasna Samic est violemment prise à partie par les intégristes bosniaques, traînée dans la boue et même menacée de mort. -
Dits de la nuit ; anthologie de contes et légendes d'Afrique centrale
Collectif
- A.M.L./M.E.O.
- 1 Mars 2017
- 9782807001183
Au coeur de la veillée, dans l'ombre, une voix s'élève, gardienne de la mémoire du monde.
C'est l'heure du conte. Après les légendes de nos contrées, voici, sous les regards croisés de Belges que fascina la découverte du continent noir et d'Africains soucieux d'en préserver l'inestimable patrimoine oral, des fables du Congo, du Rwanda et du Burundi. Récits des origines, bestiaires humoristiques ou satiriques, légendes merveilleuses s'offrent en un florilège qui séduit tout à la fois par l'universalité de ses thèmes et par la singulière liberté d'esprit de ses traditions.
En découvrir les saveurs originales, demeurées longtemps à l'écart des civilisations de l'écrit, est une façon de renouer avec l'histoire africaine et d'entrer au coeur du métissage des francophonies.
(Marc Quaghebeur, extrait de la préface) -
Écrivain et peintre, Monique Thomassettie est l'auteur de plus de quarante ouvrages (poésie, contes et nouvelles, roman, théâtre), dans lesquels elle « vivifie mythes et symboles en les variant, en les mouvementant ». Certaines de ses oeuvres ont été traduites en bosniaque, croate et anglais.
Son nouvel opus mêle poésie en vers et textes divers, contes et dialogues poétiques, précédemment parus en revues et ouvrages collectifs (dont Marginales, plus ancienne revue littéraire belge, dirigée par Jacques De Decker, Secrétaire perpétuel de l'Académie de Langue et Littérature françaises de Belgique.
« Her poetry is unusual in several ways: in its imaginary, its pictorial qualities, as wel as in its deep sense od the sacred. Humorous touches are present as wel... »
Renée Linkhorn and Judy Cochran, Belgian Woman Poets, An Anthology, Peter Lang, New York, 2000.
« Monique Thomassettie élabore une des oeuvres les plus singulières de notre époque, aux confluents de la poésie, du conte, du récit intérieur et du théâtre, marquée par une spiritualité proche de la mystique, indépendante des dogmes, confrontant avec les sources religieuses une symbolique personnelle profondément vécue. »
Gilpro, CritiquesLibres.com -
Au rythme d'un equilibre, ou: ma force onirique
Monique Thomassettie
- M.E.O.
- 26 Octobre 2012
- 9782930702322
Dans ce recueil de poèmes en quatre chapitres et dans les quatorze oeuvres plastiques de l'auteur qui le jalonnent, l'écrit et le peint ou dessiné, symbolistes, expriment la même quête. « Elle explique que la tension est la même dans ses deux activités de création (N.B. Écriture et peinture). Elle veut créer une harmonie, un équilibre dans sa vie comme dans ses oeuvres. « Au rythme de l'équilibre », ce nouveau recueil, est une proposition de moments de poésie et de couleurs, de formes, de tableaux. On s'y plonge avec un grand bonheur. Le but est atteint : nous emmener dans un ailleurs ! « Telle mon ombre / lorsque me pousse au dos / ma lumière, / ma vision me précède. » ou « Si les sorcières sèment l'épreuve, / je serai ma propre sorcière// Dans mes roues / je mets les bâtons / de mes points d'exclamation !// Et pourtant / ma terre / roule en mon univers. » On se laisse porter par les mots, par les images qu'ils suscitent, par l'émotion qu'ils suggèrent et font naître en nous. Les mots sont simples et pourtant ils recèlent mille harmoniques. « La tristesse / est l'ombre portée / du poème » écrit Monique Thomassettie. Mais l'auteure parle surtout de joie de vivre, d'espérance, de renouvellement. Elle a cette joie, cet amour qui seuls peuvent nous emporter plus loin dans l'existence, sans nous immobiliser ! J'aime ces deux vers en particulier : « Qui rêve de clair et tendre matin / attend encor de naître » J'aime aussi l'orthographe poétique (ah, la licence?!) d'encor?! » (Jacques Mercier, in : Lire est un plaisir).
Monique Thomassettie est un écrivain et peintre belge, auteur d'une quarantaine d'ouvrages dans les domaines de la poésie, du conte, de la nouvelle, du théâtre et du roman. « Ma peinture et mon écriture sont des formes différentes d'une même aspiration, d'une même tension, d'un même désir spirituel et gourmand (« le bon goût ») de découvrir, de recréer ou de créer un sens, une harmonie, un équilibre qui me comblent. Qui me comblent dans la mesure où ma forme (peinte ou écrite) est artistique. » -
Sublimisme balkanique. tome 1. poetes de croatie
Tomislav Dretar
- M.E.O.
- 16 Octobre 2012
- 9782930702360
Dans cette anthologie, Tomislav Dretar présente une sélection de dix poètes de Croatie qui lui semblent répondre à sa conception du sublimisme poétique des Balkans, Un choix dont l'anthologiste assume la subjectivité, où figurent de grands noms de la poésie croate contemporaine, mais aussi des poètes moins connus qu'il apprécie tout autant: Dusko Babic, Lana Derkac, Danja Ðokic, Petar Gudelj, Salamon Jazbec, Bozica Jelusic, Drazen Katunaric, Mirko Kovac, Zarko Milenic, Davor Salat.
Né en Croatie, Tomislav Dretar a été professeur à l'Université de Bihac (Bosnie-Herzégovine) jusqu'à l'éclatement de la guerre en 1992. Par ailleurs, poète et critique, il a publié une dizaine de recueils, dont des extraits figurent dans plusieurs anthologies bosniennes, ainsi que de nombreux articles en journaux et revues. Forcé de fuir la Bosnie durant la guerre, il s'est réfugié en Belgique où il vit depuis lors et a obtenu la nationalité belge. Il y a étudié le français, traduit en croate plusieurs auteurs francophones ainsi que la Bible et le Coran. Il collabore aussi à la traduction en français d'auteurs croates et bosniens tout en continuant d'écrire. -
Écrits après la mort du père de l'auteur, ces poèmes sont dédiés à son souvenir. Ils sont illustrés par des dessins de Gérard Sendrey, un des maîtres de l'art brut dont l'oeuvre est présente dans de nombreux musées de par le monde. Avec une préface de Daniel Simon. Tenir après / la mort d'un proche / avec la frustration tenace / que plus rien / désormais / ne sera partagé / et que bredouille / l'on reviendra de chaque nouvelle / saison de pêche / seul à jamais.
Né en 1955 en Ardèche, Jean-Louis Massot vit depuis une trentaine d'années à Bruxelles, où il anime depuis 1995 les éditions Les Carnets du Dessert de Lune. Il est l'auteur d'une quinzaine de plaquettes et recueils de poésie, ainsi que d'une pièce de théâtre. -
Recueil de poèmes en trois parties (Avocate de la Terre, la Nuit - Interlude - La nuit, les fleurs rêvent de 1001 soleils.) complété de deux dialogues poétiques. « Her poetry is unusual in several ways : in its imaginary, its pictorial qualities, as wel as in its deep sense od the sacred. Humorous touches are present as wel... » Renée Linkhorn and Judy Cochran, Belgian Woman Poets, An Anthology, Peter Lang, New York, 2000.
Monique Thomassettie est un écrivain et peintre belge, auteur d'une quarantaine d'ouvrages dans les domaines de la poésie, du conte, de la nouvelle, du théâtre et du roman. « Ma peinture et mon écriture sont des formes différentes d'une même aspiration, d'une même tension, d'un même désir spirituel et gourmand (« le bon goût ») de découvrir, de recréer ou de créer un sens, une harmonie, un équilibre qui me comblent. Qui me comblent dans la mesure où ma forme (peinte ou écrite) est artistique. » -
Sublimisme balkanique tome 2 poetes de bosnie-herzegovine
Tomislav Dretar
- M.E.O.
- 21 Décembre 2013
- 9782930702735
Tomislav Dretar poursuit sa quête de poètes relevant de ce qu'il a nommé « sublimisme balkanique » et dont il a donné une définition dans un premier tome consacré à des poètes de Croatie. « Les poètes qui répondent à ma définition du sublimisme balkanique, s'ils ont subi la guerre et son choc post-traumatique, ne sont pas tombés dans un état de haine ou de vengeance. Au contraire, ils sont parvenus à sublimer dans la poésie et par la poésie ce qui a traumatisé leur chair ou leur imaginaire, créant un être esthétique, le Beau, complètement ouvert au monde. »
Ce second tome offre une sélection de dix-neuf poètes de Bosnie-Herzégovine. Fidèle au principe qui avait déjà présidé à ses choix du Tome 1, T. Dretar a inclus dans ce recueil des poètes majeurs de Bosnie-Herzégovine ainsi que d'autres, peut-être moins connus, mais qu'il apprécie tout autant : Sead Begovic, Darko Cvijetic, Mensur Catic, Ferida Durakovic, Biljana Gajic, Vanja Gredelj, Marjan Hajnal, Hanka Hankusa Hamzagica-Fehimova, Vesna Hlavacek, Tarik Jazic, Milo Jukic, Ibrahim Kajan, Arif Kljucanin, Zilhad Kljucanin, Atif Kujundzic, Admiral Mahic, Josip Osti, Jasna Samic, Marina Trumic.
Né en Croatie, Tomislav Dretar a été professeur à l'Université de Bihac (Bosnie-Herzégovine) jusqu'à l'éclatement de la guerre en 1992. Par ailleurs, poète et critique, il a publié une dizaine de recueils, dont des extraits figurent dans plusieurs anthologies bosniennes, ainsi que de nombreux articles en journaux et revues. Forcé de fuir la Bosnie durant la guerre, il s'est réfugié en Belgique où il vit depuis lors et a obtenu la nationalité belge. Il y a étudié le français, traduit en croate plusieurs auteurs francophones ainsi que la Bible et le Coran. Il collabore aussi à la traduction en français d'auteurs croates et bosniens tout en continuant d'écrire. -
Premier volet d'un diptyque"animé par différents mouvements : horizontaux, verticaux, musicaux...", dont "Vertige ascendant" est le second, « Enjambées fait au lecteur un minutieux inventaire de ce qui compose le territoire poétique de Monique Thomassettie, son univers à n'en point douter : " Tout serait-il chant ?/ Immatérielle musique / s'élevant telle une fumée d'encens / venue d'un point de braise". Cet extrait est significatif à bien des égards, car il porte en lui le fondement même de toute découverte. Inutile donc de "s'emparer d'une poésie" qui échappe aux règles de transmission ordinaires. On habite ici un "ailleurs" parfaitement organisé, voué à la seule, à l'absolue créativité. Dans un lieu peuplé d'arbres, de fleurs, de plantes rares ou communes, le poète veille à la stricte ordonnance de sa volonté, de sa fantaisie et de sa légitimité. Il avance "l'esprit délesté de toute massivité" et exhibe, au fil d'une lente progression, le fruit de ses recherches. Sensible au charroi du temps, Monique Thomassettie s'interroge sur le passé, la validité même des souvenirs en pagaille : "Triste / la chair au seuil de l'automne ? / Faite verbe / elle devine / mieux qu'elle ne sait" Car le seuil franchi, l'apologue saisit et dépose sans jamais les fixer, les pièces d'un étrange patchwork qui vont colorer la mouvance du paysage. » (Michel JOIRET, Le Non-Dit, extrait d'article).
Monique Thomassettie est un écrivain et peintre belge, auteur d'une quarantaine d'ouvrages dans les domaines de la poésie, du conte, de la nouvelle, du théâtre et du roman. « Ma peinture et mon écriture sont des formes différentes d'une même aspiration, d'une même tension, d'un même désir spirituel et gourmand (« le bon goût ») de découvrir, de recréer ou de créer un sens, une harmonie, un équilibre qui me comblent. Qui me comblent dans la mesure où ma forme (peinte ou écrite) est artistique. »