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Amalthée
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« Fais-moi grandir ces instants
Que je semais dans le néant.
Ouvre toutes ces barrières
Qui me retiennent à hier.
Je partais pour les retenir
Mais suis tes pas à l'avenir. »
En travaillant à lier la phonétique, l'orthographe et le sens, la niaque des Mots se construit comme un recueil énigmatique à résoudre, riche d'un second degré qui veut souvent dire beaucoup. Protéiforme, il s'essaye à différents styles poétiques contemporains et se dévoile sur l'actualité, l'amour, l'humour, la mythologie ou encore la religion. -
« Ma plume glisse sans retenue
En traçant l'arabesque des mots,
Fil fragile, assemblage de maux,
Tissu ténu de mon âme nue. »
Ce recueil est celui des instants : d'émotion, de sentiment, de réflexion, de rêverie. Les poèmes racontent la Vie, dans sa fragilité et sa richesse. Tantôt contemplatifs, tantôt mystiques, les textes nous emportent au coeur de ces moments d'infini, immortalisés à jamais sous la plume.
Savourez l'instant poétique comme moyen de résilience et de sublimation, tel le catalyseur d'une révélation, qui mourra sans cesse pour renaître ailleurs... parce qu'il faut fleurir en terrain hostile -
Et quand le papier se transforme,
Projette comme le miroir,
L'égo profond de soi les formes,
La peau rougit tant blanche que noire.
Mais en secret comme elle est douce,
La cabriole de la plume !
Cette fois sortie de sa housse,
De sa danse parle et lève la brume.
Le recueil de poèmes « La danse des mots » mêle réflexions sur des sujets existentiels aux ressentis de l'auteur face aux tourments de la vie en passant par des poèmes plus descriptifs avec un soupçon d'humour. -
« La pluie a fleuri le jardin
D'un tapis de perles magiques,
Aux rais d'un soleil incertain
La pluie a fleuri le jardin.
Le saule égrène son chagrin
En douces larmes romantiques,
La pluie a fleuri le jardin
D'un tapis de perles magiques.
En un rustique et vert écrin
La pluie a fleuri le jardin.
La tonnelle en vertugadin
S'égaye d'escargots lymphatiques,
La pluie a fleuri le jardin
D'un tapis de perles magiques.
Des tendres roses à l'arbre pin
La pluie a fleuri le jardin.
Le cèpe a ouvert son pépin
Aux fraîches ondées sporadiques,
La pluie a fleuri le jardin
D'un tapis de perles magiques. » -
Les plus beaux contes de l'Afrique noire
Jean Jacques Minkandé
- Amalthée
- 12 Juillet 2023
- 9782310054935
À travers ce recueil, nous pénétrons Père
dans la tradition culturelle et littéraire
africaine. Un retour aux sources, aux
origines, permettant ainsi de découvrir
les contes écrits et oraux qui perdurent
encore auprès des populations du Berceau de l'humanité. Une mise en
lumière nécessaire afin de découvrir et
comprendre les innombrables peuples
de tout un continent.
Découvrez ainsi Les plus beaux contes
de l'Afrique noire, revivez les plus belles
légendes africaines, les mythes et
coutumes de ce continent riche de ses
cultures et de ses habitants. -
-
«Pourquoi une réponse toujours,
Pourquoi justifier souvent,
Simplement penser chaque jour,
Puis espérer bien longtemps.
La liberté c'est être,
La vérité ce n'est pas paraître,
Aimer reste le plus beau,
Personne ne nous prendra ce cadeau.»
À travers des poèmes miroirs du quotidien, Thierry Dogat nous livre un recueil accessible sur l'amour, le temps, la famille, la vie tout simplement. Parfois léger, parfois dramatique, chaque texte reflète des moments de réalité avec sincérité.
Né en Moselle, Thierry Dogat écrit de la poésie depuis son plus jeune âge. Il aborde dans ses textes la vie au quotidien, l'amour des proches, les bons et les mauvais moments. Comptines de la nuit est son premier ouvrage, un recueil qu'il partage avec plaisir avec ses lecteurs. -
La « praxis poétique nous révèle les frontières introuvables qui délimitent la zone du Soi, à un processus d'individuation, (Jung). »1
Autrement dit, devenir autre, passe par la poésie.
Cet art de déceler l'âme du monde,
Cette quête qui a en commun avec la philosophie,
De saisir l'être derrière les apparences,
Qui miroite.
Le projet « espérance » contenu dans ce livre est de souligner l'importance de se relier au cycle des saisons.
Tout au long de notre vie, en découvrant l'apport fondamental des temps de jachère et de repli pour l'essor printanier de la créativité humaine ou le renouvellement estival de la tendresse.
1 - BARBIER, René, opus cit, p.25/ BARBIER René in Résumé de l'Habilitation nationale à diriger des recherches : l' Approche transversale, sensibilisation à l'écoute mytho-poétique des situations éducatives. Université de Paris 8, 1992 consultable en ligne in Journal des Chercheurs, 2013 -
Myrlène Sarrazin est née en 1968 à Bordeaux, son terroir, la presqu'île du Médoc. Dès son plus jeune âge, solitaire et passionnée par la littérature, Baudelaire, Apollinaire, Rousseau, Martin Gray vont ponctuer son chemin.
À l'âge de 15 ans, la mort lui « arrache » son meilleur ami Michel... La porte de l'écriture s'ouvre alors... Un chemin fait de points de rupture, de petits bonheurs, de souffrances... Un père trop tôt parti... Des histoires de vie dans une vie... L'écriture sera pour elle le chemin de la résilience.
« L'écriture est la peinture de la voix » écrivait Voltaire, les maux à travers les mots... À découvrir...
Entre le défini et l'indéfinitif marque ce qui dans mon parcours a permis de sauver l'essentiel, l'authentique, la force de vivre plus forte que tout.
De multiples rencontres, heureuses ou malheureuses, des moments de vie, la lente déconstruction, la possible reconstruction grâce à l'écriture. La poésie devient alors le lieu de la blessure, au lieu d'être mortifère elle devient source de vie. -
La cinquantaine précise, mais enfant en mon coeur.
J'interroge l'adulte que je suis tenue d'être, toujours en chantier, à l'étroit dans les boîtes conceptuelles où rien ne souffle plus car tout est prévu.
Pourquoi se mettre en chemin pour revenir à la peinture et à la poésie ? Comment relier les Haïkus, les huiles sur toiles, la densité et la profondeur de l'écriture solitaire ?
Conçu d'un trait, où est la place réservée aux émotions, à l'inventivité, à la mise en voix de chacun ? Place inachevée, place inachevable, mais tout de même place à prendre.
Une voix qui en appelle une autre, un texte ouvert à l'autreté, et l'intertextualité peinture/poésie libère enfin cet espace propre au travail des émotions.
« le dit ne nous « o dito, não nos
consolera pas de tout consolará de tudo que
ce qui reste à dire. » nos resta a dizer. » -
ET SI TU REVENAIS...
Et si tu revenais
De joie j'irais danser dans la rue
J'embrasserais tous les passants, je leur offrirais des fleurs
J'écrirais ton nom sur les façades des maisons
J'irais allumer des feux de joie sur toutes les montagnes
Je marcherais dans le ciel sur une corde tendue
Je tresserais en couronne les rayons du soleil
Et j'en ornerais ton front
J'attacherais des ailes dans ton dos
Et je t'emmènerais écouter la symphonie des étoiles
J'emprisonnerais la lumière dans tes yeux
Et ils éclaireraient l'Univers
J'irais cueillir pour toi la fleur qui pousse sur les glaciers,
Celle dont le calice de feu fait fondre les neiges éternelles
Je planterais sous ta fenêtre un arbre géant où nicheraient
Tous les oiseaux du ciel
Je verserais dans la coupe de tes mains la rosée du matin
Pour qu'elle reflète la beauté du jour commençant
Je te ferais baigner dans un ruisseau de parfum
Je t'habillerais avec l'or et le pourpre du couchant
Je volerais vers toi avec les ailes de l'espoir
Si tu revenais, j'aimerais toute l'humanité,
Je confierais au vent la semence de l'amitié
Pour qu'il la porte aux quatre coins de la terre
Et qu'elle germe dans tous les coeurs.
Poème extrait de Sentiments, page 29. -
« Il livre un recueil de poésies, aux Éditions Amalthée. En général, on trouve la poésie rébarbative, obscure, voire pompeuse et, pour tout dire, réservée aux initiés. Rien de tout cela avec "Les ombres de nos âmes". Un livre plein de surprises, de légèreté, de sensibilité et... de Bigorre. Un brin de nostalgie, peut-être, mais pas larmoyant, bien au contraire. Un recueil facile à lire, ce qui ne veut pas dire que l´écriture en est médiocre. »
Hélène Dubarry, La Nouvelle République des Pyrénées
Après son premier ouvrage Les ombres de nos âmes, le poète nous offre un second recueil tout en sensibilité qui nous réserve les mêmes frissons : légèreté de l'enfance, joyeuse mélancolie, espoir de l'amour et émotions vibrantes.
Né à Tarbes dans une très ancienne famille haut-pyrénéenne, Henri Cames a fait des études de lettres et civilisation allemande à Toulouse. Son parcours professionnel de 35 ans à l´étranger l´a amené successivement à Francfort, Vienne, Bruxelles et enfin à Berlin où il réside depuis dix ans avec son épouse allemande Carla-Christine, artiste peintre. -
« Mes Anges disparus, je les pose dans mes vers,
Gravant ainsi leur vie à travers l'écriture,
Je les pose dans ma peinture,
À travers laquelle ils reposent. »
Les mots ont le pouvoir de libérer les cris intérieurs du coeur, le pouvoir de graver la mémoire de l'amour perdu, d'en transmettre la lumière, laissant ainsi une trace éternelle.
La peinture, reliée à la poésie, donne vie aux mots, à travers les couleurs, le mouvement et l'éclat, comme une finalité.
Marie-France Delachat est née en 1964 à Périgueux. Après des études littéraires puis en psychologie et science de l'éducation, elle passe son DE d'éducatrice de jeunes enfants spécialisée en psychomotricité. Directrice de garderie pendant quatorze ans, elle développe auprès des enfants l'éveil à la littérature et à la musique. Aujourd'hui poète et peintre autodidacte, elle livre son premier recueil. -
« Don Juan aux Enfers, n'ayant rien d'autre à faire,
Que d'attiser encore un soupçon de conquête,
Comme un vice éprouvé qu'on ne peut satisfaire
Fut surpris de n'y voir point de dame coquette »
Ces vers tentent d'inscrire dans notre Modernité la noblesse et la rigueur historique de notre langue. Un défi ludique qui traduit une quête de vérité et une aspiration à la beauté... un sursaut d'éternité dont notre époque a bien besoin.
Poète par passion, l'auteur aime la musicalité des mots, ainsi que leurs sens et leurs correspondances. La poésie est le seul art qui rend service aux mots, et c'est avec plaisir et jeu que l'auteur de ces vers a enchaîné les rimes. -
Ab imo pectore ; recueil de poèmes en vers et en prose
Manohari
- Amalthée
- 8 Novembre 2019
- 9782310044660
« Mon inspiration poétique est revenue !
L'avais-je abandonnée, lâchement laissée choir ?
Je ne sais... mais mon coeur, à sa divine vue
Retrouve sa passion, ses rêves, ses espoirs »
« Aimer, prier, chanter, voilà toute ma vie », c'est ainsi que s'exclamait A. de Lamartine dans ses Méditations de 1820. A son image, ce recueil s'articule autour des trois mêmes idées bien définies. « Carmen Animae » représente le chant de l'âme et de l'esprit axé sur l'art poétique lui-même. « Carmen Cordi » est régi par les sentiments amoureux. Enfin « Carmen Dei » met en scène un Dieu impersonnel, une entité proche des divinités hindoues.
Inspirée par la poésie romantique du XIXe siècle ainsi que par les cultures gréco-romaine et indienne, cette oeuvre mêle les vers traditionnels à une prose plus moderne pour permettre à chaque lecteur de trouver sa voie dans le monde des émotions.
Après avoir étudié les lettres classiques à l'université de Toulouse puis obtenu son CAPES,
Manohari enseigne avec passion la littérature française, le latin et le grec ancien. L'Inde étant pour elle une immense source d'inspiration poétique et spirituelle, elle débute cette année un doctorat d'études spirituelles au Kerala, au sud du pays. -
Des larmes, il en coule dans une existence. Si certaines sont remplies d'amour, de paix et de bonheur, d'autres contiennent le désespoir, la haine et la douleur. Mais toutes reflètent l'âme des êtres qui les versent.
Qu'ils soient réels ou imaginaires, ces défunts ont tous connu la vie, cette expérience étrange, difficile à apprivoiser, tantôt agréable, tantôt déplaisante, parfois généreuse et quelque fois cruelle.
Certains ont eu la chance de voyager en Bucolie ou se sont rendus sur l'île rose, tandis que d'autres, meurtris, ont traversé Melancholia pour finir à l'abattoir.
Ces poèmes se font s'affronter l'espoir, l'amour et le savoir à la bêtise, la haine et le désespoir. Peu importe qu'ils aient un réel sens, pourvu que les rêveurs puissent s'évader en y plongeant. -
« Danser comme l'on prie.
Écrire comme l'on aime,
La fièvre dans la chair,
L'éternité dans l'âme.
C'est la même peine.
C'est le même cri.
Ce dialogue de silence
C'est notre paradis. »
À travers ses poèmes où le songe et le réel se côtoient, Danièle Auray nous entraîne de la terre au ciel, du visible à l'invisible. Le temps d'un souffle et d'un soupir, elle fait entendre sa voix authentique et prenante.
Artiste protéiforme, Danièle Auray est tour à tour danseuse classique, comédienne, co-fondatrice du Théâtre de la Rivière sur les canaux bretons, créatrice et directrice du festival de Suscinio en Morbihan, auteure et réalisatrice de féeries et de pièces pyrotechniques. Elle vit la poésie comme une navigation intérieure, une invitation à s'aventurer au-delà des apparences.
Retrouvez l'auteure sur son site :
www.daniele-auray.fr -
« Donc je tangue, je vacille et je désespère,
Dans cette marée de visages éphémères,
De mots, de voix, de sons, de souvenirs amers,
Et de faux espoirs en tes sourires prospères. »
Témoignage de treize ans d'existence, ce recueil est un cri du coeur sincère et cathartique, une main tendue vers tous ceux qui sont confrontés d'une manière ou d'une autre à cette maladie négligée qu'est la dépression.
Chaque poème a la volonté de libérer la parole, glissant de l'innocence de l'enfance aux premiers déboires sentimentaux, des questionnements adolescents aux tourments de l'âge adulte.
Un ouvrage sincère pour aider les malades à se sentir moins seuls, à mettre des mots sur ce qu'ils ressentent mais également pour aider chacun d'entre nous à comprendre et appréhender la dépression.
Née en 1996, Pauline a grandi dans la campagne autour de Bordeaux. Aînée d'une famille de quatre enfants, elle est une amoureuse de la Nature, des animaux, de lecture et de jeux en tous genres. Après un Bac S et quatre années dans des cursus médicaux, elle change de parcours et intègre une faculté de Lettres modernes. Son recueil de poèmes retrace un parcours de vie atypique et douloureux avec la dépression. -
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Les poèmes qui composent ce recueil d'Olivier Lechat expriment son amour profond pour la vie et la poésie, intimement mêlées.
Qu'ils soient lyriques dans le sens noble du terme ou plus abrupts dans leur expression, on y retrouve ce même élan de solidarité à l'égard des plus démunis, ce cri d'amour qui traverse l'univers entier et cette ferveur, sève nourricière de cette poétique existentielle qui fait vibrer toutes les cordes de la lyre et toutes les fibres du coeur !
Impossible de céder au sentiment de répétition tant la variété des registres du dire, qui sont aussi ceux du vivre, est manifeste. Le lecteur y puisera force et espoir. Il se laissera surprendre par la beauté des vers et des rythmes.»
Julien Miavril -
Quelles sont les chances
Pour que la vie naisse
Et s'épanouisse
À en croire
Les milliards de milliards d'étoiles
Les possibilités sont illimitées
Mais si on prend en compte
Toutes les contraintes et nécessités
Ne paraissent-elles pas infimes
Finalement
Nous sommes infiniment petits
Mais si nous détenons l'unique
La responsabilité est immense -
Quand j'étais enfant, la nuit m'enveloppait,
D'un manteau de secrets et de sombres mystères.
Je me sentais une autre et, sans bruit, je marchais,
À l'affût d'une ombre étrange ou familière.
Désormais, la Nuit est une compagne intime.
J'ai remplacé les ombres par des vers et des rimes.
Il m'arrive de chercher en vain l'inspiration.
Le soir qui me surprend n'est pas toujours fécond.
Et puis, dans un élan de grâce ou de lumière,
Les mots me reviennent, enveloppés de mystère.
Je me sens en transe, je me sens inhumaine.
Des rimes se bousculent dans une ode aérienne.
La nuit de mon enfance s'éclaircit au matin.
L'aurore juste naissante s'ouvre sur un nouveau jour.
Je ne fais plus la guerre, je n'ai plus de chagrin.
Aux sombres déraisons, mon esprit reste sourd.
Ainsi, je peux marcher sur des plaines superbes.
Je m'allonge un instant dans les plus hautes herbes.
Mes idées vagabondent à travers les nuages.
Je salue du regard des avions de passage.
Christine Del Moral livre un recueil poétique émouvant, teinté parfois de souffrance mais également d'optimisme et d'espoir. Les thèmes sont définis et appellent à un regain de vie.
La Shoah et l'horreur de la guerre parsèment la première partie, puis au fil des rimes, une ouverture sur l'amour. Un appel à l'optimisme, à des lendemains plus doux. La guerre comme toile de fond, elle clame l'envie de vivre avec tendresse. -
Amour ! Oh ! Amour invincible !
Ton sourire bleu, glace mon soleil...
Mystère le début de l'histoire,
plein de rêves il en est.
Tes baisers me glacent, un souhait vite fait :
que je reste immobile,
pour que tu ne partes jamais !
Je veux que ta boussole soit cassée
à ma destination !
L'Amour, on ne le vit qu'une seule fois ?
On en rêve, mais on n'y touche pas ?
Car on est tous des immigrés
qui errent quelque part
aux pays de l' Amour...
Je perds le temps,
je perds mes mots,
je m' emporte dans tes eaux
à l' océan de ton Amour...