Filtrer
Rayons
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
- Sciences humaines & sociales
- Sciences & Techniques
- Scolaire
- Parascolaire
- Dictionnaires / Encyclopédies / Documentation
Éditeurs
Langues
Formats
Edern Éditions
-
À l'heure du limoncello, suivi des Dialogues du Maître soufi
Jalel El gharbi
- Edern Éditions
- 10 Juin 2024
- 9782930492834
Jalel El Gharbi est un poète à la fois savant et sensible, qui a compris que le rôle de l'aède n'est plus de décrire seulement les figures de la réalité mais d'en toucher la vérité profonde à travers une subtile transfiguration, atteignant ainsi à l'essence même du réel.
Philologue de langue arabe et grand connaisseur des deux cultures des rives de la Méditérannée, El Gharbi nous propose dans cet ensemble poétique en langue française une somme poétique originale en deux mouvements complémentaires : À l'heure du limoncello, ensemble élégiaque axé sur l'amour profane suivi des Dialogues du Maître soufi, méditation philosophique sur la mystique de l'amour et sur l'amour mystique. -
Utopies poétiques et carnets d'un long voyage entre 2017 et 2024, ce recueil inspiré d'expériences sensibles et tangibles nous invite à célébrer enfin l'avènement du jasmin.
Fleur d'Orient et d'innocence des maux du monde, l'accession poétique du jasmin au sommet de la conscience devient essentielle pour tenter de vivre, comprendre et calmer la violence de notre époque. Par ses effluves salutaires, il remémore la beauté du voyage, sème l'optimisme.
De l'Atlas à Dakar, des rêves éthérés au cheminement de l'artiste, des flots d'une Mère Méditerranée à la dignité de femmes-symboles, la beauté du jasmin se dissémine aux côtés d'une géopoésie désireuse de dépeindre ce monde tel qu'il est. Et de s'en emparer. Sans arme, ni sang. Pour l'embellir, le rimer et signer un armistice pérenne dans le coeur des curieux, des enthousiastes et des justes. -
C'est un huis-clos hémorragique et carnassier : deux voix, une chambre avec vue sur parc, une énième rencontre comme un bouleversement répétitif où les choeurs commentent les situations. Ce livre singulier à deux voix et quatre mains est mû par une volonté d'approcher tout ce qui est absolulement contradictoire et vécu au même instant dans une rencontre, entre désir et acte d'amour.
Entre tension psychique et tension sexuelle, ébats et désirs, mots crus et images abstraites, le Réel inaccessible désenchante tout en nous poussant à l'écriture par ce désenchantement même. -
Sur les traces du poète malgache Jean Joseph Rabearivelo et ses Naissances du jour, Elie Ramanankavana nous convie à ces multiples naissances qui parsèment nos existences. Car si l'on meurt un jour, il est inacceptable de ne naître qu'une fois. Ces poèmes sont un recueil de ces naissances qui se cachent dans les plis, failles, blessures et recoins de la vie. Un mot, un vers, une strophe, sur de minimes et de délicats gestes, afin d'accoucher encore et encore d'un soi goûtant à l'infinité de l'être.
Remettre la naissance à aujourd'hui. Malgré l'absurde et l'amer de la condition humaine.
Si choisir est possible, laissons-nous glisser mille fois avant que de chuter. -
Une poésie dans l'air du temps.
À la lanterne rassemble des poèmes initialement publiés sur les réseaux sociaux. Ils sont la trace de liens, d'échanges, d'ouvertures et d'attentes. Ils s'inscrivent ainsi dans le cours du temps, avec les sentiments et les impressions du jour, et témoignent d'une solitude aux aguets qui tient, dans son intimité, une manière de journal métaphysique de ses affinités et de son regard sur le monde. -
Nouv.
Et toi, le feras-tu ?
Qu'est-ce qu'aimer, sinon prendre la mesure d'un quiproquo fondateur entre deux êtres. Elle partira, puis reviendra et le trouvera merveilleux. Lui, n'arrêtera pas de la rêver comme une histoire préexistante qui n'entre jamais dans les cases. Peut-être la tuer ? Mais non, il préférera l'imaginer morte. Quant à elle, sa peau en a vu d'autres.
