Ce livre retrace le parcours d'Eustache Dauger, analyse les indices et confronte les témoignages, afin de lever le voile sur la véritable identité du Masque de fer. S'appuyant sur des centaines d'archives d'époque et d'observations inédites, il entraîne le lecteur de révélations en surprises sur la piste d'un complot d'ampleur insoupçonnée dans les alcôves secrètes du pouvoir. 19 novembre 1703. Il y a 320 ans, un mystérieux détenu meurt à la Bastille après trente-quatre ans d'enfermement dans les geôles du roi de France, Louis XIV. Son visage est masqué. Son nom " ne se dit pas ". Son passé reste une énigme... Entouré de précautions extraordinaires, on l'avait longtemps gardé aux confins du royaume, caché dans le Piémont italien puis à Sainte-Marguerite, une île au large de Cannes où fut construite, exprès pour lui, la plus sûre des prisons d'Europe.
Trois siècles d'enquête ont permis de découvrir son nom : Eustache Dauger. Un illustre inconnu, devenu l'un des plus célèbres prisonniers de l'Histoire.
Mais qui était cet homme ? Qu'avait-il fait pour mériter un tel châtiment ? Espion, traître ou témoin gênant... pourquoi ne l'a-t-on pas simplement supprimé ?
Un ouvrage rythmé, plaisant à lire et non dénué d'humour, écrit par un psychologue passionné quivient en aide à ses patients par un processus d'auto-diagnostic, les invitant à analyser ce que leurs propos révèlent de leur inconscient. " Je consulte pour vivre aux côtés de ceux qui devraient vous consulter "
" Si tu continues d'agir comme ça, tu vas finir comme une clocharde ! m'a toujours dit mon père.
" Je m'épuise à I'aider et me demande s'il lui Ie veut vraiment ? "
Diverses phrases qui, sorties de la bouche de ses patients en consultation, ont attiré I'attention de Jérémie Gallen. Sa passion pour I'analyse et le décryptage de la personnalité I'ammène aujourd'hui à écrire ce livre, ouvrage parfait pour les personnes souhaitant saisir les mécaniques de pensées et de comportements qui sont les leurs ou comprendre celles des autres.
Surcharge mentale, phobies, mauvaise estime de soi, jalousie, procrastination, manque de distance par rapport aux autres en général, tout ou presque est passé en revue. Le credo de Jeremie Gallen : il faut être actif pour aller mieux. Rien ne vaut donc la prise de conscience du patient à travers ses dires pour entamer un changement salvateur.
Jérémie Gallen s'attache à vulgariser ses observations tout en restant rigoureux dans ses propos. Au travers de ses réflexions, il ouvre la discussion sur les difficultés psychiques et les pathologies mentales, tout en s'appuyant sur les exemples concrets et variés de ses patients qui, au travers d'un mot ou d'un lapsus, parfois, ont révélé des détails précieux sur leur trouble. Grâce à ce livre très vivant, ceux qui traversent une étape difficile de leur vie (deuil, licenciement, rupture ou tout autre détresse existentielle) pourront trouver des solutions et des éclairages inédits sur leurs problèmes.
Cet ouvrage est forcément subjectif et ne prétend pas être exhaustif. Mais en nous accompagnant chaque jour de l'année avec le rappel d'un exploit féminin ou d'un acquis important pour l'égalité entre les genres, il éveille les consciences et stimule la confiance. Si, de nos jours, il est enfin devenu plus courant de voir à l'oeuvre de brillantes femmes pilotes, chirurgiennes, députées, ambassadrices, ingénieures ou encore sportives d'élite (y compris dans des disciplines anciennement peu mixtes), la lutte a été longue et elle n'est pas terminée, car certains principes d'égalité sont encore loin d'être acquis ou concrétisés. D'où l'importance de sensibiliser les jeunes générations et éliminer les barrages, préjugés ou plafonds de verre qui obscurcissent le ciel des aspirations féminines.
Cet ouvrage entend participer au devoir de mémoire, honorer les avant-gardistes et poursuivre le combat. Pour ce faire, il compile, sur 365 dates, les faits marquants de l'émancipation et de la réussite des femmes. En Europe essentiellement, mais aussi dans le monde entier. On y retrouve les icônes les plus connues -; Marie Curie, Frida Kahlo, Simone Veil -;, lesquelles côtoient des femmes moins illustres qui ont été les pionnières dans leur domaine -; Jeanne Chevallier, première femme cheffe d'orchestre professionnelle, ou encore Janine Levannier, qui a accroché une ceinture noire de judo autour de son kimono avant toutes ses adversaires. Y sont consignées également les dates historiques des droits des femmes -; IVG, droit de vote, autorisation de pouvoir passer tel concours administratif, de s'inscrire dans une grande école ou encore d'officier dans des corps de métiers jusqu'alors réservés aux hommes. Cependant, il soulève également une question éthique : à quand la restitution de tous les monuments et oeuvres volés en Afrique ? Quand est-ce que la France rendra-t-elle l'obélisque de Louxor, et l'Angleterre et New York les Aiguilles de Cléopâtre ?
Ce récit est universel et peut concerner chaque personne qui, après avoir donné la vie, a mis sa propre existence entre parenthèses pendant plusieurs années, pour se découvrir un jour inutile dans un monde où l'humeur ambiante ne valorise guère les quadras ou quinquagénaires. " Quand une fille se marie, on gagne un fils ; quand un garçon se marie, on perd un fils ", m'a asséné récemment, avec un plaisir non dissimulé, ma collègue Silvia. Forcément, c'est un vrai chameau et elle est mère... d'une fille.
D'un ton où le tragique le dispute au comique et à l'autodérision, une quinquagénaire désemparée nous fait partager ses questionnements face à au départ de son dernier fils pour un autre continent.
Elle nous invite à explorer les " charmes " des soirées en ville quand on tente désespérément de s'occuper l'esprit en vaines sorties, les arcanes d'un stage de " sexualité sacrée " ou les affres des consultations psy diverses et variées. On y découvre également les aléas du marché immobilier lorsqu'il faut revoir son train de vie après le départ des enfants -; et parfois du conjoint -;, l'exotisme d'un mariage sud-américain, ou encore le pénible achat d'une robe de cocktail pour silhouette... non filiforme.
C'est toute une génération de femmes qui se retrouvera dans les crises de larmes et les éclats de rire de cette héroïne un peu perdue dans son rôle de " maman du marié ".
En fin d'ouvrage, un petit " Guide de survie pour parents esseulés ", tout en nuances et plein de complicité, vient apporter quelques recettes bien-être aux mères et aux pères brusquement confrontés à un " nid vide ".
Un livre féministe qui aborde la question ignorée par beaucoup et pourtant omniprésente dans notre société de la rivalité féminine. " Les femmes sont toutes des garces entre elles ".
A l'heure où le concept de sororité émerge enfin, que reste-t-il de ce cliché ? Les femmes seraient-elles vraiment des harpies génétiquement programmées pour s'entre-déchirer ? Quelle est la part de fantasme dans cette croyance ? Souvent balayée sous le tapis par les féministes, ignorée des sciences sociales et pourtant omniprésente dans la culture, la rivalité féminine fait partie de notre quotidien. Mythe sexiste de " l'autre femme ", popstars mises en concurrence, slut-shaming au féminin, mères en compétition,... autant de querelles dont les seuls vainqueurs sont le patriarcat et la misogynie.
Pourtant, penser la rivalité féminine, c'est en faire un outil puissant d'émancipation pour favoriser la compréhension mutuelle, l'amour de soi et de l'autre, pour enfin entrer dans la sororité. C'est cette lecture féministe que propose Racha Belmehdi dans cet essai richement documenté qui chercher à décortiquer le thème de la rivalité féminine afin de la déconstruire.
Un témoignage au coeur de la révolution soudanaise d'une étudiante devenue, malgré elle, une icône de la lutte pour la démocratie. Début avril 2019, la révolution soudanaise entre dans une phase décisive. Au terme de quatre mois de manifestations réprimées sans merci, les contestataires parviennent aux abords du quartier général de l'armée : ils exigent la démission du Général Omar el-Béchir, le dictateur en place à Khartoum depuis 30 ans. Son règne est celui des guerres, au Soudan du Sud et au Darfour, de l'oppression des femmes et de toutes les voix dissidentes. La jeunesse du pays des deux Nil, où plus de la moitié de la population a moins de 25 ans, rêve de liberté. Le moment est historique, mais le monde regarde ailleurs. Soudain, une image impose cette révolution dans les journaux télévisés et à la " Une " des quotidiens internationaux.
A quelques jours de la chute du dirigeant conspué de 75 ans, Alaa Salah apparaît sur le toit d'une voiture. Drapée de blanc, un index rageur pointé vers le ciel, la jeune femme surplombe une foule de milliers de manifestants. Droite, elle déclame sa poésie révolutionnaire. Son geste la propulse au rang d'icône, et attribue à ce printemps soudanais un titre : la révolution des femmes, elles qui ont mené de front cette révolution.
Des premiers cortèges, cibles des balles des forces de l'ordre, à l'occupation du centre de Khartoum et à son évacuation dans le sang, Alaa livre pour la première fois le récit détaillé, vivant et personnel de ces mois de basculement. Celui d'une étudiante devenue figure de proue d'une révolution, celui d'une génération qui goût enfin à l'espoir, celui d'un pays engagé sur un chemin fragile vers la démocratie.
Ce livre propose de revivre l'histoire de la route la plus ancienne du monde et d'aborder la route de la soie du XXIe siècle. Au-delà de l'histoire et des bénéfices attendus, c'est une aventure hors du commun. Ce livre propose deux actes de la mondialisation entre la Chine et l'Europe. " L'acte I ", c'est la légendaire " route de la soie ", celle d'Alexandre le Grand à Marco Polo, avec des guerriers, des espions, des missionnaires et des caravanes, et des échanges économiques, culturels, religieux, techniques, scientifiques et esthétiques entre des peuples lointains. Son déclin est lié à l'ouverture de la route maritime des épices au XVe siècle, plus sûre et rapide.
" L'acte II ", c'est la transformation mondiale et la construction du plus grand chantier planétaire qui va impacter le monde. Les " nouvelles routes de la soie " du XXIe siècle (en anglais One Belt, One Road - Une ceinture et une route), c'est le projet pharaonique de la Chine et de son président XI Jinping, qui promet de changer les équilibres géopolitiques dans le monde à l'horizon 2049, pour les 100 ans de la République populaire. Ce remodelage planétaire se fonde sur la construction d'infrastructures de transports routiers, ferroviaires et maritimes répartis sur les cinq continents, qui doivent charrier à la fois les produits " made in China " vers de nouveaux marchés et augmenter l'influence de Pékin à l'international. Des milliers de milliards de dollars seront investis et 80 pays impliqués.
C'est une opportunité de prospérité, de développement et de paix entre les pays et les peuples tout au long de ces routes, et un espoir pour chacun.
Par exemple, la partie chinoise de l'autoroute Chine - Europe est terminée. Un train relie Londres et Madrid, Décathlon arrive directement de Chine dans le Pas-de-Calais en 8 jours au lieu de 45, et une autre ligne directe de fret relie Lyon à la Chine. À Paris, le chinois Taxify est en train de supplanter Uber. Parmi les projets innovants, notons le Canal du Nicaragua ou celui du " TGV Chine - USA ", ou un tunnel chinois de 1000 kilomètres.
Ce projet va bouleverser nos économies à court et moyen terme, en Europe et en France avec des impacts dans nos vies quotidiennes. Cette opportunité économique et géostratégique est la meilleure nouvelle qui puisse arriver pour l'Europe qui se trouve à une extrémité de la route. L'Europe saura-t-elle profiter de cette ouverture économique vers l'Orient ? Impact à court et moyen terme
Les Français se disent attachés à leur langue. L'usage qu'ils en font permet pourtant d'en douter sérieusement. Loin de rendre hommage à sa richesse et à sa subtilité en variant le vocabulaire, leurs conversations s'articulent en effet à des mots qui leur servent de prêt-à-parler, où le superlatif le dispute au vain et à l'insidieux. Le constat qu'il établit, au-delà de la dissolution des termes et de leurs sens dans la facilité instiguée par une époque ployant sous le festif, se double d'un diagnostic enracinant le mal dans une société française où, narcissisme radieux oblige, prévaut en définitive l'évitement des autres et de leurs opinions. Inutile aujourd'hui d'engager un authentique dialogue : le très intégré " chacun-ses-goûts ", entérinant l'imprescriptibilité des choix individuels, a engendré le sacrosaint " ressenti ", garant inconditionnel de l'immunité des points de vue et fossoyeur de l'échange. Le locuteur français, béat au fond de la tombe d'une " com' " qu'il continue pourtant de célébrer, est désormais à l'abri de tout réel désaveu.
Il fallait une sensibilité aiguë ainsi qu'un amour ardent de la langue pour s'émouvoir de ce gâchis puis interpeller ses compatriotes - et de fait tous les francophones - sur les tristes raisons de leurs tics (de la simple causerie aux discours politiques, en passant par les interviews, les messages publicitaires...).
La présentation de cette débâcle est à la fois incisive et facétieuse.
Le lecteur a entre les mains un texte lucide, brusque, stimulant.
Après avoir, dans la foulée de ses guerres coloniales, imposé sa culture au reste du monde, l'Occident entrouvre aujourd'hui les yeux sur les expressions culturelles des autres pays, celles du moins qui ont survécu. Déjà les grands courants de la création contemporaine ont puisé à ces sources millénaires et étrangères : que l'on songe aux surréalistes, à Brecht, à Artaud ou, plus récemment à Béjart, Brook, Glass, Grotowsky, Mnouchkine ! Françoise Gründ et Chérif Khaznadar se sont consacrés, sans toutefois négliger la créativité occidentale, à la prospection et à la présentation, en France et en Europe, des formes les plus insolites et les plus riches qui se perpétuent au sein de sociétés trop souvent mal connues, sinon ignorées. Jacques Georgel tente, dans cet ouvrage, de cerner la démarche pour le moins originale de ces explorateurs du XXe siècle. De la jungle du Bengale aux salles moquettées d'une Maison de la Culture, des mines de phosphate du Sud marocain à Caccini et Rossini, d'Amérique latine en Afrique et de Proche en Extrême-Orient, l'itinéraire qu'ils ont suivi se révèle aussi riche en réflexion qu'en anecdotes. Sur le ton d'une conversation à bâtons rompus se dégage, graduellement, une philosophie de la vie et de l'action culturelle qui précède et accompagne la prise de conscience actuelle de la nécessité de nos différences et de l'enrichissement mutuel qu'elles provoquent. Une vision peu commune et fascinante du monde.
Après avoir, dans la foulée de ses guerres coloniales, imposé sa culture au reste du monde, l'Occident entrouvre aujourd'hui les yeux sur les expressions culturelles des autres pays, celles du moins qui ont survécu. Déjà les grands courants de la création contemporaine ont puisé à ces sources millénaires et étrangères : que l'on songe aux surréalistes, à Brecht, à Artaud ou, plus récemment à Béjart, Brook, Glass, Grotowsky, Mnouchkine ! Françoise Gründ et Chérif Khaznadar se sont consacrés, sans toutefois négliger la créativité occidentale, à la prospection et à la présentation, en France et en Europe, des formes les plus insolites et les plus riches qui se perpétuent au sein de sociétés trop souvent mal connues, sinon ignorées. Jacques Georgel tente, dans cet ouvrage, de cerner la démarche pour le moins originale de ces explorateurs du XXe siècle. De la jungle du Bengale aux salles moquettées d'une Maison de la Culture, des mines de phosphate du Sud marocain à Caccini et Rossini, d'Amérique latine en Afrique et de Proche en Extrême-Orient, l'itinéraire qu'ils ont suivi se révèle aussi riche en réflexion qu'en anecdotes. Sur le ton d'une conversation à bâtons rompus se dégage, graduellement, une philosophie de la vie et de l'action culturelle qui précède et accompagne la prise de conscience actuelle de la nécessité de nos différences et de l'enrichissement mutuel qu'elles provoquent. Une vision peu commune et fascinante du monde.
Le présent livre constitue une première mondiale : pour la première fois un intellectuel occidental, non communiste, confronte ses analyses avec un intellectuel soviétique. Avec son franc-parler habituel, le sociologue Jean Ziegler affronte un membre de la haute nomenklatura. Le résultat ? Un livre véhément, vivant, plein d'informations inattendues sur le cynisme des États, le surarmement nucléaire, la tragédie du tiers monde, la responsabilité et les moyens d'action des citoyens face aux grandes puissances irresponsables. Autre nouveauté : le livre est publié en même temps en Union soviétique et dans les principaux pays occidentaux.
Un hussard qui n'est pas mort à trente ans est un jean-foutre ! disait avec délicatesse le général Lasalle, tué - à l'âge de trente-quatre ans - à la bataille de Wagram. L'héroïsme des hussards, voire la folle témérité de ces intrépides cavaliers et fameux sabreurs, sont restés légendaires. Mais que sait-on vraiment d'eux aujourd'hui, si ce n'est qu'ils avaient une manière assez spéciale d'aborder les obstacles, militaires et autres : à la Hussarde ! Fine fleur de notre cavalerie légère depuis trois siècles, les quatorze Régiments de Hussards français ont une longue histoire jalonnée d'exploits étourdissants qui méritait d'être ressuscitée. Cela n'avait pas été fait depuis 1902 ! Dans cet ouvrage véritablement encyclopédique, le colonel Barjaud, historien militaire et conseiller au Musée International des Hussards (Tarbes) ne se contente pas de rappeler les origines (hongroises) de ces cavaliers d'élite, dont on retrouve des avatars dans presque toutes les armées du monde. Ni de faire la narration de leurs principaux faits d'armes, qu'avec talent l'auteur transforme, comme le note le général Combette qui préface ce livre, en un « véritable traité de tactique des troupes légères ». Il répertorie, inventorie, classifie, dans une monumentale « revue de détail » d'une extraordinaire érudition les tenues, les insignes, les emblèmes, les armes, les harnachements des Hussards français des origines à 1940. Tout y passe ! Les coiffures dont les seuls noms font rêver : shako, mirliton, colback. Les uniformes, dont certaines pièces, comme le dolman et la pelisse, le sabre et la sabretache, sont indissociables du Hussard. Pour plus de précision dans le détail, plus d'exactitude dans la minutie, Yves Barjaud a demandé à Daniel Lordey, peintre de l'Armée, d'illustrer son texte d'une centaine de dessins originaux. Alliant ainsi rigueur scientifique et élégance artistique, ce livre est plus et mieux qu'un ouvrage de référence. C'est un véritable hommage à son sujet : « Vivat Hussar » ! Jean-Louis Gouraud
Samuel Pisar, auteur des best-sellers internationaux La Ressource humaine, Le Sang de l'Espoir, Les Armes de la Paix, est un des plus jeunes rescapés des camps d'extermination nazis. Libéré à l'âge de seize ans par l'avant-garde des forces américaines, seul survivant de sa famille, il accomplit avec une rapidité fulgurante une carrière exemplaire. Docteur en droit des universités de Harvard et de Paris, citoyen américain par décision spéciale du Congrès des États-Unis, il est successivement conseiller juridique de l'Unesco, collaborateur du président Kennedy, puis avocat international à Paris, Londres et Washington. Il engage aujourd'hui son dynamisme et sa perspicacité au service de la coopération économique entre l'Est et l'Ouest et entre le Nord et le Sud. Soljenitsyne a écrit de lui dans son ouvrage Le Chêne et le Veau : « Pisar est l'un des rares à voir clair. » Correspondant politique de la Nouvelle Gazette de Zürich puis, à partir du conflit de Suez en 1956, chef de la délégation du Comité international de la Croix-Rouge en Égypte, Edmond Valère est, pendant plus de vingt ans, le témoin des haines, des fanatismes et des guerres qui déchirent le Moyen-Orient. Il est appelé en 1964 à la direction du Secrétariat des Suisses de l'Étranger à Berne. En 1980, il fonde à Lausanne l'Association Civitas Humana pour l'instauration d'un Conseil Mondial représentatif de toute l'Humanité et, depuis 1985, il unit ses efforts à ceux de Samuel Pisar en vue d'une action conjointe au service de l'Homme.
Sous la forme d'une fiction narrative, ce livre est une analyse objective des faits démontrant que la disparition du Boeing de la Malaysia Airlines en 2014 n'était pas un accident. Le 8 Mars 2014, un B777-200 de la compagnie Malaysia Airlines effectuant un vol commercial à destination de Pékin, disparaissait mystérieusement, 40 minutes après avoir décollé de l'aéroport international de Kuala-Lumpur, avec à son bord 239 passagers et membres d'équipage. Six ans plus tard, l'appareil et ses passagers n'ont toujours pas été retrouvés et le mystère demeure entier. Cette disparition constitue une anomalie, celle d'un accident sans épave et sans trace matérielle, d'une volatilisation sans images radar et sans enregistreurs de vol, d'un évanouissement sans message de détresse et sans communications radio...
Une analyse objective des faits, sous la forme d'une fiction narrative, démontre que la disparition du Boeing de la Malaysia Airlines n'était pas un accident, mais le résultat d'un acte prémédité et méticuleusement préparé. Les organisateurs de cette opération savaient qu'aussi longtemps que l'épave de l'avion ne serait pas découverte, toute explication de sa disparition ne resterait que pure hypothèse ou conjecture... Toutefois, même en l'absence de preuve matérielle, il est possible d'affirmer que celle-ci repose bien au fond de l'océan Indien..., mais dans une région fort éloignée de la zone qui a été fouillée. En Juillet 2018, l'équipe internationale d'enquête concluait dans son rapport final qu'elle était incapable de déterminer la cause réelle de la disparition du vol MH 370, ni l'endroit exact où l'avion se trouvait. Fallait-il pour autant ne plus chercher à comprendre ?...
Bertrand, rédacteur en chef du magazine Le Miroir, fait appel à Hugo, ami et ancien pilote pour rouvrir le dossier et remettre en question la version officielle de cette disparition.