Un homme ayant écrit avec son propre sang un mystèrieux message est retrouvé assassiné sans qu'on comprenne pourquoi. Méchinet, agent de sûreté et fin limier, reprend alors patiemment l'enquête et tente de dénouer l'énigme...
L'affaire Lerouge est directement inspiré d'une affaire qui défraya la chronique en 1865.
Un crime odieux a été commis dans un infâme bouge parisien baptisé « La Poivrière ». Après une longue filature, l'inspecteur Lecoq arrête un saltimbanque. Une énigme passionnante qui s'impose par l'analyse psychologique et sa dimension historique.
Deux braconniers trouvent Berthe de Trémorel sauvagement assassinée dans le parc du chateau du comte de Trémorel. Ils sont vite accusés du meurtre de la jeune femme. Les suspects, connus de la police, s'enferment dans un mutisme qui pour les enquêteurs est révélateur. Mais l'inspecteur Lecoq constate que l'enquête a été baclée et la reprend à zéro. Il propose alors une tout autre version des faits...
Jacques de Boiscoran est accusé d'un crime des plus odieux. Il clame son innocence, mais il est vite submergé par les circonstances qui l'accablent et le désigne comme seul coupable. Ses proches font tout leur possible pour le blanchir alors que l'erreur judiciaire, l'échafaud ou le bagne se profile à l'horizon...
La fille du comte de la Ville-Handry est sauvée in extremis par un brocanteur. Cependant, l'homme a trouvé une feuille de papier sur le corps de la pauvre fille. Dessus, il était écrit : « Qu'on n'accuse personne. Je meurs volontairement. Je prie Madame Chevassat de porter à leur adresse les lettres jointes. Henriette. » Mais ce pourrait-il que quelqu'un ait voulu déguiser en suicide la mort de l'héritière ?...
Emile Gaboriau nous dresse un tableau satirique savoureux et pittoresque de l'administration de son époque.
Un vol important vient d'être commis rue de Provence à Paris, au préjudice de la banque Fauvel. Or, deux personnes seulement connaissaient la combinaison du coffre duquel 300000 francs ont été soustraits... Après une enquête sommaire, la police arrête Prosper Bertomy, le caissier principal. Mais une seconde enquête, menée par l'inspecteur Fanferlot, apporte d'autre éléments troublants...
Des malfaiteurs fondent une redoutable association. Dans l'ombre, ils recueillent méthodiquement les secrets de toute la population. Et au bout de vingt-cinq années d'efforts et d'investigations, ils accumulent une mine de renseignements suffisamment importante pour refermer leur étaux sur Paris ; avec l'ambition d'en faire un gigantesque marché aux esclaves...
Raymond Delorge est trouvé moribond boulevard Clichy et il nous fait le récit de ses aventures. Le père de Raymond, un général, a été tué alors qu'il connaissait les détails d'un coup d'État auquel il ne voulait pas participer. Complots, amours contrariés, vengeances, tous les ingrédients du genre se trouvent réunis dans ce roman policier envoûtant.
Le lendemain, 4 juillet, l'Assemblée décréta que dès que le péril deviendrait extrême, le Corps législatif le déclarerait lui-même, par cette formule solennelle : « La patrie est en danger ». Qu'à cette déclaration tous les citoyens seraient tenus de remettre aux autorités les armes par eux possédées, pour qu'il en fût fait une distribution convenable. Que tous les hommes, jeunes ou vieux, en état de servir, seraient enrôlés... Une immense acclamation de Paris entier salua le décret de l'Assemblée.