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FeniXX réédition numérique (Lettres libres)
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Des poussières dans la tête
Andre Ubac
- FeniXX réédition numérique (Les Lettres Libres)
- 14 Mai 2016
- 9782402163200
La présentation de l'auteur d'« Au-delà de la nuit », a révélé, en quelque sorte, « L'extrait de naissance » d'André Ubac. Le présent recueil décèle les linéaments d'une Identité empreinte du « Connais-toi toi-même » Cher à Socrate et qui mue, poussière après poussière, A la surface d'elle-même. Car grandir ce n'est sans doute Pas demeurer à l'ombre des vieux chênes mais affronter les déserts brûlants qu'irise le diamant de la vie.
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Le piano de la mer
Andre Gilbert Menant
- FeniXX réédition numérique (Les Lettres Libres)
- Politiquement incorrect
- 14 Mai 2016
- 9782402153683
André-Gilbert Menant a déjà édité en 1968 aux éditions Saint Germain-des-Prés Sonates pour une ombre. Il a vu par ailleurs certains de ses poèmes couronnés par l'Académie du Disque de Poésie. Il nous offre dans ce recueil des images et une musique dont les mots, l'imagination et la mer sont les seuls instruments.
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En soi le désert
Edouard Valdman
- FeniXX réédition numérique (Les Lettres Libres)
- 15 Juin 2016
- 9782402496650
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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La nuit capitale
Andre Degletagne
- FeniXX réédition numérique (Les Lettres Libres)
- 12 Août 2016
- 9782402139632
Il est difficile de présenter un être innommable. Dégletagne l'est ; entendez inconnu. Le dithyrambe le dégoûte et le reproche ne lui est pas très sain. Mais c'est en ses délires et amertumes qu'il puise sa capacité de traverser des instants de nos vies ; où son amour n'est que celui d'un jour et ne saurait en aucun cas aller avec tout jour. Voici un livre fait avec du froid dans le coeur et de l'oxyde de soleil (RÂ 02) dans la tête. Voici un homme qui n'a pas fini d'insuffler dans mes cellules des choses belles, vraies et tragiques. Mais soyons ingrats ; jetons ce livre suintant de déicides crachats qui ne nous concernent pas, brûlons-le même, nous ne vivons pas pour lui ; mais cachons-nous, car j'ai entendu dire qu'après avoir dépecé nos dieux, André avait d'encore tièdes bûchers pour les hommes. X.G.
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Les couloirs du jour
Daniel Surat
- FeniXX réédition numérique (Les Lettres Libres)
- 12 Août 2016
- 9782402162036
Tes yeux d'émeraude et de fer... Où dansent les feux de l'enfer... Tes yeux ces merveilleux miroirs... Aux étranges pouvoirs. Tes yeux d'azur et d'or... Tes yeux tes yeux encor... Tes yeux lacs où des perles pures ... Viennent m'aider et me rassurent... Tes yeux comme un éclat d'espoir... Scintillent dans le soir... Tes yeux des nuits des jours. Tes yeux tes yeux toujours... Tes yeux sonate de couleurs ... Tes yeux langoureux et charmeurs. Tes yeux où l'aurore se lève... Où je dors où je rêve.
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Bise aux parfums de mai
Francis Lemarie
- FeniXX réédition numérique (Lettres libres)
- 23 Avril 2016
- 9782402084659
Qu'est-il advenu de ce Paris rebelle?... Des poèmes au parfum d'un certain mai. « Copyright Electre »
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Coeur elle de mots
Jean-Pierre Sautreau
- FeniXX réédition numérique (Lettres libres)
- 23 Avril 2016
- 9782402083669
La poésie, c'est « quelque chose entre le blanc et la blessure ». D'emblée, Jean-Pierre Sautreau ne finasse pas avec l'essentiel : quand le jeu n'a de sens que si l'on ose brûler la chandelle par les deux bouts, cela signifie qu'écrire implique, comme allant de soi, la dangereuse urgence de détourner les règles et règlements de l'ordinaire existence qui « embastillent l'âme ». Le poète écrit pour « dessaisir les repères », pour construire « à chaque bouger de mot » l'impossible scénario. Et voilà que ce n'est plus du jeu ! Mieux vaut aller garer ses abattis sur la touche. Ah ! Qu'il est beau le spectacle racoleur de notre confortable « quotidien taupinière » ! Et pourtant, le poète n'en veut pas. Il est sur le terrain, solidaire des libres intempéries de la vie qui n'est pas oublieuse de vivre. Et d'écrire. En cela, J-P. Sautreau se situe dans le droit fil d'une poésie lyrique tenaillée par les disettes du vécu : Rutebeuf, Ronsard, Aragon, Éluard... Le poème exige « la patience des coeurs battants », l'enthousiasme d'avancer « sur la pointe des mots », le risque à chaque instant d'écarter « les tarots fous du bonheur » sur la table de l'amour. Ainsi, le poète nous rappelle-t-il une vérité élémentaire : « tous les mots que j'ébruite » sont autant de « sédiments de mon pas d'homme ». La poésie est de ce monde, et plus que jamais elle nous est nécessaire. J-P. Sautreau l'assume à ses risques et périls, cela « est clair, comme une première neige ». Louis Dubost
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Des poèmes qui disent la vie, la nature, les oiseaux. « Copyright Electre »
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Solitudes foisonnières
Philippe Miroudot
- FeniXX réédition numérique (Lettres libres)
- 1 Avril 2016
- 9782402060868
Paul Jolas, Rencontres Artistiques et Littéraires : J'ai particulièrement apprécié ces textes denses qui sont une remise en cause constante du monde tel qu'il est. Le mot « désespoir » tient une grande place dans cette inspiration où passe le temps, la grisaille des jours, la monotonie de ces vies inachevées... Jean Breton, Les cahiers de Saint-Germain-des-Prés : Robert Merle a raison de dire qu'il s'agit moins, chez ce poète, d'hermétisme que de retenue, de volonté de secret. Derrière le langage, effectivement simple, du poète, il y a une tension, une gravité, un tragique même, qui sont l'essence de cette poésie. « Ma vie est enceinte de vide » écrit Philippe Miroudot : quel terrible aveu d'impuissance cela pourrait être s'il n'y avait, pour le contredire, l'acte créateur, la « poièsis ». Poésie-confession, mais une confession qui ne garderait que l'essentiel, qui est somme toute un élan vital, même si le poète se sait « en chemin balayé par la mort ». Guy Chambelland, Le Pont de l'Épée : Robert Merle a raison de souligner que cette écriture simple, sans effet, cache beaucoup de choses à relire. Cette démarche poétique assurément ne vise pas au prestige du verbe, mais à la fixation, au plus près, d'une sensibilité qui s'interroge et interroge le monde. C'est trop peu fréquent dans la poésie d'aujourd'hui qui fonctionne au délire ou à la mode, au maniérisme (pseudo) linguistique, pour que je n'en sois pas touché.