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Judas priest ; heavy metal painkillers
Martin Popoff, James Guttman
- ECW PRESS
- 26 Septembre 2011
- 9781554907847
When the world thinks of heavy metal in its pure, potent, undiluted form, it is none other than the Metal Gods, Judas Priest, that instantly come to mind. Chrome and black leather, studs and whips and chains, a chopper on stage ? these are the tools of the trade for Rob Halford and his legendary band of Birmingham bashers. Back stronger than ever, Judas Priest, in 2005, issued their acclaimed Angel of Retribution album. It is long overdue that their story be told.
Published to coincide with a new album in fall 2007, Martin Popoff's book, Judas Priest: Heavy Metal Painkillers, examines the band's rich legacy album by album, anthem by anthem, recounting the band's shocking split with Halford in the mid '90s and his triumphant return in 2003. Having interviewed all the principals in the band repeatedly over the years, Popoff gives a firsthand account of the Priest's rocky, often comical ride through the '70s, through the gold and platinum records of the '80s, detailing the long road back to the status the band now enjoys as heavy metal's proudest ambassadors. Accompanying Popoff's lively text are more than 500 full-colour images, the band's gleaming steel imagery springing to life through a myriad of photos from the stage, memorabilia shots, cover graphics, and all manner of Priestly feast for the electric eye. -
Monsieur Jazz : entretiens avec Pierre Casalta
Hugues Panassie, Pierre Casalta
- Stock (réédition numérique FeniXX)
- 16 Juin 2016
- 9782234105379
« Tous les amateurs de jazz sont redevables à Panassié, car il a appris à des millions de personnes comment aimer le bon jazz. Et, moi aussi, je lui suis reconnaissant, parce que le jazz, c'est ma vie... Il a plus fait pour les musiciens, que qui que ce soit à ma connaissance. » Louis Armstrong.
« Hugues et moi, nous servons la même Muse. » Duke Ellington.
« Sans Hugues Panassié, il n'y aurait pas de Louis Armstrong, pas de Duke Ellington. » Lionel Hampton.
« Hugues est l'homme le plus sincère, le plus inclassable que j'aie rencontré dans toute une vie de voyages. Je rends grâce à l'éternité d'avoir placé parmi nous cette forte personnalité. » Mezz Mezzrov.
« Il était le plus grand ami des musiciens noirs. » Milt Buckner.
« Nous sommes tellement à lui devoir tant que ce ne sont pas quelques mots qui peuvent exprimer ça. » Alix Combell. -
Tombeau de Jim Morrison
Jean-Yves Reuzeau
- FeniXX réédition numérique (L'Incertain)
- Tombeau
- 1 Avril 2016
- 9782402064477
La vie comme une illusion. Entre gloire et désenchantement. Héros mythique, Jim Morrison (1943-1971), chanteur et parolier des Doors, continue de fasciner des générations d'auditeurs et de lecteurs. Pourquoi ? Ce récit ne prétend pas répondre à l'énigme. Il utilise la fiction et le syndrome du dédoublement de personnalité pour approcher au plus près le mystère. Mais qui parle ? Jim Morrison ? Un malade de légende ? Chaque lecteur, chaque auditeur, dans la caisse de résonance de sa mémoire ? Peu importe. Seul le chant nous emporte et nous fait vaciller parmi la musique des mots. Mythe : récit fabuleux, souvent d'origine populaire, qui met en scène des êtres incarnant sous une forme symbolique des forces de la nature, des aspects de la condition humaine.
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Au début des années 1960, Barry Miles était un étudiant en art ; à la fin il dirigeait le label Zapple des Beatles, vivant dans le légendaire Chelsea Hotel de New York. Voici le récit de ce qui s'est passé entre les deux.
Durant cette décennie, Barry Miles organise avec Ginsberg et Burroughs la lecture qui marque l'avènement de la Beat Generation à Londres, cofonde la galerie Indica, véritable centre de commande de la contreculture et y lance le premier magazine underground d'Europe, International Times...
Le journal de Miles est au plus proche des artistes des sixties, à la fois pour la littérature et pour la musique. Il fait se rencontrer Yoko Ono et John Lennon, suit la grossesse de Marianne Faithfull, collabore avec les Beat- les, fait la fête avec Frank Zappa et les Pink Floyd, s'entretient avec Mick Jagger et Leonard Cohen, enregistre Bukowski, Brautigan et Burroughs sur Zapple Records... Saisissant ! -
Les 100 mots de l'opéra
Philippe Jordan, Emmanuelle Josse
- Que sais-je ?
- Les 100 mots...
- 26 Février 2014
- 9782130624196
L'opéra est un spectacle à part : il invite tous les arts, propose l'alliance du texte et de la musique, attire aussi les plus grands artistes de l'époque pour sa mise en scène, pour ses décors. L'opéra est un bâtiment à part : c'est un des lieux les plus prestigieux des grandes villes, un marqueur social de la cité. L'opéra est une entreprise collective : des chanteurs aux techniciens, du chef d'orchestre aux musiciens, chacun oeuvre à la réussite de la représentation. L'opéra est exigent : il demande à son public de connaître ses rituels et d'adhérer à toute une série de conventions radicales - sur scène, tout le monde chante et tout est chanté - pour s'abandonner à ses délices.De la « fosse » jusqu'aux « décors », des « répétitions » à la « première », Philippe Jordan nous invite à découvrir toutes les dimensions de l'opéra. Éclairant les traditions de ce genre musical au prisme de sa propre expérience, il nous dévoile aussi sa conception de la direction d'orchestre, de la relation au public, aux chanteurs ou encore aux metteurs en scène, etc., de l'opéra en somme.
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L'indépendance de la musique de film
Yohann Guglielmetti
- Editions L'Harmattan
- 10 Septembre 2020
- 9782336908069
La musique navigue entre fonctionnalité et indépendance au cinéma comme dans l'opéra. L'idée d'une musique au service de l'image se retrouve tant dans les métaphores visuelles employées par les biographes de Beethoven que dans Alexandre Nevski et Ivan le terrible. Pourtant, élément de mémoire et de mystification émotionnelle du film, au coeur de la problématique du rythme et de la temporalité intrinsèque de l'oeuvre, la musique peut tant se rattacher à la vie intérieure des personnages, à la diégèse et à l'intrigue que s'accorder toute latitude par rapport aux images.
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Les 100 mots de la musique classique
Thierry Geffrotin
- Que sais-je ?
- Les 100 mots...
- 9 Août 2013
- 9782130616832
100 mots pour évoquer la musique classique, c'est beaucoup plus que les 3 clefs utilisées par les compositeurs, beaucoup plus que les 5 lignes d'une portée musicale, beaucoup plus que les 12 notes de la gamme.Mais 100 mots pour évoquer la musique classique, c'est finalement peu. Vouloir recenser tout le vocabulaire, les mots techniques, le jargon, sans oublier les emprunts faits aux autres arts, à l'italien, à l'allemand et à d'autres langues encore, espérer épuiser toutes les ressources du langage musical relève de la gageure.100 mots donc, pour raconter la « Musique classique » : le qualificatif, à lui seul, est un véritable repoussoir. Il évoque un monument qui impose le respect, reflet fidèle d'une pensée bien structurée mais sans aspérité. La norme froide. Pas de défaut donc aucune qualité. C'est oublier que l'imagination, la passion, la jubilation, la souffrance parfois, et pas seulement le travail acharné ont présidé à la naissance d'oeuvres qui traduisent plus d'émotion que tous les mots de toutes les langues !En 100 mots attendus ou surprenants, de « A cappella » à « Zarzuela », en passant par « Fricassée » ou « Eurovision », Thierry Geffrotin nous invite à suivre son parcours musical.
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Tannhäuser fait figure de véritable tournant dans l'évolution musicale et théâtrale de Richard Wagner. Il ne cessera d'y apporter des corrections et en présentera deux versions, dont celle remaniée est appelée " la version de Paris ". Paul Scudo, critique musical attitré de la Revue des Deux Mondes, s'en fit l'écho en se déchaînant contre Wagner. La Revue des Deux Mondes n'en fut pas moins pleinement wagnérienne puisqu'elle publiait en 1869 l'article du musicologue Édouard Schuré sur Le drame musical de Richard Wagner, véritable événement fondateur du wagnérisme en France. Outre les articles de Paul Scudo et d'Édouard Schuré, réunis, annotés et introduits par Eryck de Rubercy, on trouvera dans cette édition le propre compte rendu que fit Wagner de l'exécution de son Tannhäuser à Paris.
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" Rien ne doit arrêter le poète, surtout pas le bon goût. " C'est avec empathie que Maurice Frot brosse le portrait du poète anarchiste. Celui qui fut son régisseur- conseiller artistique-chauffeur, mais aussi le dessinateur et l'ami du chanteur le raconte avec tendresse et vérité, dans un parler de titi parisien.Prosateur et romancier, Maurice Frot décrit avec gouaille le génie de ce poète maudit qui sut allier la ferveur musicale au brio littéraire : le chanteur anar ne se promenait jamais sans son gros cahier qu'il appelait " ma banque ", et qui était sa boîte à malices ; il considérait les chansons comme une " auberge espagnole ". De " Pépée " à " Vingt ans ", en passant par " Ni Dieu ni maître " et " La mémoire et la mer ", il a fait de chacune d'elles un poème dont l'équilibre fragile repose sur le bricolage, les collages de plusieurs textes, mais aussi sur le " pain perdu (l'art d'accommoder les restes) ".Dans son style fait de mots crus, d'argot parigot, d'anglais, de préciosité et de poésie pure, le chanteur libertaire gueulait son nihilisme, sa solitude, une forme incandescente de folie et de rage, mais aussi son amour infini. On le suit avec passion dans ses chemins de traverse. Sa vie, son oeuvre sont évoqués par le petit bout de la lorgnette : celle de l'émotion pure et d'une verve de chaque instant.Ce livre est la réédition complétée de Je n'suis pas Léo Ferré (Fil d'Ariane, 2001).
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Roselyne Bachelot, amatrice éclairée d'opéra, nous livre une version intimiste de la vie du compositeur de La Traviata. Elle n'a pas voulu faire oeuvre d'historienne. Ce livre, c'est « son » Verdi. Celui qui chante à ses oreilles, mais surtout, celui qui parle à son coeur.
C'est le fils, le mari, l'amant, le père que Roselyne Bachelot a voulu chercher dans la vie du musicien et dans sa musique, tant sa marginalité, ses inconvenances, ses légèretés le rendent étrangement contemporain et laissent présager des boule¬versements qui transformeront en profondeur les rapports amoureux et familiaux. -
Respect : le rock au féminin
Steven Jezo-Vannier
- Le Mot et le reste
- MUSIQUES
- 6 Mai 2021
- 9782361397562
En 1967, Aretha Franklin reprend « Respect » d'Otis Redding en inversant le sens des paroles pour dénoncer le règne de la misogynie. Elle n'est pas seule dans ce combat. Dans la société comme en musique, les femmes doivent gagner leur place. C'est une histoire méconnue du rock au féminin qui se dessine ici, mettant en avant les voix de la rébellion, à travers une galerie de portraits, d'attitudes et de paroles, des pionnières du blues comme Bessie Smith ou Ma Rainey, aux plus récentes et dissemblables Beyoncé et Beth Ditto de Gossip, sans oublier la résistance de Wanda Jackson, l'insoumission de Nina Simone, les transgressions de Janis Joplin, l'irrévérence de Donna Summer, la radicalité du Riot Grrrl et l'ambiguïté du Girl power, ou l'engagement de Françaises comme Colette Magny ou Brigitte Fontaine.
Steven Jezo-Vannier, né en 1984, est un spécialiste de la contre-culture et de l'univers rock. Il a écrit plus d'une dizaine de livres publiés aux éditions Le mot et le reste, dont des essais (Respect, le rock au féminin, Contre-Culture(s)) et les biographies de Frank Sinatra, Ella Fitzgerald, Grateful Dead, The Byrds ou Creedence Clearwater Revival. -
Délaissé par des parents voués à l'art lyrique - son père Pierre fut premier baryton à l'Opéra de Paris et sa mère Liette, pianiste, l'accompagna sur les scènes européennes - Claude vécut une enfance de cancre, solitaire et sans attrait. Éternel assoiffé, il éprouva très tôt le besoin de plonger son âme orpheline dans un bain de sens : la poésie et la musique. Crée ou crève ! Désertant l'univers des adultes, il créa un univers merveilleux puisé dans le sanctuaire de son imaginaire. Parce que son dessein était de devenir poète, Claude Nougaro, armé d'un arc-en-ciel de percussions, a arrimé son verbe et sa verve à ses cordes vocales et tiré de son carquois des flèches musicales venues des Amériques ou d'Afrique. Ainsi notre " marin de l'âme " a-t-il pu prendre la mer, faire voguer sa galère sur le gros dos des modes, répandant une houle sur la foule en laissant un sillage de soufre et de saphir sur son passage. Claude Nougaro (1929-2004) a su réunir les talents de poète, de musicien, de chanteur à voix et de bête de scène.
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Stratégie de promotion et de sauvegarde de la rumba congolaise
Dieudonné Moyongo
- Editions L'Harmattan
- 5 Janvier 2023
- 9782140311727
Le Comité scientifique conjoint (République du Congo-République Démocratique du Congo) pour l'inscription de la Rumba congolaise sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité a été mis en place à Kinshasa (RDC), les 27 et 28 février 2020, à la suite de l'atelier méthodologique de renforcement des capacités pour une meilleure connaissance des conventions de 1972 et 2003, organisé par l'Unesco et les comités nationaux sur la Rumba de la République du Congo et de la République Démocratique du Congo. Ce document, mis aujourd hui à la disposition des autorités politiques et administratives, des bailleurs de fonds, des opérateurs économiques, des praticiens de la Rumba et du grand public, est la feuille de route pour la promotion, la sauvegarde et la pérennisation de la Rumba congolaise pour la période 2021-2025.
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Cet ouvrage se propose de parcourir l'Opéra, à l'intérieur comme à l'extérieur de la salle, allant à la rencontre de l'institution, du lieu, de l'oeuvre et des personnes. Il cristallise les tensions tout en soulignant l'intérêt de leur dépassement, sans jamais les faire disparaître : l'Opéra restera toujours en soi une tension.
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Musique touaregue de l'Ahaggar (sud algérien)
Nadia Mecheri-Saada
- Editions L'Harmattan
- 1 Octobre 1994
- 9782296436503
A travers l'étude de la musique, c'est tout un panorama de la société touarègue de l'Ahaggar qui nous est donné, depuis le début du siècle jusqu'aux dernières décennies, et notamment depuis l'indépendance algérienne.
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« L'esprit dans lequel il convient d'aborder l'oeuvre de Puccini est, avant tout, musical. Quand les snobs ont souri à la "mer calmée" de Madame Butterfly, et rappelé que Margot pleure à la mort de Mimi, la porte reste ouverte à l'examen de la dernière grande carrière de musicien lyrique, et l'une des plus attachantes. »
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Louis Nucéra éprouva un coup de foudre amical pour Georges Brassens dès qu'il l'entendit chanter à la radio. Leur première rencontre eut lieu en 1954, à Nice. Jusqu'à la mort du chanteur, le 29 octobre 1981, ils dialogueront à l'infini.L'écrivain ne cachait pas que la gentillesse, la lucidité, l'humilité et le talent du chanteur l'aidaient à supporter la folie contemporaine. Au cours d'une série d'entretiens réalisée en 1974 pour RTL, qui est reprise in extenso dans cet ouvrage, Louis Nucéra obtint des confidences de son ami, qui parlait en toute confiance.Brassens y avance à pas feutrés pour mieux déverser sa diatribe contre le genre humain. Certains n'en ressortent pas indemnes. Entre les coups de colère contre les " programmateurs " de l'audiovisuel, il glisse des compliments en direction de Ray Ventura, Charles Trenet, Mireille, Paul Misraki, Jacques Brel, Barbara et Bobby Lapointe.L'interviewé et l'intervieweur sont des combattants solitaires et solidaires. Quand ils ne se voyaient pas, Nucéra, l'aristocrate du peuple, célébrait l'anarchiste Brassens dans des articles qui sont des exercices de style en forme de lettres d'amour.Les voici réunis pour la première fois dans une édition entreprise par Louis Nucéra, quelques semaines avant sa disparition.
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Il y a cent cinquante ans, Frédéric Chopin disparaissait. En trente-neuf années d'une brève existence, il léguait au monde une oeuvre aussi remarquable, par sa richesse mélodique, que par son caractère personnel. Chopin, en effet, avait inventé une musique aux couleurs et aux sonorités toutes nouvelles ; musique du coeur, musique de l'âme, qui jaillissait comme une source bienfaisante et provoquait, chez ceux qui l'écoutaient, la plus vive émotion. De plus, grâce à une virtuosité incomparable, Chopin ouvrait au piano des horizons nouveaux, imposait une technique éblouissante, qui faisait de l'interprète l'égal du compositeur. Au même titre que Mozart, Chopin est un pur génie de la musique, en même temps qu'un novateur. Mais Chopin ne fut pas simplement ce jeune homme romantique que l'on se plaît à décrire ; il fut aussi un personnage plein d'humour, n'hésitant pas, pour divertir ses amis, à faire, à son piano, un véritable "numéro". Il fut aussi un amoureux passionné, qui vécut auprès de George Sand une longue romance. Ce sont toutes les facettes du musicien que Claude Dufresne met en lumière dans son livre, ce sont les recoins secrets de son âme qu'il explore, les richesses de sa personnalité que l'auteur s'efforce de découvrir. Ayant eu, dans sa jeunesse, le privilège de s'entretenir avec le dernier élève survivant de Chopin, c'est donc un portrait inattendu du grand homme, que Claude Dufresne offre à ses lecteurs.
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Piaf avait besoin de la scène comme support du grand rêve, comme retour incessant et ennoblissant au bonheur d'exister. C'est sur la scène, affirmait-elle, et sur la scène uniquement, que je vis d'amour. Parce que tous ces gens réunis pour m'écouter m'enlacent, me soutiennent, me couvrent de baisers.""Cette femme exprimait, avec toutes les vibrations de son corps, le tonnerre de sa voix, une sublimation charnelle, une danse d'amour sur les volcans. D'un homme à l'autre, elle devait lutter contre le froid qui l'habitait. Aurait-elle pu se manifester si ardente, si tendre sur scène, si le désir avait été exprimé ailleurs ?"S. R.Elle aura tout donné à la chanson, au théâtre, à son public et, bien sûr, aux hommes qui ont traversé sa vie.De Belleville à Carnegie Hall, et de la misère à la gloire, Silvain Reiner retrace l'existence passionnée de la môme Piaf."
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Dans ce livre, j?ai voulu écrire à des gens, morts ou vivants, pour leur dire ce que je n?ai jamais osé leur dire. " Serge Reggiani reprend son courrier en retard. Peintres, acteurs, écrivains, chanteurs? il adresse à chacun une lettre, comme une dette à l?égard de la vie. Au fil des souvenirs surgissent les portraits des frères Prévert, de Picasso, Cocteau, Piaf, Camus, Brel, Lino Ventura, Romy Schneider, Simone Signoret? et de ses proches : sa compagne, ses enfants, son chat et surtout Stephan, son fils disparu. À l?alcool, à la mort et à la vie, à la poésie, qu?il a aimés jusqu?à l?ivresse, Reggiani adresse des missives pleines de révoltes et d?espérance. La réédition de ce livre, paru initialement en 1995, est enrichie de lettres à Jean Becker, Claude Sautet et à la peinture, sa plus récente passion. " Écrire avant qu?il ne soit trop tard. Dire à ceux qui vous sont chers qu?on les aime, avant de repartir du bon pied. Mission accomplie. [?] Des pages magnifiques. " Figaro Madame"
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Jouer en quatuor à Nantes de 1866 à 1906
Michelle Bourhis
- Editions L'Harmattan
- 28 Décembre 2023
- 9782140491917
Cet ouvrage contribue à combler une lacune : celle de l'étude de la musique de chambre dans une province française dans la seconde moitié du dix-neuvième siècle et au début du vingtième siècle.
Il relève de la sociologie tout autant que des problèmes du lieu du concert, des conditions d'interprétation, des réactions du public, du rôle et de la valeur de la critique à travers le relevé de cent dix-neuf concerts, leurs annonces et leurs comptes rendus.
Diverses annexes complètent ce panorama : statistiques des oeuvres jouées par les diverses formations, périodes d'activité de ces groupes de musique de chambre, portraits des protagonistes. -
Dans ce livre paru en 1959 et aujourd'hui réédité, l'auteur défend la chanson de qualité : Georges Brassens, Guy Béart, Léo Ferré, Serge Gainsbourg, Francis Lemarque, Ricet-Barrier... Il remet à leur place les adaptateurs patentés, les experts de bourses truquées et les besogneux, démystifie les fausses vedettes, publie chiffres et interviews, dénonce les paniers de crabe de la chanson comme on ne l'avait jamais osé jusqu'à ce jour.
Écrit avec humour et compétence, ce livre restera un classique pour tous ceux que la chanson intéresse. -
De Pékin à Paris, de Hong Kong à Los Angeles, le témoignage déchirant d'une femme broyée par la Révolution culturelle chinoise et sauvée par la musique.Pékin, 1969 : Zhu Xiao-Mei est un " être de mauvaise origine ". Autrement dit, avant la révolution maoïste, ses parents étaient des bourgeois cultivés. Une tare d'autant plus lourde à porter pour la jeune Xiao-Mei qu'elle a un don précoce pour le piano et une passion pour la musique décadente - Schumann, Mozart, Bach. Elle est donc envoyée en camp de rééducation : il faut éradiquer en elle tout désir autre que celui de mourir pour Mao.
Les années passent... Xiao-Mei est devenue une bonne révolutionnaire. Mais, un jour, elle trouve dans le camp un vieil accordéon. Elle caresse les touches, se risque à jouer un accord, quelques notes de musique s'élèvent... Par enchantement le temps perdu s'efface, les rêves reviennent, l'espoir renaît. Xiao-Mei jure qu'elle rejouera du piano. Il lui faudra encore dix ans pour atteindre son but, dix ans de souffrances, de lutte acharnée, d'exil.
Aujourd'hui, Xiao-Mei est célébrée dans le monde entier comme une pianiste virtuose et une immense artiste. -
Ce beau-livre à la maquette soignée est un recueil d'histoires courtes en BD, d'illustrations et de témoignages d'écrivains, d'artistes et de musiciens reconnus.On ne présente plus Iron Maiden, groupe de heavy metal britannique formé en 1975 et qui a cumulé 100 millions d'albums vendus en 50 ans de carrière.L'album Piece of Mind en 1983 les a propulsés tout en haut de l'affiche. La maidenmania s'est répandue comme une traînée de poudre, chaque fan répandant la bonne parole pendant que les profs menaient une lutte perdue d'avance contre les logos Iron Maiden gravé dans le bois des bureaux et les Eddie dessinés dans les marges des contrôles de math. Des groupes de fans traversaient la moitié du monde pour assister à des concerts qui deviendraient autant de moments inoubliables.Chaque fan de Maiden a sa propre idée de Maiden et on peut dire que c'est ça, le point de départ de ce livre: réunir une équipe de scénaristes et de dessinateurs de tous horizons - y compris Bruce Dickinson himself - et les laisser transcrire, à la plume et au pinceau, au bic et au stylet, ce que cet album leur a inspiré.Liste des contributeurs?: Bruce Dickinson, Tony Lee, Damien Worm, Steven Grant, Antony Johnston, Alison Sampson, Leah Moore & John Reppion, John Pearson, Chris Roberson, Danijel Zezelj, Mike Oeming & Taki Soma, Brian Posehn, Carson Thorne, Staz Johnson, Iván Brandon, Francesco Dossena, Heather Moore, Sacha Gervasi, Christian Rosado, Juanjo Guarnido, J. G. Jones, Ghoulish Gary, Akirant, Jan Meininghaus, Jay Geldhof, Carin Hazmat, Nat Jones, Steve Chanks, Kyle Hotz, Travis Knight, Montos & Rantz Hoseley