« Jean Aron, poète de la finesse et du ciselé, a su voir « au-delà » de l'univers et de l'homme cosmique des peintures de Chardin. Il a su se mettre à l'écoute de la Métamorphose. Il a su aimer l'oeuvre du peintre et de la meilleure et la plus intelligente façon qui soit : en très attentive émotion. »