Gagner le gros lot à la Loterie Nationale, c'est la chance qui échoit à Claudie, jeune dactylo, dont le premier acte d'indépendance est d'envoyer immédiatement sa démission à son patron. Enfin ! elle va pouvoir monter, avec sa mère et son frère, l'auberge de ses rêves aux environs de Paris. Déjà les premiers frais - et ils sont importants - sont engagés, déjà une somptueuse voiture avec son chauffeur, Beppo, se range devant leur domicile quand on s'aperçoit, non sans effroi, que... le billet a disparu. À ces ennuis viennent s'ajouter les jeux de l'Amour. Beppo s'éprend de Claudie, qui, elle, devient amoureuse de Bruno, le fils de sa propriétaire. Grâce à Bruno, qui commandite l'affaire, l'auberge connaît le succès. Mais la jalousie de Beppo risque de tout gâter. La découverte tardive du billet éloignera les soupçons, rétablira les faits, unira des coeurs qui, pour se découvrir, auront fait l'apprentissage de la souffrance.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Jouissif et décomplexé, S'appartenir(e) rassemble les paroles de neuf auteures. On y parle de notre façon d'être moderne et préhistorique à la fois. De notre rapport à l'éducation. De cette foutue question du pays qui se pose encore bizarrement. De nos paradoxes si multiples. De l'Histoire. Celle qui s'écrit. Celle qui nous échappe parce que trop peu enseignée. Celle des peuples autochtones encore mal comprises. Celle qui nous définit. On y parle des nuances qui s'évaporent dans les brumes de l'inconscience collective. S'appartenir(e) est un cri de solidarité et de provocation, au féminin.
La parole est une plante fascinante.
Surtout quand on la laisse pousser comme elle veut.
Je marche.
Je pense au mot s'appartenir (e).
Je pense à ce petit e, enclavé dans le titre des soirées à venir.
Comme, oui, une graine qui dort dans la terre.
Qu'y a-t-il dans un titre?
Et si tout était déjà dans le pressentiment qu'on a des choses ? Des mots ?