Qui aurait cru voir un jour la cathédrale Notre-Dame de Paris en proie aux flammes, un soir de printemps 2019 ? Qui aurait pu imaginer un tel désastre, au coeur même de la capitale ?
Comme tant d'autres, François Cheng a été bouleversé par l'événement. Mais au-delà des larmes et de l'émotion partagée, le poète a su traduire de manière saisissante le témoignage spirituel que nous livre la cathédrale. OEuvre de pierre et de bois, faite de main d'homme et tendue vers le divin, Notre-Dame de Paris n'invite-t-elle pas à une communion universelle ?
N'est-elle pas le symbole de notre âme commune ?
Ce sont les paroles fortes de François Cheng que nous retrouvons ici.
AUTEUR
Poète et romancier, François Cheng est membre de l'Académie française.
Riches ou pauvres, savants ou illettrés, ouvriers ou princes, malades, rejetés, célèbres : les saints ont tout connu de notre vie, de nos épreuves, de nos chagrins, de nos joies.
C'est pourquoi ils sont capables d'intercéder pour nous auprès de notre Père du Ciel et de nous donner de précieux conseils pour chaque jour.
Comme nous, ils se disputaient ou se mettaient en colère. Comme nous, ils s'inquiétaient pour leurs enfants, leur profession, leur santé, leur sécurité. Comme nous, ils ont vécu des agressions ou des deuils. Comme nous, ils ont ri, pleuré, travaillé, aimé. Mais leur secret était de vivre ces événements sous le regard de Dieu, à la suite de Jésus, en se confiant à la Vierge Marie.
Ce livre vivant et facile à lire, ponctué d'anecdotes tirées de la vie des saints, transmet un message essentiel plein d'espérance et de confiance.
Mère de cinq enfants, Odile Haumonté est journaliste et rédactrice en chef du magazine Patapon. Titulaire d'une maîtrise de droit européen et passionnée d'histoire, elle s'est tournée très tôt vers l'écriture. Elle est l'auteur d'une soixantaine de livres (vies de saints, accompagnement spirituel, récits évangéliques et romans), parmi lesquels Le grand livre des saints (Presses de la Renaissance, 2010) et Rencontres avec les anges (Artège, 2020).
Owen Whitfield, le vieux professeur de l'université d'Oxford apparu pour la première fois dans L'odyssée du père, attend avec impatience une année sabbatique, qu'il espère pleine de silence et de paix, et qu'il destine à jardiner, bricoler et achever son dernier livre qu'il qualifie lui-même d'« impubliable ».
Alors que son année vient à peine de commencer, une série de troublantes coïncidences l'amène à voyager en Europe et à se lier avec une famille victime de tentatives d'assassinat par des puissances inconnues. Durant son séjour en Roumanie, il comprend que l'aventure dans laquelle il s'est embarqué ne le laissera pas revenir indemne.
À travers le récit d'un homme ordinaire pris dans des événements extraordinaires, Michael D. O'Brien renoue avec les thèmes qui ont fait l'excellence de ses romans : tension entre fatalisme et lecture providentielle de l'histoire, exaltation du courage et de l'amour, et triomphe de la foi et de la raison sur les forces de destruction.
Traduction de l'anglais par Carine Rabier-Poutous
Michael D. O'Brien, peintre et écrivain canadien, est l'auteur de nombreux romans dont Père Elijah (2008), La libraire Sophia (2010), Une île au coeur du monde (2011), Theophilos (2012), L'odyssée du père (2013), Voyage vers Alpha du Centaure (2014), Père Elijah à Jérusalem (2015), Le fou de New York (2016), Étrangers et de passage (2017), Le journal de la peste (2018), L'éclipse du soleil (2019), La mémoire du futur (2020) et Le phare (2021), tous publiés en français chez Salvator.
Député de la Moselle, plusieurs fois ministre et chef de gouvernement sous la IVe République, Robert Schuman (1886-1963) exerça aussi les fonctions de président de la première assemblée parlementaire européenne qui lui donna officiellement le titre de « Père de l'Europe » en 1960.
Fervent catholique, il s'engagea en politique après avoir songé à la vie religieuse. Un ami lui prédit sa vocation de « saint en veston ». Il resta célibataire toute sa vie, entièrement consacré au service du bien commun.
Pour le cinquantième anniversaire de sa mort, le pape François avait souhaité que « l'Europe puisse, poursuivant l'intuition de Robert Schuman, prendre toujours mieux conscience de sa véritable identité et de son héritage spirituel ».
Ce premier portrait spirituel de l'homme politique chrétien s'appuie sur des documents de première main et sur des témoignages inédits d'hommes et de femmes qui ont connu Robert Schuman.
Originaire de Lorraine, Ghislain Knepper est cadre financier dans l'administration territoriale. Membre de l'institut « Saint Benoît patron de l'Europe » qui porte la cause de béatification de Robert Schuman, il a travaillé à la Maison de Robert Schuman à Scy-Chazelles. Depuis plusieurs années, il donne des conférences et publie des articles sur cette grande figure politique.
L'élection du pape Ignazio jette une ombre de perplexité et d'irritation sur le petit mais influent monde du Vatican.
Il se peut que le nouveau pape représente un danger s'il entend empêcher le blanchiment de l'argent sale via l'IOR. Ce danger doit être combattu.
Dans les couloirs du Vatican, remplis d'intrigues et de rivalités, l'idée d'un plan pour se débarrasser du saint-père commence à se répandre.
L'archiatre Gregorio, le « premier médecin » du Vatican, réussit à le contrecarrer, devenant ainsi le seul confident du pape au milieu d'une curie hostile.
À l'automne 2014, la pianiste Zhu Xiao-Mei a donné une série de concerts en Chine.
C'était la première fois qu'elle y rejouait en récital depuis qu'elle avait quitté son pays, près de trente-cinq ans auparavant, après cette tragique Révolution culturelle évoquée dans son livre-témoignage La rivière et son secret (Robert Laffont, 2007), traduit dans de multiples langues et qui a connu un large succès. Au cours de ce voyage, il ne s'est pas passé un jour sans retrouvailles bouleversantes ou moments de grande émotion. Interprète internationalement connue pour ses enregistrements de Bach (et notamment des Variations Goldberg) mais aussi des grands maîtres classiques et romantiques, Zhu Xiao-Mei est allée à la rencontre de la Chine d'aujourd'hui, à la fois jeune et avide de culture, mais aussi traumatisée par les années de folie maoïste.
Qui en effet, dans ce pays, n'a pas été un jour touché dans sa chair ou dans son âme ?
Pourtant, au-delà des drames de l'histoire, des différences de culture et de religion, la musique et en particulier celle de Jean-Sébastien Bach apporte à tous ceux qui l'écoutent un supplément d'âme et une ouverture spirituelle. Elle invite à la paix, à la beauté et au sens de l'universel. Tel est le message de Zhu Xiao-Mei.
Né en 1964, Michel Mollard a publié Le Voyage à Leipzig, une initiation au Clavier bien tempéré de Jean-Sébastien Bach et signé un premier film : Le retour est le mouvement du Tao (prix du meilleur essai, Festival international du film sur l'art, 2015). Dirigeant et créateur de plusieurs entreprises, il se passionne notamment pour la culture chinoise et la musique.