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Mon Petit Editeur
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Avec "Réflexions", Jacques Guerrier, Nîmois de cinquante-six ans, nous livre le fruit de ses considérations sur de grands thèmes de la philosophie et de la psychologie qu'il étudie depuis de nombreuses années. Au fil des pages, il nous invite à observer, vivre, être. Une lecture riche et apaisante.
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Quand on a espoir en la vie Quand on a des rêves que l'on s'est fixé le désir de réaliser impérativement avant de quitter ce monde Quand, malgré de sombres horizons, on veut croire que demain sera meilleur, que demain sera le jour où l'on sortira enfin du ténébreux tunnel que l'on traverse.... Quand on s'accroche à la vie Avoir faim peut être un privilège, car c'est le signe qu'on a encore ses sens Qu'on ressent encore des choses, qu'on est toujours en vie Avoir faim est une grâce, un cadeau du ciel, un privilège... Quand sifflent les balles et tonnent les obus, on peut gouter au privilège d'avoir faim.
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L'autralité comme souci premier de l'autre
Samuel Beugre n'dré
- Mon Petit Editeur
- 6 Mars 2014
- 9782342020984
Le visage de l'autre est saisi comme le centre même d'une réflexion sur "l'autralité" et sur l'éthique. Dans ce visage divin de "l'autralité", s'affiche une invitation a la responsabilité levinassienne. Ceci pour lui donner satisfaction au visage, l'Autre et Moi, en dépit de leur altérité, une relation du face à face comme fondement du langage s'impose à eux. De ce fait, les droits de l'homme et les droits d'autrui, ainsi que la conception levinassienne de l'éthique et d'autrui permettent à l'homme de retrouver sa dignité humaine. Ainsi, l'homme doit être à l'origine de toute préoccupation répondant à un souci universel car c'est à l'universel qu'il faut sourire afin de donner une dimension éthique à l'homme et de ces droits innés.
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On observe une tendance inexorable de l'humanité vers l'abstraction. C'est le cas en politique, avec les concepts de nation, de citoyenneté qui sont des fictions. C'est le cas en philosophie avec la théorie des Idées qui auraient une « existence » propre, quasi-matérielle, en dehors de nos cerveaux. C'est aussi le cas dans le domaine des sciences hermétiques, avec le thème de la survie des âmes. En astronomie par ailleurs, les scientifiques ont relevé que l'univers qui, jusque-là, avait toujours semblé se déployer, pouvait désormais bien être sur le point d'entamer le mouvement inverse, celui d'un retour à l'unité primordiale. Alors, si le concret doit s'effacer au profit de l'abstrait, c'est certes la fin des frontières, des clans, des appartenances. C'est aussi la caducité des individualités et des combats personnels pour exister, pour s'imposer face à l'altérité, dès lors qu'il ne reste plus, en définitive, qu'une sorte de fusion avec l'absolu, en-dehors de toute contingence du quotidien. Être Homme, c'est donc d'abord cesser d'exister en tant qu'individu, avec ses velléités, ses inconstances, ses basses inclinations, pour toucher à une vérité dont le monde que nous connaissons ne serait qu'un reflet transitoire. Pierre Pimpie montre l'unité de vue des penseurs depuis toujours sur cet état de fait, afin de nourrir une réflexion du lecteur sur la vocation qu'il doit donner à sa vie, et le sens qu'il doit conférer aux mouvements du monde, qu'il s'agisse d'évènements artistiques, géopolitiques ou d'une autre nature. En intégrant Platon, Nietzsche ou la politique étrangère américaine des dernières années à une même problématique, une même dynamique, il s'agit de tout raccorder à un cheminement commun, s'orientant vers un avenir prémédité. L'auteur ne plaide donc pas pour une idée nouvelle, mais défend l'intuition d'un combat commun de l'humanité, subordonnant la vanité de nos ambitions isolées. Cet essai doit alors permettre de surmonter les oppositions apparentes, par exemple entre droite et gauche, nature et culture, romantisme et classicisme, pour entrevoir le moteur de l'évolution humaine et de son dépassement.
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Philosophe de formation, Nathalie Gaul Kaïsu entreprend de penser au coeur de cet essai, une quête de l'être plutôt que du paraître sous la forme d'une préparation à l'intériorité et à la spiritualité. Dans un monde moderne où bien trop souvent le néant et l'absurde font force de loi, l'auteur s'oppose au découragement et invite à la résistance du coeur et de l'esprit, pour qui l'âme humaine a encore un sens. Qu'en est-il de nos jours du sens que nous donnons à l'existence ? Qu'en est-il aujourd'hui de ce que nous avons en nous en qualité d'êtres humains, de plus fondamental et de plus essentiel ? Où en sommes-nous de nos valeurs ? Le bonheur et la liberté sont-ils aussi inaccessibles que nous le voudrions ? Qu'il s'agisse de penser l'être, la liberté, dieu, la foi, les droits de l'homme, ou la responsabilité et le courage d'être soi, la quête du diamant est infinie...
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Dans son essai sur le suicide, Hume soutient avec beaucoup d'habileté que le suicide est une action licite dans certaines circonstances. Que cette conclusion de mourir librement s`oppose à l'enseignement de la religion, et plus particulièrement à celui du Christianisme, Hume en a conscience ; mais précisément il revendique cette liberté naturelle, liberté inaliénable et indispensable en des temps où règnent le dogmatisme et la superstition.
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Une étude de l'immortalité de l'âme chez Hume
Li Ching-shui
- Mon Petit Editeur
- 1 Mars 2012
- 9782748378719
Dans l'essai sur l'immortalité de l'âme, Hume avec sa logique sorcière et son sentiment philosophique prouve que ni la métaphysique, ni la morale, ni la physique, ne sont capables de nous garantir puissamment la vérité de l'immortalité de l'âme. Pour y croire il faut réduire son entendement sous l'obéissance de la foi, ce que Hume ne cherche pas.
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La réciprocité dans l'amitié : Essai sur l'éthique de la surabondance
Vincent Davy Kacou
- Mon Petit Editeur
- 12 Avril 2013
- 9782342004151
Cet essai sur la réciprocité dans l'amitié a pour fil d'Ariane la Règle d'Or. En effet, dans cette société où les relations humaines sont biaisées par le principe du donner et du recevoir, un recours à la méditation et à l'application quotidienne de la Règle d'Or est un impératif, et ce pour parvenir à une éthique de la réciprocité fondée sur l'amitié en tant que le premier dépli du souhait de vivre bien. Invitant à ne pas regarder uniquement son bien-être et à penser au mouvement réflexif de sa propre action, la Règle d'Or dépasse le simple échange du donner/recevoir mais vise plus à donner sans recevoir. La pratique généreuse du don, du moins sous sa forme pure, ne requiert, ni n'attend de don en retour. Dans le don, l'on se donne soi-même : c'est soi-même que l'on donne dans la chose donnée. Avec la Règle d'Or prévaut alors la logique de surabondance.
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La grande politique, une nécessité pour l'Afrique : Lecture interprétative de Friedrich Nietzsche
Vincent Davy Kacou
- Mon Petit Editeur
- 4 Juin 2012
- 9782748387087
Penser la grande politique en tant que nécessité pour l'Afrique, c'est repenser non seulement la politique, mais surtout le vivre-ensemble, car le désir et l'obligation d'être homme sont désir et obligation de l'être avec l'autre, avec les autres. Il n'y a de politique que là où il y a le vouloir vivre-ensemble. Et ce désir de vivre-ensemble est rationalisé par l'État en tant que lieu du déploiement de l'humanité de l'homme. En proposant avec Nietzsche la grande politique pour Afrique, l'intention est d'inviter les Africains à renoncer à cette politique mesquine où les États s'enferment dans leur particularisme, se perdent dans les piliers de l'identité nationale, dans les crispations identitaires et dans la folie nationaliste au profit de la quête d'une identité propre, c'est-à-dire une prise de conscience des Africains de leur africanité et aussi d'une prise de conscience de la perspective d'avenir de l'Afrique qui s'impose à tous.
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Pour que l'on ne puisse plus dire, comme Schopenhauer, que la devise générale de l'histoire est Eadem, sed aliter, il faut nous demander à quelles conditions un adulte redevient un enfant dès lors qu'il est saisi par l'illusion politique, à quelles conditions un homme civilisé se met à hurler avec les loups, un savant oublie la science, un intellectuel l'esprit critique, un peuple son histoire, un État sa moralité pour sombrer dans la guerre, la destruction et l'intolérance. À quelles conditions un individu devient-il un homme des foules ? Que se passe-t-il dans l'individu pour qu'il veuille ainsi remplacer son propre idéal par autre chose que lui-même ? Pour qu'il place dans un objet extérieur ce qui est du ressort de sa propre histoire ? Pour qu'il s'oublie au point d'assigner à un autre le soin de conduire sa propre vie, et qu'il s'y soumette au point de s'en rendre esclave ? Pour qu'il rencontre, parmi ses semblables, ce même phénomène, au point qu'ils se reconnaissent frères au seul nom du chef ? Il faut comprendre que l'éducation et l'instruction bien comprises sont un fondement essentiel de la liberté, qu'elles ont été inventées pour émanciper le jugement, afin que les hommes puissent un jour se passer de maître ; pour former l'homme autant que le citoyen, afin que la liberté soit conçue comme une condition essentielle du bonheur.
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« Nous sommes seuls créateurs de notre propre expérience, et ne sommes jamais seuls dans notre expérience si nous sommes conscients. » « On ne sait pas trop qui est Francis. Ni ce qu'il fait au juste dans la vie. Dès les premières pages, on saisit l'essentiel : c'est un homme cultivé, un esthète à l'oeil aussi acéré que bienveillant. On prend tout de suite plaisir à se glisser dans son sillage à la découverte de lieux familiers ou inconnus, à la rencontre de personnages hauts en couleurs qui valent tous leur pesant d'existence. Une histoire d'amour, un soupçon d'aventure, un zeste d'action, et une pincée de réflexions iconoclastes pour prendre la bien-pensance à contrepied. Une quinzaine de jours en compagnie de Francis, c'est une tranche de vie jamais ennuyeuse ni complaisante, simplement délicieuse, qui se dévore comme une madeleine. C'est beau comme du Proust qui se serait couché tard pour profiter pleinement du jour présent. Et l'on se surprend régulièrement à relire deux ou trois fois le même passage à voix haute, comme pour mieux se délecter d'un frisson de tendresse ou d'un éclat de rire. Jubilatoire. » (Charles Vincent, journaliste)
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L'être se veut l'opposé du néant. Mais qu'en est-il si l'être est vidé de sa substance ? Si le passé ne se résume qu'en ruptures douloureuses ? Si l'amour n'a de réel que l'apparence qu'il nous offre ? Si la société n'est qu'un immense manège qui ne saurait que nous divertir et nous enivrer jusqu'à la nausée ? Plutôt que de chercher dans une vaine introspection les raisons de ce vide intérieur, ne faut-il pas briser les contours de l'enveloppe policée qu'a dessinée pour nous une société dans laquelle nous n'avons pas choisi de naître ? Sidney Mompezat, à partir d'un constat similaire au sentiment sartrien illustré par Roquentin, esquisse une vision nihiliste des acquis sociaux et moraux de notre temps, où s'effacent les frontières du vrai et du faux, du sincère et du joué. Toute substance n'est que chimère, et cette vérité éclate ici avec brutalité.
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L'univers n'a pas la forme ; pour une ontologie du sens
Jean-Louis Boucon
- Mon Petit Editeur
- 26 Mars 2015
- 9782342036633
Matière et pensée participent d'une seule et même réalité. Sur cette évidence, l'auteur bâtit une métaphysique nouvelle, voie médiane entre matérialisme et idéalisme. Pas à pas, l'auteur nous montre comment, à partir d'une réalité informe, substance première qu'il nomme Khaos, le processus du Logos fait naître le sens d'un Kosmos ordonné. Nous comprenons comment les lois statistiques du Logos imposent à la représentation du réel les formes et propriétés de notre univers familier, celui de la science. Nous pouvons enfin donner sens aux formalismes relativistes et quantiques. Par de nombreux exemples, l'auteur démontre les incohérences du modèle métaphysique usuel. Modèle selon lequel toute la réalité serait contenue dans l'instant présent. Enfin l'auteur tente de clarifier les questions philosophiques posées par les nouvelles définitions de l'être pensant, du monde physique et du réel.
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Le pouvoir chez Michel Foucault : une épistémologie politique
Florent Kambasu Kasula
- Mon Petit Editeur
- 9 Juillet 2015
- 9782342040197
Aborder la question du pouvoir chez Michel Foucault comme une épistémologie politique ne consiste pas à édifier - à sa place - une théorie politique du pouvoir. En effet, chez Foucault, il ne faut pas chercher une « métaphysique », une « ontologie » du pouvoir. Son projet est historique, analytique et heuristique. Et partant, par un même procédé, analytique et interprétatif, loin de proposer une interprétation de Foucault, cet ouvrage présente quelques éléments pouvant permettre une construction, une élaboration pragmatique d'une « théorie » du pouvoir foucaldien en décrivant sommairement l'architecture générale par quelques indications référentielles à travers quelques textes disponibles.