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Editions Vérone
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Voici des petits mots écrits sur des cartes postales pendant les vacances, puis lors des fêtes et des anniversaires.
Lorsqu'Olivier Floch découvre l'écriture en forme de vers, son imaginaire prend le dessus, poussant notre poète à partager son vécu, en mêlant de simples mots teintés de justesse, de sensibilité et de sensualité.
L'originalité de ces petits poèmes a été de les coucher de bonne heure le matin, en moins de cinq minutes. Cinq minutes de bonheur d'écriture, pour découvrir la vie qui nous entoure ou simplement nous emmener doucement sur un chemin partagé... -
« Si le jeu sur le je garde bien le dessus, pour que seule la page ombragée d'écriture et tâchée de ratures illumine les yeux, les lettres déploieront leurs ailes messagères. »
Échappée poétique se compose de deux parties bien distinctes. Partez à la rencontre de textes uniques et puissants, qui vous couperont le souffle et vous feront rêver.
La malédiction du grimoire (cordoban) est un conte poétique et fantastique. Lorsqu'un livre ancien est découvert à Cordoue, il laisse éclater toute la rage contenue dans ses lignes. La jeune Anne va en faire la douloureuse expérience... Qui finira par briser la malédiction et la sauver d'une mort certaine ?
À travers une trentaine de poèmes, Le temps de... nous invite à la contemplation et à la réflexion sur un monde qui file à toute vitesse. Culture, voyages, humeurs et arrêts sur images... tout en lenteur et en magie, les textes cherchent à s'infiltrer dans nos réalités, et à les tordre, mais surtout à investir nos âmes, et à les mordre. -
C'est par l'écriture poétique qu'on sensibilise nos émotions cachées. La pensée spirituelle nourrit les fruits de l'esprit, touche le coeur et illumine l'espoir d'un bonheur éternel.
Le secret du bonheur est fondé sur l'humilité, la bonté, la fidélité et sur la douceur envers nos proches. Chaque jour, nous recueillons de nos mains le présent de Dieu. Ce trésor lumineux et généreux éveille notre amour et notre richesse intérieure. -
D'un tendre baiser, immobilité enchantée de l'instant, reviennent des souvenirs comme des vagues, comme des musiques lointaines où le plaisir se mêle au bonheur.
Ces poèmes aspirent à ces courtes merveilles.
« ... Puis poserai un doux baiser sur ton épaule
Un cercle de clarté pour allonger la nuit
Pour allonger la nuit et puis la nuit qui suit
Et mes doigts presseront le tissu de l'étole
Là je ne penserai plus à rien oui à rien
Seuls - » -
Toutes les colères remontent
Avec juste quelques notes
L'énergie de la honte
D'avoir perdu des votes
Je ne suis aucun ponte
Et même à peine un pote -
ÉCLOSION
la douleur est vive lancinante tenace
jusqu'aux pleurs
mais reste supportable
tant qu'elle n'entrave pas
dans Tes jardins l'éclosion
d'une fleur
Pierre Meurier est danseur et chorégraphe, directeur artistique de la compagnie de danse contemporaine Bosphore Danse Théâtre avec laquelle il explore les corps à la lisière entre les univers de la danse et du théâtre.
Parallèlement, il exprime sa relation au monde à travers différents médias dont les arts plastiques, la photographie et l'écriture.
Jardins Secrets est son second ouvrage poétique après Reflet(s) également publié par les éditions Vérone. -
AFIN QUE TU SACHES
afin que Tu saches
que je T'attends
ai noué - aux barreaux de ma fenêtre
un foulard
couleur rouge sang
ÉT-ERNI-TÉ est un ouvrage hybride, qui évoque les étapes successives - PRÉMICES, HAUTE VOLTIGE, REGRET(s) et ÉT-ERNI-TÉ - qui font que la raison s'envole et que, dans le ciel, se dessine le subtil sentiment d'une sublime révélation... -
Nikolaï Goumilev & autres poètes russes de l'âge d'Argent
Ali Jazairy
- Editions Vérone
- 28 Octobre 2021
- 9791028417833
«
Dans le tourbillon bruyant de la jeunesse épanouie
Je brûlais ma vie avec folie,
Jour après jour, en courant vite aussi,
Sans me reposer, sans me réveiller. »
2021 est l'année de Nikolaï Goumilev, ou le centième anniversaire de sa mort.
Le 26 août 1921, le poète russe Nikolaï Goumilev est exécuté dans des circonstances terribles. Au-delà de sa destinée tragique, ce poète universel est sans doute le plus grand poète de « l'Âge d'argent » de la poésie russe, cent ans après Alexandre Pouchkine et les grands classiques de « l'Âge d'or ».
À travers cet ouvrage, l'auteur traduit non seulement cent-cinquante poèmes de Nikolaï Goumilev, mais aussi vingt poèmes inédits appartenant à d'autres poètes acméistes, tels que Sergueï Gorodetski, Anna Akhmatova, et Irina Odoevtseva, des poètes symbolistes tels que Valéri Brioussov et Innokenti Annenski, un poète imaginiste tel que Sergueï Essénine, et enfin un poète futuriste tel que Velimir Khlebnikov. Ils ont tous connu Nikolaï Goumilev et permettent, ainsi, de mieux sonder l'essence de son âme. -
« Je réprime mes émotions,
Lorsque tu te présentes à moi,
Je freine l'envie de te prendre dans mes bras.
Nous échangeons deux bises sur nos joues.
Je rêve de toi, me fredonnant les textes de tes compositions.
Je reste dans le noir,
Sans sommeil,
Je pense à toi jour et nuit.
Mes pensées ne sont que pour toi.
Je reste dans l'espoir que nos regards se croisent à nouveau.
J'attends au hasard de nos vies,
Je suis dans la routine du quotidien,
J'aimerais prendre ta main, m'engager pour d'autres chemins. » -
« Il est des regards de femmes qui parlent d'un trésor
Dans le silence des âmes
Et des visages de femmes suggérant l'immaculée
Blancheur d'une aurore virginale
Il est des sourires de femmes qui murmurent les promesses
D'une connaissance secrète »
Benedetto Vincente, avec ces quelques textes, perpétue à bien des égards une ancienne « gestuelle » : celle des troubadours. Son « itinerrance », en vingt-deux poèmes, dévoile dans une écriture limpide et imagée une quête de beauté. Celle qui, depuis toujours et pour toujours, se conjugue au féminin. Vingt-deux repères qui rythment un sentier du vertige. De chutes en révélations, de dévoilements secrets en indicibles contemplations, dans l'éblouissement d'un regard posé.
Ainsi, en une intime respiration ou dans un souffle un peu rêveur, le poète invite chacune et chacun de ses semblables à un long, étonnant et mystérieux voyage... -
La Couleur des Jours s'apparente à un bouquet d'instantanés, puisés dans les souvenirs et glanés au gré de l'inspiration, sous le coup de l'émotion.
Cet ouvrage se présente comme une ode à la sérénité, à la joie de vivre, en harmonie avec le vrai, le bien et le beau. -
« Celui qui n'attend rien
n'a rien d'inattendu
Heureux d'être prêt à recevoir
les surprises d'un chemin frivole
d'un matin farceur
Il suffit d'un rien
pour qu'un oiseau s'envole »
B. Lamro est Professeur de lettres. Il profite des congés scolaires pour parcourir le monde. Après un voyage en Australie ainsi qu'en Nouvelle-Zélande, il rapporte avec lui des images poétiques plutôt que des photos de vacances. À ses yeux, s'émerveiller de ce que nous vivons, de ce que nous voyons et chercher un sens au voyage peut être une façon de trouver un sens à la vie.
To the farest - Au plus loin est la deuxième étape d'un voyage poétique que B. Lamro a commencé avec Résistance, son premier recueil publié en avril 2022. -
Aimer nous séduit, nous enveloppe et nous nourrit d'une nuée de pensées, de sentiments, d'émotions, de désirs, de plaisirs, mais aimer nous fait également du mal. Le lien de cette provocation, bénéfique et maléfique, se trouve via le chemin d'un mot : aimer.
L'amour croît et décroît au rythme de l'évolution de notre vie et nous le rencontrons sous de bien différentes expressions. L'auteure a volontairement séquencé les sphères où ce verbe nous entraîne sur les voies de l'amour. Aimer quoi que ce soit est chronophage. Aimer nous envoie aussi dans nos profondeurs, nos peurs les plus secrètes, mais, en dehors de cet aspect sombre, ce verbe est si beau à dire, à vivre.
L'amour est-il présent partout ? On aime, on n'aime pas, on n'aime plus. Aimer, qu'est-ce que ça provoque en nous ? -
« Douce est l'amnésie, quand elle nous donne le courage des premiers combats
Douce est la perte, lorsqu'on sait que l'on ne perd pas.
Le visage ensanglanté, le souffle haletant,
Le champ de bataille à peine silencieux
Soleil qui darde dans les chênes endurants
L'aurore devient promesse, un message précieux.
Si nous tenons parole, le jour reviendra
Alors courage dans la bataille et sans flancher
Tenons bon, tuons les scélérats
Car une autre mélodie, je souhaite écouter. »
Quand nous nous réapproprions des symboles universels à titre individuel, nous les enrichissons de nos expériences personnelles, qui serviront le collectif plus tard. Chacun est libre de les réinterpréter, de les remodeler et de les présenter au monde. Avec de la chance, vos créatures personnelles trouveront un écho chez les autres. Jusqu'à ce que les lecteurs les transforment à leur tour...
Ayant grandi dans le sud de la France, Nicolas Einrohn est très tôt influencé par les principes de l'éducation populaire et du développement durable. Curieux de tout et voyageur dans l'âme, sa soif de découverte est à la mesure des merveilles qui nous entourent. Il estime faire partie de sa génération en étant un « spécialiste du touche-à-tout ». Il aime danser et, selon lui, la poésie et la danse partagent un rythme, dans lequel il aime vivre et travailler. -
Je ne voulais rien dire, mais j'avais besoin de l'écrire.
J'ai composé des phrases avec la musique que me sifflaient les mots dans mon silence.
C'est en Suisse que Slone a commencé son histoire de vie. Depuis, elle a grandi, et c'est du haut de ses vingt ans qu'elle a pris son envol pour Paris. L'albatros qu'elle est a ensuite décidé de déployer ses ailes pour tenter de s'extirper des nuées. Transportée par la poésie, elle désire vivre de vers et écrire la vie en prose. -
Le 29 décembre 2020, j'ai posé mes bagages à Corbeil Essonnes.
Au fil de l'eau de la rivière Essonne, au cours de cette première année, avec les hauts et les bas de la vie, j'ai été inspirée par cette ville.
Ces petits bouts de textes forment une mosaïque des quartiers de la ville et de mes moments de vie corbeilloise.
David Hockney a fait une fresque pendant le confinement sur la Normandie intitulée : A year in Normandy.
Je lui répondrais : A year in Corbeil ! -
Le livre que vous tenez entre vos mains est un recueil de poésie, d'odes et de haïkus.
C'est aussi une invitation à la rêverie et à la flânerie.
Embarquez-vous abord sur cette caravelle de lettres,
Pour naviguer sur ma mer de mots rêveurs.
Je vous promets un voyage solitaire rempli d'un monde grouillant de vie.
Place aux verbes conjugués au présent du futur passé.
Je navigue dès à présent sur un long fleuve poétique. -
« Des crayons de couleur sur le sol
Ont brûlé toutes mes lucioles. »
Parfois les mots sont fêlés, reflet d'un coeur en fissures. La poésie aide alors à les réparer ou à les détruire.
« L'écume de la mer a tout emporté
Tous les pleurs, et toutes les beautés
Ne reste que du sable rempli de vers
Où notre coeur est tombé en poussières. »
Les vers permettent alors l'impossible, et nous emportent jusqu'aux étoiles. -
« L'art est un voyage qui n'a pas de destination.
La poésie est un rallongement de l'âme. »
De la sensibilité naissent les émotions, du vécu naît la sensibilité. Sur ces pages, des émotions métamorphosées en mots, des instants présents figés sur papier, le coeur qui réfléchit et l'âme qui parle. -
Des mots dans tous les sens et leurs accords sonores
rythment la musique de ces poèmes.
Des souvenirs et gags peuplent ces poésies qui expriment des
sensations de la nature et de l'enfance. Jardin extraordinaire,
les Buttes Chaumont, occupe une place particulière, avec
son grand sophora. Quelques illustrations personnelles animent
ce recueil. J'espère que les poèmes en vrac, complètements braques,
feront rire et rêver dans un air de liberté. -
Les images fragmentées du monde
s'impriment mal sur un tissu léger
Et nous sommes trop souvent
des témoins distraits
Mais quand les manèges s'arrêtent
Nous comprenons
que c'était une fête
Les poèmes de B. Lamro font le grand écart entre la Turquie, l'Iran et l'Amérique latine. Des rêveries qui évitent le pittoresque, mais qui questionnent le sens de tous ces voyages, le sens de « notre présence au monde ». -
Seul...
L'homme vit dans ses songes,
Fait face à ce qui le ronge,
Sans personne à qui confier,
L'histoire de son âme torturée.
Perdu dans ses transports,
Il se prend à rêver,
puis s'endort Seul...
Cette solitude le rend amer,
C'est ce qui forge le caractère,
Comment faire autrement ?
Patiemment il attend seul...
Jusqu'à cette rencontre nouvelle,
Quand il trouvera chez elle,
Cette lueur naturelle
Qui réchauffera son coeur :
Un penchant vers le bonheur ? -
Pas à pas, dans son allant, le bonheur, la culture, le questionnement des effets et des causes, le flux des interactions et des voyages, le recueil de poésie Mots scellés, au fil de ses dix carnets, se découvre dans le jambage et la ciselure des mots, l'itération des pieds et des rimes, la presse des images et la réalité des émotions. Quand la lecture chemine avec philosophie, la connaissance et la compassion redéfinissent ce qui peut distinguer la condition humaine et son humanité : passer le silence dans les mots, aimer et comprendre pour se reconnaître.
« Le navire fait route
emportant dans la nuit
tous les grains contrariant
et dans les vents d'Orient
un feu de poupe luit
pour tenir les écoutes. » -
Ce recueil de poèmes est le récit d'un amour premier et unique. À la suite du décès brutal de son épouse, l'auteur livre avec lucidité son état d'âme dans le deuil. Il revisite sa vie avec ses joies et ses peines.