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Éditions Hannenorak
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Du deuil douloureux de l'Ancêtre toujours présent au legs à laisser à la jeune génération, Les visages de la terre explore l'univers spirituel wendat dans le vécu quotidien du poète.
Après la poésie guerrière et revendicatrice proposée dans De la paix en jachère (2012), Louis-Karl Picard-Sioui retourne à ses racines wendat dans son quatrième recueil. -
Les poèmes de / Nunaapiga / Mon cher petit territoire ont été écrits en inuktitut par des Inuit lors d'ateliers d'écriture tenus à la maison de la famille d'Inukjuak au Nunavik et au centre Ivirtivik de Montréal. Ils ont été recueillis et traduits dans le cadre du projet Inuktitut Uqatsianguarutiit, coordonné par les Productions de brousse.
« Ces poèmes m'ont donné l'impression d'être à la maison. [...] Je chérirai ces moments que nous avons vécus, ces textes que nous avons écrits. Nous étions ensemble. »
Angela Amarualik -
Reflet d'une période sombre, celle des pensionnats autochtones, Ni kistisin / Je me souviens évoque avec lucidité les fractures qui s'inscrivent dans le coeur et le corps des enfants dépossédés de leur culture et de leurs racines. Bien que la douleur préside à l'écriture des poèmes, ceux-ci sont indéniablement porteurs de douceur, de
tendresse et d'espoir.
Traversé par les murmures du vent, par la fluctuation des eaux de la rivière et par la mémoire, ce recueil posthume tend vers un désir de transmission, de filiation et invite à
la célébration de la vie. -
L'artiste wendat Andrée Levesque Sioui trace ici ce qui, du passé et du présent, demande à retrouver une voix et un souffle. Cette incarnation du chant témoigne de la nécessité organique et sacrée de rendre visible ce qui autrement nous échappe, de mettre en lumière l'histoire, la réflexion, la parole.
Dans ce recueil, les mots de la poète voyagent de la peau du corps à la peau du tambour, de l'écorce de l'arbre aux grandes eaux de la mémoire, en passant par l'incontournable désir de dire vrai. -
Nipinapunan fait entendre la voix intérieure d'une jeune Innue de Pessamit qui cède à l'entêtement de son conjoint montréalais désireux de vivre, le temps d'un été, « le folklore et l'exotisme » d'une communauté autochtone. L'amour de la langue, du territoire, des origines, et les sentiments envers l'être aimé sont ici finement tressés, tout comme ce qui leur fait ombrage. Dans ce véritable chant du coeur, Alexis Vollant signe ici son premier recueil de poésie.