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Lors d'une croisière, un champion du monde d'échecs joue contre des passagers, lorsqu'un vieux monsieur intervient...
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Quand Stefan Zweig raconte Marie-Antoinette, ça donnerait envie d'être royaliste !
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Magellan est un récit historique de Stefan Zweig, publié en 1938 à Vienne. Il retrace la vie et les voyages du navigateur et explorateur portugais Fernand de Magellan, et en particulier le premier tour du monde de l'histoire de la navigation et la découverte du passage entre l'océan Atlantique et l'océan Pacifique par la pointe méridionale de l'Amérique du Sud, détroit qui porte désormais son patronyme.
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Trois textes considérés comme des légendes : deux juives et une bouddhiste. La première, «Le chandelier enterré», nous conte l'histoire de la menorah, le chandelier symbole de la religion juive. Pour la seconde, «Rachel contre Dieu», l'auteur reprend l'histoire de Jacob et Rachel dans la Bible, cette dernière se rebelle contre Dieu trop cruel envers son peuple. «Virata», la dernière, est l'histoire d'un guerrier intrépide qui vient au secours de son roi afin d'empêcher une rébellion, mais tue sans le savoir son frère aîné.
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6 nouvelles où la plume de l'auteur vous transperce le coeur et vous fait basculer dans un monde de frissons.
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Dans un hôtel luxueux de la côte d'Azur, une femme âgée raconte une passion impromptue et soudaine suite à la rencontre d'un beau jeune homme joueur lorsqu'une autre femme abandonne sa famille pour un amant inconnu la veille.
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« Le vice appuyé sur le crime » (Chateaubriand)
Joseph Fouché (1759-1820) a servi avec zèle la République, le Directoire, le Consulat, l'Empire et la Monarchie. Homme de l'ombre, disciple de Machiavel, Fouché aura survécu à tous les changements de régime sans jamais se départir de cette «absence de convictions» qui fascina Balzac autant que Stefan Zweig.
Elève chez les Oratoriens, il devint sous la Révolution un pilleur d'églises. Conventionnel modéré, il vota la mort du roi et participa activement au massacre des Lyonnais royalistes. Ambassadeur du Directoire à Dresde, il cambriola son ambassade. Ministre de la Police, à l'abri derrière ses fiches et ses mouchards, il tint tête à Talleyrand et à Bonaparte. Signataire du premier manifeste sur l'égalité, il meurt richissime, duc d'Otrante et sénateur.
Joseph Fouché, c'est l'art du reniement, la grâce du traître. Il n'y a pas de personnalité plus décriée que cet homme politique au sang froid, figure cachée et essentielle de l'Histoire française. Stefan Zweig nous le fait découvrir de magistrale manière, dans un style clair et captivant. À lire comme un bon polar, d'une traite...