L'engagement du 6e bataillon de Paras coloniaux de Bigeard en Indochine, en octobre 1952.
Retrace l'épopée, de 1914 à 1918, des as français, allemands, anglais, russes, américains, italiens, autrichiens et belges. Fait revivre leurs caractères, leurs combats, leur existence quotidienne.
Destiné à un emploi militaire non conventionnel, le Bataillon de choc et les commandos d'Afrique sont créés en A.F.N. au printemps 1943. Constituées de volontaires, ces deux unités s'illustrent rapidement : libération de la Corse, commandos en Italie, conquête de l'île d'Elbe, débarquement de Provence...
Le 11 septembre 1914, la bataille de la Marne était gagnée. Allait-on faire du front français le principal enjeu de la guerre, ou chercher à créer un second front que rendait possible une guerre en passe de devenir planétaire ? Les projets d'opérations
A la fin du XVIIe siècle, Louis XIV dépêche une ambassade au Siam, dont le but officiel est la conversion du souverain bouddhiste à la religion catholique, et le but officieux de donner à la France une nouvelle colonie par le biais de l'Eglise missionnaire et s'assurer d'un bastion sur la route des épices.
Tandis que les parachutistes de la Luftwaffe sautent sur la Crète, le 20 mai 1941, un étrange ballet se déroule à Knossos, dans les ruines du palais du roi Minos, aux portes d'Héraklion. Les archéologues, à la recherche d'un disque d'argile couvert de mystérieux caractères primitifs, sont aussi des agents secrets cherchant à nouer d'insolites alliances. Un Allemand, en mission spéciale, croise un militant sioniste, un lieutenant-colonel écossais de l'Intelligence Service, un patriote crétois, et une Egyptienne affiliée à la redoutable confrérie des Frères musulmans en lutte contre l'Angleterre. Qui sortira vivant du labyrinthe ?
Le 6 et le 9 août 1945, deux bombes atomiques tombaient sur Hiroshima et Nagasaki, causant sur la population civile les effroyables ravages encore présents dans la mémoire collective du monde entier. Dans cet ouvrage, Michel Hérubel traite des problèmes suivants : l'affrontement de deux civilisations opposées : le Japon traditionnel et la démocratie américaine moderne ; la mise au point de la bombe, la construction de son vecteur, la superforteresse B 29, qui coûta plus cher que les travaux et l'industrialisation du projectile ; la lutte entre les partisans et les opposants au bombardement atomique... ; l'interrogation, quant au rôle décisionnaire joué par Hirohito. En effet, pour sauvegarder l'unité nationale du Japon, très attaché à son empereur, indispensable du point de vue américain à l'équilibre des forces mondiales d'après-guerre, les Alliés avaient imaginé de le faire passer pour un simple d'esprit, le déchargeant ainsi de toute responsabilité dans la conduite de la guerre ; le mystère entourant l'avertissement des Américains aux Japonais par tracts et appels sur la Voix de l'Amérique et qui n'avait jamais été élucidé ; et, enfin, la responsabilité controversée de Harry Truman quant au largage des deux bombes. Un document indispensable sur un sujet toujours contesté.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Par ses victoires, le corps expéditionnaire du général Juin a restauré le prestige national. La France le doit notamment à l'étroite fusion des fantassins, des cavaliers et des artilleurs et à l'efficacité des batteries instruites sous l'autorité du général Chaillet.
Jusqu'en novembre 1942 le maréchal Pétain exerça, sans partage, le pouvoir à Vichy. La France disposait encore d'une Zone libre, d'une armée réduite, et surtout de son Empire et de sa Flotte. Si le Maréchal joua un double jeu, comment expliquer que des centaines de soldats, français et alliés, moururent dans un combat fratricide lors du débarquement en Afrique du Nord, en novembre 1942 ? L'amiral Darlan et les généraux d'Afrique ayant décidé de cesser le feu, et de retourner leurs forces contre les Allemands, le Maréchal les fustigea publiquement. Les approuva-t-il secrètement ? S'il les approuvait, pourquoi envoya-t-il l'amiral Platon à Tunis, pour ordonner la lutte contre les Anglo-Saxons, et pourquoi ne donna-t-il pas, à temps, à l'amiral de Laborde, l'ordre de sortir la Flotte française du piège de Toulon ? De très nombreux ouvrages ont été consacrés au maréchal Pétain. Mais celui-ci, écrit à partir de documents souvent peu connus ou inédits, donne un éclairage original sur le comportement du Maréchal. À lire absolument par tous ceux, jeunes ou moins jeunes, qui cherchent à comprendre cette période particulièrement dramatique de notre Histoire.
Pourquoi, après quinze années d'absence, Albert Theysse revient-il vivre à Péchegut, son petit village natal du Périgord noir ? Les habitants s'interrogent, d'autant plus qu'Albert, devenu gendarme, s'apprête à prendre le commandement de la petite brigade locale. Mais Theysse veut garder le secret : en juin 1944, alors qu'il était jeune maquisard, la Falourde, une innocente dont la seule faute fut d'avoir trop aimé l'amour, avait été assassinée. Albert n'a jamais pu l'oublier et s'est juré de découvrir le meurtrier. Dans le village, personne ne veut revenir sur un passé peu glorieux, en particulier Léa, la fossoyeuse, qui avait enterré la Falourde et qui, pourtant, semble en savoir long. Pourquoi refuse-t-elle si hargneusement de parler ? Même Lucienne Chaminade, la fiancée d'Albert, paraît vouloir protéger l'assassin. Mais, bientôt, divers forfaits commis par un vagabond inconnu, vont précipiter le dénouement. Le maréchal des logis Theysse pourra enfin tenir sa promesse, mais pas de la façon qu'il avait imaginée... Avec La Falourde, Henry Noullet nous fait aimer ce Périgord rude et attachant qui est son pays, et où il situe l'intrigue d'un polar rural au suspense ciselé.
L'histoire de l'ultime intervention des Bérets rouges britanniques et canadiens, qui reçurent, au mois de décembre 1944, la mission (baptisée Varsity) de sauter au-delà du Rhin en plein territoire ennemi, afin de bloquer la dernière offensive allemande su
Sur la trame héroïque de la croisade des enfants, s'impriment les amours contrariées d'Estienne-sans-avoir et de Marion la Doulce, la petite chevrière de Cloyes. En 1212, dans le village de Cloyes, au sud de Chartres, le berger Estienne, quinze ans, se voit confier, dans une vision, la mission de libérer le tombeau du Christ. Sans armes et par la seule puissance de l'amour, reposant sur les plus jeunes, les enfants, les innocents. Message révolutionnaire en ce temps des croisades armées, où la guerre entre l'Occident chrétien et l'islam provoque des centaines de milliers de morts. Comme une vague irrésistible, Estienne de Cloyes entraîne la Croisade des innocents, de Chartres à Paris et Saint-Denis, où il est reçu par le roi Philippe Auguste, de Paris à Vézelay, de Lyon à Marseille. Là, sept navires feront traverser la mer à quelque trois mille enfants. Mais le mal rôde autour de cette espérance de paix. Détruira-t-il ce formidable élan de foi de tout un peuple d'enfants passionnés ?
Tous les ans, depuis 1886, le jeune Guillaume Le Play passe ses vacances chez son oncle, le curé d'Heuretot, entre Le Havre et Dieppe. Là, il retrouve Xavière, la fille de Carmen et Robert Saint-Elier, le plus riche notaire du pays de Caux. Un univers initiatique, la falaise bleue, que les deux jeunes gens ont conçu au fil des années, scelle leur amour pour l'éternité. Guillaume, fils d'un capitaine au long cours impécunieux et d'une mère fragile, n'apporte pas les garanties suffisantes pour entrer dans le monde fermé de la bourgeoisie provinciale que représentent les Saint-Elier. Ceux-ci voudraient marier leur fille Xavière avec Jacques Héricourt, un riche fils de famille. Lorsque Guillaume revient, après une longue absence, le désespoir lui dicte une bien étrange vengeance. Mais lui-même ne tombera-t-il pas dans le piège ?
Lorsque Erwan Merzhinn rentre chez lui, un soir de septembre, il découvre sa maison vidée de ses meubles et son chat apeuré. Anne, sa femme, a disparu. Erwan s'en va errer sur l'arrière-port de Keris. Alors commence pour lui un long voyage initiatique qui va mener dans de mystérieux souterrains et sur les routes d'un pays de landes et de montagnes dominant la mer.
Un meurtre vient de secouer la vie paisible d'un petit village périgourdin.
Le facteur de pianos Peter Schuller revient avec sa femme et son fils de Londres où il s'est exilé pendant la Révolution. Il rapporte en Alsace, au pays des quatre rivières, sa nouvelle invention : le piano de concert. Ce roman plonge le lecteur en pleine époque romantique, à Paris, en Allemagne, en Alsace et dans la Vienne des grands compositeurs.
L'approche de la bataille électorale pour les européennes de 1999, où Philippe Séguin tient une place à part, la restructuration actuelle des grands mouvements de droite vont, en cette rentrée, propulser davantage encore sur le devant de la scène cet homme politique dans lequel certains voient déjà le sixième président de la Ve République.
1960-62, la guerre d'Algérie n'en finit pas. La surveillance maritime a pour mission de contrôler les bateaux pour intercepter les armes clandestines destinées au FLN. Entre Fabrice, jeune officier de marine, et Julie, fille de colon, se tisse une relation intense.
Printemps 1942. Depuis la Libye, l'Afrikakorps de Rommel a pénétré en Égypte, contrôlant toute la Méditerranée orientale. Les convois maritimes anglais, sans protection aérienne, sont décimés. L'indispensable ravitaillement, dont les Britanniques ont besoin pour résister, ne passe plus. Il faudrait neutraliser la Luftwaffe, l'aviation allemande qui attaque les convois en mer, mais la Royal Air Force est trop éloignée pour le faire. David Stirling vient de créer le Special Air Service qui opère sur les arrières ennemis. Ces petits groupes de combat, appelés sticks, ont déjà détruit ainsi des dizaines d'avions. Une vaste opération est alors montée. Un énorme convoi, celui de la dernière chance, partira de Gibraltar pour Alexandrie. La veille du jour où il abordera la zone vulnérable, les SAS attaqueront tous les aérodromes de la Luftwaffe. Ni trop tôt, ni trop tard. Les extraordinaires péripéties de ce pari, aussi fou qu'angoissant, se déroulent au fil des pages comme une grande épopée, menée par une poignée d'hommes dont la devise est : Qui ose gagne.
Quatre jeunes garçons, deux Français et deux Algériens, se lient d'amitié à Alger en 1962. Trente ans plus tard, le souvenir de leur enfance reste vivace malgré les disparités, malgré l'Histoire.
Le 21 mars 1945, le soleil se lève sur la base aérienne japonaise de Kanoya. Au P.C. Opérations, un message tombe : une escadre de porte-avions américains est signalée au large de nos côtes. L'amiral Ugaki appelle aussitôt le chef des Kamikaze : À vous de jouer, Okamura. Dehors, retentit le roulement de tambours qui précède le décollage de ceux qui vont mourir. Les bombardiers sont alignés. Sous leur fuselage sont accrochées les bombes fusées pilotées, les Fleurs de la mort. Le plus ancien des pilotes Kamikaze s'incline devant le leader : Commandant, je vous souhaite la victoire ! L'autre lui rend son salut. Son visage rayonne de bonheur : Nous allons à la mort ! C'est en octobre 1944, en voyant s'avancer MacArthur à la tête d'une flotte immense, menaçant, à travers les Philippines, les colonnes de l'Empire japonais, que furent créés les Kamikaze, phénomène unique dans l'histoire de la guerre.