La République
Platon (traduction Victor Cousin)
Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
La République porte principalement sur la justice dans l'individu et dans la Cité. Il s'agit de l'ouvrage le plus connu et le plus célèbre de Platon en raison, entre autres, du modèle de vie communautaire exposé et de la théorie des Formes que Platon y expose et défend.
C'est l'un des ouvrages les plus étendus de Platon. Le livre est divisé en 10 parties ; cette division est peut-être due à des critiques d'Alexandrie. Selon Cicéron, la République de Platon est le premier livre de philosophie politique grecque. La première édition des dialogues réunis de La République date de 315 av. J.-C., à l'initiative de l'Académie. Du « naturel philosophe », Platon donne le trait caractéristique dans La République : il y a « désir de connaître et amour du savoir, ou philosophie ». Et cette activité consiste à chercher le Vrai, le Beau, le Juste, donc des valeurs, des normes, des principes, des idéaux, par-delà les choses sensibles, cela avec une sagesse et dans une perception globales. D'une part, « le philosophe a envie de sagesse, non d'une sagesse et pas d'une autre, mais de la totalité de ce qu'elle est ».
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Gorgias
Platon (traduction Victor Cousin)
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Gorgias est un dialogue écrit par Platon. Il a pour sous-titre « De la rhétorique », mais il ne s'agit pas d'un traité sur l'art d'écrire, parler ou composer un discours : il s'agit d'examiner la valeur politique et morale de la rhétorique. Deux thèses s'affrontent donc : celle de Gorgias, sophiste qui enseigne la rhétorique et considère que « l'art de bien parler » est le meilleur de tous les arts exercés par l'homme, contre celle de Socrate, qui dénonce la rhétorique comme un art du mensonge.
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Apologie de Socrate
Platon (traduction Victor Cousin)
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Dans l'Apologie de Socrate, Platon rapporte les plaidoyers de Socrate lors de son procès en 399 avant J.-C. à Athènes qui déboucha sur sa condamnation à mort. Cette défense se déroule en trois parties, ayant toutes un lien direct avec la mort. Socrate se défend devant les juges, mais aussi devant toute la cité d'Athènes (composant le Tribunal de la Cité). Il répond aux trois chefs d'accusation déposés contre lui : corruption de la jeunesse, non-reconnaissance de l'existence des dieux traditionnels athéniens, et introduction de nouvelles divinités dans la cité. Il y eut 30 jours d'intervalle entre la condamnation de Socrate et sa mort, pendant lesquels il resta enchaîné dans sa prison. Ses amis lui rendaient visite et s'entretenaient avec lui quotidiennement.
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Phédon
Platon (traduction Victor Cousin)
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Phédon raconte la mort de Socrate et ses dernières paroles. On y apprend que Socrate a été condamné à boire son poison létal. Le dialogue se tient le dernier jour de Socrate. Il est la suite directe de l'Apologie de Socrate et du Criton. Quelques amis ont été autorisés à rendre visite à Socrate dans sa cellule avant qu'il n'avale le poison, suite à sa condamnation à mort. Une discussion s'engage alors sur la mort, et l'attitude qu'il convient d'adopter face à celle-ci, puis sur la possibilité de la survie de l'âme dans l'au-delà. Le dialogue se termine par un mythe eschatologique sur le jugement des âmes après la mort.
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Théétète
Platon (traduction Victor Cousin)
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Le Théétète présente au moins deux qualités remarquables quand on le compare aux autres dialogues : c'est le seul des dialogues classé à partir de la maturité de l'auteur à être un dialogue aporétique. Autrement dit, le Théétète ressemble plus, de ce point de vue, aux dialogues que l'on regroupe sous le nom de socratiques et que l'on considère comme des dialogues de jeunesse (voir par exemple Lysis). Le Théétète est également l'avant-dernier dialogue à mettre Socrate en scène comme interlocuteur principal - le dernier étant le Philèbe.
Le Théétète est un dialogue de Platon dans lequel Socrate discute avec le jeune Théétète d'Athènes, mathématicien contemporain de Platon et disciple de Théodore de Cyrène, de la définition de la science. Ce dialogue est le premier d'une série de trois (avec Le Sophiste et Le Politique), ou de quatre, si l'on compte Le Philosophe.
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Le Banquet
Platon (traduction Victor Cousin)
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Le Banquet est avec le Phèdre l'un des deux dialogues de Platon dont le thème majeur est l'amour. Dans ce texte, Platon fait entendre des voix différentes pour parler d'amour, et de beauté, qui sont affaires du Bien. Dans ce dialogue, Éros est représenté différemment en fonction des personnages du dialogue. Pour Phèdre, Éros est une divinité primordiale, « celui qui fait le plus de bien aux hommes, il inspire de l'audace, « est le plus ancien, le plus auguste, et le plus capable de rendre l'homme vertueux et heureux durant sa vie et après sa mort ». Pausanias fait la distinction entre deux amours et relations sexuelles.
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Parménide
Platon (traduction Victor Cousin)
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Le Parménide est un dialogue écrit par Platon dans la dernière partie de sa vie. Correspondant à un refus du système philosophique qu'il avait soutenu jusqu'alors, cette oeuvre représente un tournant majeur dans la philosophie platonicienne et occidentale en général.
Introduisant au centre de sa réflexion philosophique les termes majeurs de l'Être et de la Participation, futures notions centrales de la philosophie occidentales, Platon souhaite opérer une réflexion sur l'origine véritable des objets réels. Les personnages de ce dialogue sont, dans le prologue : Céphale, Adimante, Glaucon et Antiphon ; dans le dialogue proprement dit : Socrate, Pythodore, Zénon, Parménide, Aristote (ce dernier est qualifié dans le dialogue de « jeune Aristote » et n'a strictement aucun lien de parenté avec Aristote de Stagire (né près de quinze ans après la mort de Socrate) : Ce « jeune Aristote » du Parménide deviendra l'un des Trente lors de la courte tyrannie qui suivit la défaite d'Athènes contre Sparte au terme de la Guerre du Péloponnèse.
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Le Sophiste
Platon (traduction Victor Cousin)
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Le Sophiste est un dialogue de Platon traitant de la nature du sophiste, et de celle de l'être. Ecrit aux environs de 360 avant J.-C., il est la suite du Théétète, dont il prolonge la discussion. Théodore et Socrate s'étaient donné rendez-vous la veille pour continuer la discussion avec Théétète, accompagné d'un étranger qui vient d'Élée. Socrate et Théodore écoutent dialoguer l'étranger qui interroge et Théétète qui répond. Comme dans les derniers écrits de Platon, Socrate n'intervient pas, car le sophiste critique la position traditionnelle que Platon donne à Socrate : la Théorie des Idées, ici désignée sous la théorie des formes (« les amis des formes »). Le Sophiste fait partie de la série chronologique Parménide, Théétète, le Sophiste, le Politique. Platon y critique et assouplit son ontologie primitive des Idées pour lui substituer une théorie de la participation à l'Idée, au divin. Voir aussi le Cratyle et le Philèbe.
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