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Les Éditions du Blé
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Poésies choisies de Pierre Lardon édition préparée et présentée par J.R. Léveillé.
Cette édition des Poésies choisies célèbre le centenaire de la parution du premier livre de poésie de langue française dans l'Ouest canadien, les Poésies de Saint-Boniface de Pierre Lardon, publié par Le Nouvelliste, Arthur Boutal, éditeur, en 1910. Bien que Lardon ne soit pas le premier poète de langue française de l'Ouest canadien, il a la gloire d'avoir publié le premier recueil de langue française dans l'Ouest canadien. C'est une reconnaissance due à celui qui rédigea des milliers de vers et dont la composition poétique l'a suivi tout au long de ses 45 ans de vie au Manitoba. Préparée et présentée par J.R. Léveillé, Poésies choisies de Pierre Lardon comprend une soixantaine de poèmes, dont 8 des 16 poèmes parus dans l'édition de 1910. S'appuyant sur une vaste recherche, J.R. Léveillé, lui-même poète et directeur de l'importante Anthologie de la poésie franco-manitobaine, souligne dans la préface : « Longtemps qualifié uniquement de poète de circonstances, Lardon mérite davantage d'être retenu comme «homme de lettres et poëte de Saint-Boniface», ayant publié le premier recueil de langue française dans l'Ouest canadien, et de figurer ainsi dans le grand patrimoine du pays. » Ce livre de 240 pages de la collection « Blé en poche » comprend aussi une chronologie détaillée de la vie du poète, une liste exhaustive de ses ouvrages et plusieurs photos et illustrations. -
Dans Tempo, Bathélemy Bolivar scrute le temps dans son universalité pour le rendre encore plus accessible à travers une parole fragmentée mais lucide et cohérente. L'oeuvre remue la dissidence du fleuve Saint-Laurent pour dévoiler le temps comme une invention mesurée. Une fois de plus, l'héritage insulaire de l'artiste expose la fragilité des mots dans leur harmonie contagieuse.
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En deux récits et une poignée d'aphorismes, J.R. Léveillé trace, avec un style sobre et lucide, l'expérience d'une vie. Dans une continuation du recueil Poème Pierre Prière - prix Lansdowne de poésie 2012 -, l'auteur poursuit l'exploration d'une écriture minimaliste qui se penche sur le lieu tremblant entre le dit et le non-dit pour suggérer et faire vibrer le sens ineffable de la vie.
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Ueno Takami est un personnage du roman Le soleil du lac qui se couche de J.R. Léveillé. Voici son recueil de poésie illustré par Étienne Gaboury. L'Étang du soir comprend aussi les Saisons intégrées.
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POÈME PIERRE PRIÈRE. « Parfois prier est seule parole » nous dit un vers du recueil. Dans une langue sobre, essentielle, ces poèmes sont une réflexion sur le sens fondamental de la vie. Leur écriture passe par l'esprit de grands mystiques, de moines zen iconoclastes, de la pensée présocratique et d'une grande jouisseuse du début de la Renaissance. Pierre et prière constituant une anagramme, comment passe-t-on de la matérialité à la spiritualité ? Par le poème, par le dire, par la parole.
DESS(E)IN regroupe l'ensemble reconfiguré des textes que l'auteur a écrit autour de l'oeuvre de l'artiste Tony Tascona. Par la voix du dit et du non-dit, la voie du plein et du vide, les traces de la plume et celles du pinceau émergent de la grande mer de l'encre, pour donner forme au chaos. L'intention du dessin serait, à l'origine, semblable au dessein de la poésie. -
Ce recueil surprendra peut-être plus d'un lecteur. Pourquoi? Parce que les sujets singuliers qui se présentent à tour de rôle dans les poèmes-portraits nous livrent leurs Confessions sans pénitence. Le Mal, qui sévit dans nos sociétés comme une tare endémique, nous est révélé sous plusieurs facettes et de manière parfois déconcertante. Mais comme l'auteur Franz Kafka l'affirmait: «On ne devrait lire que les livres qui nous piquent et nous mordent. Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d'un coup de poing sur le crâne, à quoi bon le lire ? »
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Il peut arriver qu'à certains moments, il faille les en convaincre et les aider un peu. Ce recueil propose une relecture obligée de la mémoire afin que le détour imprévu ne se transforme en impasse. Il parcourt des tentatives maladroites de reconquête du sens, par l'apprivoisement de la liberté.
Laisse les morts enterrer leurs morts. Lc 9,60 -
L'écriture de Charles Leblanc dérange. Tant de dérision, tant de provocation, tant de dépense ludique jurent avec l'idée que beaucoup, en ce début de XXIe siècle, se font encore de la poésie. Ceux pour qui le poème, souple dépositaire d'une parole sublime, capte ou signale une essence voilée de mystère ne peuvent que recevoir comme un cinglant affront à la Muse le réalisme irrévérencieux de Leblanc. Cependant, ceux pour qui le poétique déborde le poème et qui attendent d'une oeuvre - poétique ou autre - l'occasion d'une rencontre avec une voix singulière, novatrice, percutante, reconnaissable entre toutes trouveront dans les pages parfois fielleuses de briques pour un vitrail une altérité qui s'assume entièrement, n'en déplaise aux forces morbides de la société qui tirent profit du silence des hommes. Ainsi, cet enfant terrible des lettres manitobaines, voire des lettres francophones en situation minoritaire, qu'est Charles Leblanc fait preuve d'une redoutable exigence de lucidité et insiste sur l'importance de ne jamais trahir son rêve : justice sociale ou amour. Pour lui, il sera toujours vital à l'humain d'avoir « tout [un] ciel à remplir » et de trouver l'audace de construire « des pans d'avenir / à habiter comme une maison ». C'est pourquoi les briques dont il est question dans briques pour un vitrail sont non seulement des instruments de révolte pour briser diverses formes d'un sacré aliénant, mais l'essentielle et modeste composante avec laquelle - advenant la participation d'un nombre suffisant de personnes - peut se construire une maison finalement vivable pour chacun.
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instantanés amoureux
dans des lieux fréquentés
ou imaginés
tout autre chose
qu'un livre de recettes
plutôt un jeu
un grimoire
une carte
des paysages du plaisir -
Dans ce nouveau recueil Lise Gaboury-Diallo nous offre avec maestria des contemplations, des réflexions introspectives et des confidences relationnelles. Ces poèmes ouvrent notre sensibilité aux fausses apparences, aux accommodements coupables et au passage du temps.
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L'aventure de la vie et les relations humaines sont explorées dans cette édition trilingue où des variations de tons et de formes illustrent la complexité de l'existence qui demeure, pour chacun d'entre nous, une expérience éminemment subjective.
À l'origine, Lise Gaboury-Diallo a voulu célébrer les arts en incorporant des oeuvres qui accompagneraient les différentes sections de son recueil. Elle a invité Anna Binta Diallo, Monique Fillion, Étienne Gaboury et Laurence Véron à participer à son projet. Ainsi, chaque écart est brillamment illustré par ces artistes chevronnés qui oeuvrent dans différents médiums.
Ensuite, l'autrice a songé à la possibilité d'incorporer l'anglais et l'espagnol. Les deux traducteurs, Maria Fernanda Arentsen pour l'espagnol et Mark Stout pour l'anglais ont accepté de relever le défi. -
« Ceux pour qui le poème capte ou signale une essence voilée de mystère ne peuvent que recevoir comme un cinglant affront à la Muse le réalisme irrévérencieux de Leblanc. Ainsi, cet enfant terrible des lettres manitobaines, voire des lettres francophones en situation minoritaire, qu'est Charles Leblanc, fait preuve d'une redoutable exigence de lucidité et insiste sur l'importance de ne jamais trahir son rêve : justice sociale ou amour. » - René LaFleur
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« Un livre bilingue qui n'est pas une traduction. C'est dire que les poèmes français ne constituent pas une version de l'anglais et les poèmes anglais ne sont pas une adaptation du texte français. Il s'agit simplement d'un livre écrit dans les deux langues, en alternance. Ce choix d'édition n'est sans doute réalisable qu'en milieu minoritaire où, bien sûr, la très grande majorité des francophones connaissent l'autre langue officielle. C'est leur réalité et Horizons est un recueil qui ne peut être pleinement lu que par ce type d'individus. Heureux qui est bilingue.
Horizons s'approche plus véridiquement de ce qui a été qualifié d'écriture simultanée, où les deux langues agissent dans une même sphère de regard, d'approche, de sensibilité malgré leurs différences, ou bien plutôt en exaltant les différences, pour retrouver une unicité de réflexion, ce à quoi, justement, les poèmes nous conviennent. De fait, les poèmes français et anglais se rejoignent dans une espèce de bruissement méditatif. À part quelques endroits choisis, surtout vers la fin - le recueil atteignant une espèce de ponctuation de clôture . »
Extrait de la préface de J.R. Léveillé -
« Née d'observations et d'émotions, cette série de poèmes tente de traduire l'impact indélébile que créent parfois une scène éphémère, ou des moments fulgurants, chargés d'intensité. Telles des estampes gravées dans mon imaginaire, ces impressions sont nées d'images et de réflexions et de sensations fortes que m'a laissé, au fil du temps insaisissable, ma vie chronophage. » LGD
empreintes est le cinquième recueil de poésie de Lise Gaboury-Diallo publié aux Éditions du Blé. En passant par quatre grands volets la poète se dévoile doucement et nous plonge, au fil des pages, vers son « moi » intime.