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eugene sue
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Jean Bart et Louis XIV
Eugène Sue, Jean Adolphe Beauce
- Collection XIX
- 29 Septembre 2020
- 9782346142125
« C'était pendant le siège de Dunkerque, au mois de juin 1658, quelques jours avant la sanglante bataille des Dunes. qui décida du sort de cette ville importante, alors assiégée par l'armée franco-anglaise que commandaient M. le maréchal de Turenne pour Louis XIV, et Sa Seigneurie lord Lockart pour Cromwell ; M. le marquis de Lède, M. le prince de Condé et don Juan d'Autriche défendaient la place pour le roi d'Espagne, qui la possédait depuis 1652.
Or, par une belle soirée de ce mois, un groupe assez nombreux de bourgeois et de marins se pressait sur le degré d'une modeste maison située vers cette partie de la rue de l'Église qui avoisinait la paroisse, alors si renommée par son merveilleux carillon.
Cette maison, comme presque toutes celles du temps, était de forme irrégulière, avec de hautes et étroites croisées en ogives, garnies d'un treillis de plomb. La date de l'année de sa construction se voyait chiffrée en barre de fer sur la façade ; enfin, au-dessus des fenêtres du rez-de-chaussée, à gauche du degré et au niveau de la rue, une porte en saillie, garnie de larges ferrures, donnait entrée dans la cave. » -
Extrait : "Jamais je n'oublierai les émotions saisissantes de cette nuit, que je passai dans une sorte de délire raisonnable, si cela se peut dire. Tantôt je marchais à grands pas dans ma chambre, tantôt je m'arrêtais brusquement pour m'agenouiller et pour prier avec ferveur ; puis j'avais des éclats de joie folle, des ressentiments de bonheur immense, des élans de fierté calme et majestueuse."
À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN :
Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de grands classiques de la littérature ainsi que des livres rares, dans les domaines suivants :
o Fiction : roman, poésie, théâtre, jeunesse, policier, libertin.
o Non fiction : histoire, essais, biographies, pratiques. -
Extrait : "Vers la fin du mois d'octobre 1838, par une soirée pluvieuse et froide, un homme d'une taille athlétique, coiffé d'un vieux chapeau de paille à larges bords, et vêtu d'un mauvais bourgeron de toile bleue flottant sur un pantalon de pareille étoffe, traversa le Pont-au-Change et s'enfonça dans la Cité, dédale de rues obscures, étroites et tortueuses, qui s'étend depuis le Palais-de-Justice jusqu'à Notre-Dame."
À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN
Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de qualité de grands livres de la littérature classique mais également des livres rares en partenariat avec la BNF. Beaucoup de soins sont apportés à ces versions ebook pour éviter les fautes que l'on trouve trop souvent dans des versions numériques de ces textes.
LIGARAN propose des grands classiques dans les domaines suivants :
o Livres rares
o Livres libertins
o Livres d'Histoire
o Poésies
o Première guerre mondiale
o Jeunesse
o Policier -
Extrait : "Mathieu Guichard était fils de Jean Guichard, serrurier dans la rue Saint-Benoît. Mathieu Guichard avait environ dix-sept ans, était d'une taille moyenne, maigre, nerveux et pâle ; ses yeux étaient gris ; ses cheveux châtains, clair et soyeux ; sa figure annonçait un singulier mélange d'astuce et de niaiserie, d'indolence et de vivacité ; son teint plombé, hâve, avait cette couleur étiolée, maladive, flétrie, particulière aux enfants de Paris..."
À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN
Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de qualité de grands livres de la littérature classique mais également des livres rares en partenariat avec la BNF. Beaucoup de soins sont apportés à ces versions ebook pour éviter les fautes que l'on trouve trop souvent dans des versions numériques de ces textes.
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o Livres d'Histoire
o Poésies
o Première guerre mondiale
o Jeunesse
o Policier -
En 1837, le bal de l'Opéra n'était pas encore tout à fait envahi par cette cohue de danseurs frénétiques et échevelés, chicards et chicandards (cela se dit ainsi), qui, de nos jours, ont presque entièrement banni de ces réunions les anciennes traditions de l'intrigue et ce ton de bonne compagnie qui n'ôtait rien au piquant des aventures.Alors, comme aujourd'hui, les gens du monde se rassemblaient autour d'un grand coffre placé dans le corridor des premières loges, entre les deux portes du foyer de l'Opéra.Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
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BnF collection ebooks - "Mathieu Guichard était fils de Jean Guichard, serrurier dans la rue Saint-Benoît. Mathieu Guichard avait environ dix-sept ans, était d'une taille moyenne, maigre, nerveux et pâle ; ses yeux étaient gris ; ses cheveux châtains, clair et soyeux ; sa figure annonçait un singulier mélange d'astuce et de niaiserie, d'indolence et de vivacité ; son teint plombé, hâve, avait cette couleur étiolée, maladive, flétrie, particulière aux enfants de Paris..."BnF collection ebooks a pour vocation de faire découvrir en version numérique des textes classiques essentiels dans leur édition la plus remarquable, des perles méconnues de la littérature ou des auteurs souvent injustement oubliés. Tous les genres y sont représentés : morceaux choisis de la littérature, y compris romans policiers, romans noirs mais aussi livres d'histoire, récits de voyage, portraits et mémoires ou sélections pour la jeunesse.
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Le Classcompilé n° 84 contient les oeuvres d'Eugène Sue. Il est agrémenté d'environ 1700 illustrations Marie-Joseph Sue dit Eugène Sue, né le 26 janvier 1804 à Paris et mort en exil le 3 août 1857 à Annecy-le-Vieux (Duché de Savoie), est un écrivain français. Il est principalement connu pour deux de ses romans-feuilletons à caractère social : Les Mystères de Paris (1842-1843) et Le Juif errant (1844-1845). (Wikip.) Version : 3.0(17/12/2018): Le diable médecin, Les secrets de l'oreiller
On consultera les instructions pour mettre à jour ce volume sur le site lci-eBooks, rubrique "Mettre à jour les livres"
CONTENU DE CE VOLUME :
PLIK ET PLOK (1830)
ATAR GULL. (1831)
LA SALAMANDRE (1831)
LA COUCARATCHA. (1832)
LA VIGIE DE KOAT VËN (1833)
ARTHUR (1838)
MATHILDE. (1841)
LE MORNE-AU-DIABLE (1842)
PAULA MONTI OU L'HOTEL LAMBERT (1842)
LES MYSTÈRES DE PARIS (1842-43)
Les billes d'agate
LE JUIF ERRANT (1844-45)
MARTIN L'ENFANT TROUVÉ OU LES MÉMOIRES D'UN VALET DE CHAMBRE (1847)
MISS MARY OU L'INSTITUTRICE (1851)
LE DIABLE MEDECIN (1855)
LES MYSTÈRES DU PEUPLE (1849-57)
LES SECRETS DE L'OREILLER (1858) Les livrels de lci-eBooks sont des compilations d'oeuvres appartenant au domaine public : les textes d'un même auteur sont regroupés dans un eBook à la mise en page soignée, pour la plus grande commodité du lecteur. On trouvera le catalogue sur le site de l'éditeur. -
On voyait, vers le milieu de l'année 1840, sur l'un des versants du Jura, non loin des frontières du canton de Genève, une modeste maison de paysan. Isolée d'un village assez considérable, cette demeure, à demi cachée par quelques noyers gigantesques, conservait l'apparence rustique qu'elle devait à ses premiers propriétaires : bâtisse de pierres de roche reliées par un ciment grossier ; toiture de tuiles moussues, à pans très-inclinés, qui, se prolongeant de quelques pieds au delà de l'aplomb des murailles, formaient ainsi, sur deux faces du logis, une sorte de galerie couverte et extérieure, soutenue par des piliers où s'enroulaient de vieux ceps de vigne ; un mur de pierres sèches, à hauteur d'appui, maintenait les terres du jardinet, clos d'une haie d'aubépine et disposé en plates-bandes de divers légumes alors en pleine végétation ; des touffes de rosiers des quatre saisons, seule espèce jadis connue en ces lieux agrestes, formaient des buissons fleuris à l'angle des carrés de plantes potagères, entourés de vieux arbres fruitiers taillés en quenouille.Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
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Marie-Joseph-Eugène Suë naquit à Paris le 1er janvier 1803. Sa famille était originaire de Provence. Pierre Suë, son bisaïeul, professeur de médecine légale et bibliothécaire de la ville de Paris, laissa quelques ouvrages estimés et mourut pauvre. Son grand-père, plus heureux, amassa une belle fortune. Outre les fonctions de professeur à l'Ecole de médecine, il cumula celles de chirurgien à l'Hospice de charité, de professeur à l'Ecole des beaux-arts et de chirurgien de la maison de Louis XVI.Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
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Les Mystères du Peuple, tomes 5 à 8, livre 2 sur 4
Eugène Sue
Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Une épopée de plus de 10 000 000 de caractères présentée ici en 4 livres (4 tomes par livre)
Dans cette fresque historique et politique, le ton est donné par son exergue : « Il n'est pas une réforme religieuse, politique ou sociale, que nos pères n'aient été forcés de conquérir de siècle en siècle, au prix de leur sang, par l'insurrection. »
Les Mystères du peuple est l'histoire, de 57 avant Jésus-Christ à 1851, de la famille Lebrenn. À la veille de la conquête de la petite Bretagne par César, cette famille vit paisiblement près des pierres de Karnak. La défaite de la bataille de Vannes marque le début de la servitude pour les descendants de Joel, le brenn (chef) de la tribu de Karnak.
À l'esclavage imposé par les Romains, succède l'oppression physique exercée par les Franks puis la domination morale exercée par l'Église qui prône que ceux qui souffrent dans ce bas monde seront récompensés dans les cieux.
Dans le premier manuscrit, La faucille d'or, la société celte est définie comme une société idéale une sorte d'âge d'or de notre civilisation. L'organisation sociale et politique repose entre autres sur le respect et l'égalité entre les sexes. La fin du roman se termine sur la déception causée par l'échec de la Seconde République.
La chronologie historique est revue et corrigée par Eugène Sue. Il mêle à l'Histoire des personnages fictifs, descendants de Joel, qui sont autant de témoins des mortifications et des crimes endurés par le peuple.
Les Mystères du peuple est condamné en 1857 : "L'auteur des Mystères du peuple n'a entrepris cet ouvrage et ne l'a continué que dans un but évident de démoralisation."
La Cour impériale de Paris, reprochait entre autres à Eugène Sue :
1 - L'outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes moeurs ;
2 - l'outrage à la religion catholique ;
3 - l'excitation à la haine et au mépris des citoyens les uns contre les autres ;
4 - l'apologie de faits qualifiés crimes ou délits par la loi pénale ;
5 - les attaques contre le principe de la propriété ;
6 - l'excitation à la haine et au mépris du gouvernement établi par la Constitution.
Le jugement est rendu un mois après son décès, le 25 septembre 1857, et impose "La destruction des clichés et la suppression de l'ouvrage Les Mystères du Peuple, par Eugène Sue, de tous les exemplaires saisis et de tous ceux qui pourront l'être et en ordonne l'entière suppression." Source eugene.sue.free.fr/
Retrouvez l'ensemble de nos collections sur http://www.culturecommune.com/ -
L'Alouette du casque - Ou Victoria, la mère des camps
Eugene Sue
- Collection XIX
- 15 Novembre 2016
- 9782346121632
Moi, descendant de Joël, le brenn de la tribu de Karnak ; moi, Scanvoch, redevenu libre par le courage de : mon père Ralf et les vaillantes insurrections gauloises, arrivées de siècle en siècle, j'écris ceci deux cent soixante-quatre ans après que mon aïeule Geneviève, femme de Fergan, a vu mourir, en Judée, sur le Calvaire, Jésus de Nazareth.J'écris ceci cent trente-quatre ans après que Gomer, fils de Judicaël et petit-fils de Fergan, esclave comme son père et son grand-père, écrivait à son fils Médérik qu'il n'avait à ajouter que le monotone récit de sa vie d'esclave à l'histoire de notre famille.Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
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Les Mystères du Peuple, tomes 13 à 16, livre 4 sur 4
Eugène Sue
Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Une épopée de plus de 10 000 000 de caractères présentée ici en 4 livres (4 tomes par livre)
Dans cette fresque historique et politique, le ton est donné par son exergue : « Il n'est pas une réforme religieuse, politique ou sociale, que nos pères n'aient été forcés de conquérir de siècle en siècle, au prix de leur sang, par l'insurrection. »
Les Mystères du peuple est l'histoire, de 57 avant Jésus-Christ à 1851, de la famille Lebrenn. À la veille de la conquête de la petite Bretagne par César, cette famille vit paisiblement près des pierres de Karnak. La défaite de la bataille de Vannes marque le début de la servitude pour les descendants de Joel, le brenn (chef) de la tribu de Karnak.
À l'esclavage imposé par les Romains, succède l'oppression physique exercée par les Franks puis la domination morale exercée par l'Église qui prône que ceux qui souffrent dans ce bas monde seront récompensés dans les cieux.
Dans le premier manuscrit, La faucille d'or, la société celte est définie comme une société idéale une sorte d'âge d'or de notre civilisation. L'organisation sociale et politique repose entre autres sur le respect et l'égalité entre les sexes. La fin du roman se termine sur la déception causée par l'échec de la Seconde République.
La chronologie historique est revue et corrigée par Eugène Sue. Il mêle à l'Histoire des personnages fictifs, descendants de Joel, qui sont autant de témoins des mortifications et des crimes endurés par le peuple.
Les Mystères du peuple est condamné en 1857 : "L'auteur des Mystères du peuple n'a entrepris cet ouvrage et ne l'a continué que dans un but évident de démoralisation."
La Cour impériale de Paris, reprochait entre autres à Eugène Sue :
1 - L'outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes moeurs ;
2 - l'outrage à la religion catholique ;
3 - l'excitation à la haine et au mépris des citoyens les uns contre les autres ;
4 - l'apologie de faits qualifiés crimes ou délits par la loi pénale ;
5 - les attaques contre le principe de la propriété ;
6 - l'excitation à la haine et au mépris du gouvernement établi par la Constitution.
Le jugement est rendu un mois après son décès, le 25 septembre 1857, et impose "La destruction des clichés et la suppression de l'ouvrage Les Mystères du Peuple, par Eugène Sue, de tous les exemplaires saisis et de tous ceux qui pourront l'être et en ordonne l'entière suppression." Source eugene.sue.free.fr/
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Les Mystères du Peuple, tomes 1 à 4, livre 1 sur 4
Eugène Sue
Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Une épopée de plus de 10 000 000 de caractères présentée ici en 4 livres (4 tomes par livre)
Dans cette fresque historique et politique, le ton est donné par son exergue : « Il n'est pas une réforme religieuse, politique ou sociale, que nos pères n'aient été forcés de conquérir de siècle en siècle, au prix de leur sang, par l'insurrection. »
Les Mystères du peuple est l'histoire, de 57 avant Jésus-Christ à 1851, de la famille Lebrenn. À la veille de la conquête de la petite Bretagne par César, cette famille vit paisiblement près des pierres de Karnak. La défaite de la bataille de Vannes marque le début de la servitude pour les descendants de Joel, le brenn (chef) de la tribu de Karnak.
À l'esclavage imposé par les Romains, succède l'oppression physique exercée par les Franks puis la domination morale exercée par l'Église qui prône que ceux qui souffrent dans ce bas monde seront récompensés dans les cieux.
Dans le premier manuscrit, La faucille d'or, la société celte est définie comme une société idéale une sorte d'âge d'or de notre civilisation. L'organisation sociale et politique repose entre autres sur le respect et l'égalité entre les sexes. La fin du roman se termine sur la déception causée par l'échec de la Seconde République.
La chronologie historique est revue et corrigée par Eugène Sue. Il mêle à l'Histoire des personnages fictifs, descendants de Joel, qui sont autant de témoins des mortifications et des crimes endurés par le peuple.
Les Mystères du peuple est condamné en 1857 : "L'auteur des Mystères du peuple n'a entrepris cet ouvrage et ne l'a continué que dans un but évident de démoralisation."
La Cour impériale de Paris, reprochait entre autres à Eugène Sue :
1 - L'outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes moeurs ;
2 - l'outrage à la religion catholique ;
3 - l'excitation à la haine et au mépris des citoyens les uns contre les autres ;
4 - l'apologie de faits qualifiés crimes ou délits par la loi pénale ;
5 - les attaques contre le principe de la propriété ;
6 - l'excitation à la haine et au mépris du gouvernement établi par la Constitution.
Le jugement est rendu un mois après son décès, le 25 septembre 1857, et impose "La destruction des clichés et la suppression de l'ouvrage Les Mystères du Peuple, par Eugène Sue, de tous les exemplaires saisis et de tous ceux qui pourront l'être et en ordonne l'entière suppression." Source eugene.sue.free.fr/
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Les Mystères du Peuple, tomes 9 à 12, livre 3 sur 4
Eugène Sue
Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Une épopée de plus de 10 000 000 de caractères présentée ici en 4 livres (4 tomes par livre)
Dans cette fresque historique et politique, le ton est donné par son exergue : « Il n'est pas une réforme religieuse, politique ou sociale, que nos pères n'aient été forcés de conquérir de siècle en siècle, au prix de leur sang, par l'insurrection. »
Les Mystères du peuple est l'histoire, de 57 avant Jésus-Christ à 1851, de la famille Lebrenn. À la veille de la conquête de la petite Bretagne par César, cette famille vit paisiblement près des pierres de Karnak. La défaite de la bataille de Vannes marque le début de la servitude pour les descendants de Joel, le brenn (chef) de la tribu de Karnak.
À l'esclavage imposé par les Romains, succède l'oppression physique exercée par les Franks puis la domination morale exercée par l'Église qui prône que ceux qui souffrent dans ce bas monde seront récompensés dans les cieux.
Dans le premier manuscrit, La faucille d'or, la société celte est définie comme une société idéale une sorte d'âge d'or de notre civilisation. L'organisation sociale et politique repose entre autres sur le respect et l'égalité entre les sexes. La fin du roman se termine sur la déception causée par l'échec de la Seconde République.
La chronologie historique est revue et corrigée par Eugène Sue. Il mêle à l'Histoire des personnages fictifs, descendants de Joel, qui sont autant de témoins des mortifications et des crimes endurés par le peuple.
Les Mystères du peuple est condamné en 1857 : "L'auteur des Mystères du peuple n'a entrepris cet ouvrage et ne l'a continué que dans un but évident de démoralisation."
La Cour impériale de Paris, reprochait entre autres à Eugène Sue :
1 - L'outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes moeurs ;
2 - l'outrage à la religion catholique ;
3 - l'excitation à la haine et au mépris des citoyens les uns contre les autres ;
4 - l'apologie de faits qualifiés crimes ou délits par la loi pénale ;
5 - les attaques contre le principe de la propriété ;
6 - l'excitation à la haine et au mépris du gouvernement établi par la Constitution.
Le jugement est rendu un mois après son décès, le 25 septembre 1857, et impose "La destruction des clichés et la suppression de l'ouvrage Les Mystères du Peuple, par Eugène Sue, de tous les exemplaires saisis et de tous ceux qui pourront l'être et en ordonne l'entière suppression." Source eugene.sue.free.fr/
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L'Invention de Paris : des bas-fonds au Gai Paris
Eugene Sue, Jules Janin, Paul Mahalin, Gaston Jollivet, Amable-Felix Couturier De Vienne, Alfred Delvau, Champfleury, Jü
- BnF collection ebooks
- 14 Décembre 2019
- 9782346139651
"Paris sera toujours Paris" chantait Maurice Chevalier. La formule décrit bien le Gai Paris et l'éternelle fête parisienne. Cette ville des spectacles et des plaisirs a-t-elle existé ? Oui et non, ou plutôt cette image apparue au 19e siècle a pris sens dans une certaine conception de la ville, comme composée de lumières et d'obscurités, de beautés et de laideurs. Le charme opère toujours à l'étranger, mais qu'en penser dans la ville assainie, retranchée derrière la muraille du périphérique ? La ville n'est plus à la hauteur de son mythe : trop belle, trop lisse et pas assez laide ? Paris sera-t-il toujours Paris ?
Ce coffret contient dix oeuvres de la littérature française, avec une préface et une présentation de Jean Demerliac : Physiologie du flâneur de Louis Adrien Huart, Les Mystères de Paris d'Eugène Sue, Un hiver à Paris de Jules Janin, Les Mémoires du bal Mabille de Paul Mahalin, Souvenirs de la vie de plaisir sous le Second Empire de Gaston Jollivet, Paris moderne d'Amable-Félix Couturier de Vienne, Au bord de la Bièvre d'Alfred Delvau, Les Excentriques de Champfleury, La Rue de Jules Vallès, Croquis parisiens de Joris Karl Huysmans.
Retrouvez dans la même collection : Trois révolutions, deux empires, deux républiques..., Le Siècle positif, Le siècle de fer, Argent, bonheur et richesse, Esprit es-tu là ?, Le Tour du monde, Des Parisiens et des Parisiennes, L'Amour dans tous ses états, Miscellanées. -
Autrefois, La Louve terrorisait les prisonnières de Saint-Lazare. Mais l'orpheline Fleur-de-Marie, une ancienne captive, a su éveiller en elle un sentiment de rédemption. Libérée de prison pour bonne conduite, La Louve fonce droit sur l'île des Ravageurs, au milieu de la Seine, pour délivrer son amour de toujours, Martial, enfermé par sa mère et condamné à mourir de faim. Mais à peine arrive-t-elle sur l'île que des cris de détresse retentissent: Fleur-de-Marie se noie...
«Les Mystères de Paris» est un roman social d'aventures populaire, paru en feuilleton de 1842 à 1843. Comme Hugo dans «Les Misérables», Eugène Sue abat le tabou de la misère, et révèle les moeurs violentes et les bas-fonds de la société. Enfin l'on raconte l'histoire du peuple, tel qu'il est. Avec «Les mystères de Paris» Eugène Sue a établi un genre, le feuilleton, et créé une série au succès sans précédent ; un classique incontournable.
Eugène Sue (1804-1857) est un écrivain français, élevé dans la richesse de la garde de Napoléon Ier. Enfant, c'est un élève turbulent qui, malgré une famille de chirurgiens à l'hôpital de la maison du roi, souhaite démissionner de ses obligations pour devenir Dandy. Son père meurt alors qu'il n'a que 28 ans, lui léguant une fortune considérable. Eugène Sue en profite, et dépense en seulement sept ans tout l'argent. Il doit se consacrer de nouveau à la littérature pour arrondir ses fins de mois. Il commence par des romans maritimes, écrits dans un romantisme noir, qui relatent ses expériences de voyage en tant que militaire chirurgien. «La Salamandre», 1832, est un succès. Son socialisme engagé grandit, et sous un plume critique, écrit de 1842 à 1843 «Les Mystères de Paris», suivi du «Juif errant». Lors de l'accession au pouvoir par Napoléon III, Sue s'emporte violemment contre le coup d'État. Condamné à la prison, il s'exile. «Les Mystères du peuple» est publié mais doit déjouer la censure. -
Au XIXème siècle, le Chourineur, un ancien boucher envoyé dans une ferme en Algérie par Rodolphe, revient à Paris. Son fidèle ami Rodolphe lui manque, et il éprouve le même besoin que lui: lutter contre les injustices dans la capitale. Ensemble, ils préparent le sauvetage de François-Germain, l'homme pour qui Rodolphe a entrepris tant d'aventures...
«Les Mystères de Paris» est un roman social d'aventures populaire, paru en feuilleton de 1842 à 1843. Comme Hugo dans «Les Misérables», Eugène Sue abat le tabou de la misère, et révèle les moeurs violentes et les bas-fonds de la société. Enfin l'on raconte l'histoire du peuple, tel qu'il est. Avec «Les mystères de Paris» Eugène Sue a établi un genre, le feuilleton, et créé une série au succès sans précédent ; un classique incontournable.
Eugène Sue (1804-1857) est un écrivain français, élevé dans la richesse de la garde de Napoléon Ier. Enfant, c'est un élève turbulent qui, malgré une famille de chirurgiens à l'hôpital de la maison du roi, souhaite démissionner de ses obligations pour devenir Dandy. Son père meurt alors qu'il n'a que 28 ans, lui léguant une fortune considérable. Eugène Sue en profite, et dépense en seulement sept ans tout l'argent. Il doit se consacrer de nouveau à la littérature pour arrondir ses fins de mois. Il commence par des romans maritimes, écrits dans un romantisme noir, qui relatent ses expériences de voyage en tant que militaire chirurgien. «La Salamandre», 1832, est un succès. Son socialisme engagé grandit, et sous un plume critique, écrit de 1842 à 1843 «Les Mystères de Paris», suivi du «Juif errant». Lors de l'accession au pouvoir par Napoléon III, Sue s'emporte violemment contre le coup d'État. Condamné à la prison, il s'exile. «Les Mystères du peuple» est publié mais doit déjouer la censure. -
XIXème siècle, Paris. Rodolphe, le justicier des miséreux, est en proie au désespoir. Alors qu'il a réussi à sauver François-Germain de la prison, Sarah Seyton, dont la blessure laissée par le poignard de l'odieuse Chouette peine à cicatriser, lui dévoile un lourd secret: Fleur-de-Marie, celle dont les rumeurs disent qu'elle s'est noyée, est leur fille...
«Les Mystères de Paris» est un roman social d'aventures populaire, paru en feuilleton de 1842 à 1843. Comme Hugo dans «Les Misérables», Eugène Sue abat le tabou de la misère, et révèle les moeurs violentes et les bas-fonds de la société. Enfin l'on raconte l'histoire du peuple, tel qu'il est. Avec «Les mystères de Paris» Eugène Sue a établi un genre, le feuilleton, et créé une série au succès sans précédent ; un classique incontournable.
Eugène Sue (1804-1857) est un écrivain français, élevé dans la richesse de la garde de Napoléon Ier. Enfant, c'est un élève turbulent qui, malgré une famille de chirurgiens à l'hôpital de la maison du roi, souhaite démissionner de ses obligations pour devenir Dandy. Son père meurt alors qu'il n'a que 28 ans, lui léguant une fortune considérable. Eugène Sue en profite, et dépense en seulement sept ans tout l'argent. Il doit se consacrer de nouveau à la littérature pour arrondir ses fins de mois. Il commence par des romans maritimes, écrits dans un romantisme noir, qui relatent ses expériences de voyage en tant que militaire chirurgien. «La Salamandre», 1832, est un succès. Son socialisme engagé grandit, et sous un plume critique, écrit de 1842 à 1843 «Les Mystères de Paris», suivi du «Juif errant». Lors de l'accession au pouvoir par Napoléon III, Sue s'emporte violemment contre le coup d'État. Condamné à la prison, il s'exile. «Les Mystères du peuple» est publié mais doit déjouer la censure. -
Fleur-de-Marie a retrouvé son père, Rodolphe, le prince qui a tant lutté contre les injustices dans le Paris du XIXème siècle. Rodolphe et la marquise Clémence, celle qui a ramené saine et sauve la fille à son père, vont bientôt se marier à Gerolstein. Tout va pour le mieux, mais le jour du départ de Paris - jour de carême - le fiacre de Rodolphe se retrouve coincé dans une foule bariolée. Rodolphe s'impatiente, quand soudain surgit le Squelette, un assassin sans vergogne, qui se précipite droit sur son fiacre...
«Les Mystères de Paris» est un roman social d'aventures populaire, paru en feuilleton de 1842 à 1843. Comme Hugo dans «Les Misérables», Eugène Sue abat le tabou de la misère, et révèle les moeurs violentes et les bas-fonds de la société. Enfin l'on raconte l'histoire du peuple, tel qu'il est. Avec «Les mystères de Paris» Eugène Sue a établi un genre, le feuilleton, et créé une série au succès sans précédent ; un classique incontournable.
Eugène Sue (1804-1857) est un écrivain français, élevé dans la richesse de la garde de Napoléon Ier. Enfant, c'est un élève turbulent qui, malgré une famille de chirurgiens à l'hôpital de la maison du roi, souhaite démissionner de ses obligations pour devenir Dandy. Son père meurt alors qu'il n'a que 28 ans, lui léguant une fortune considérable. Eugène Sue en profite, et dépense en seulement sept ans tout l'argent. Il doit se consacrer de nouveau à la littérature pour arrondir ses fins de mois. Il commence par des romans maritimes, écrits dans un romantisme noir, qui relatent ses expériences de voyage en tant que militaire chirurgien. «La Salamandre», 1832, est un succès. Son socialisme engagé grandit, et sous un plume critique, écrit de 1842 à 1843 «Les Mystères de Paris», suivi du «Juif errant». Lors de l'accession au pouvoir par Napoléon III, Sue s'emporte violemment contre le coup d'État. Condamné à la prison, il s'exile. «Les Mystères du peuple» est publié mais doit déjouer la censure. -
*** Cette édition est optimisée pour la lecture numérique *** « Vous tous, gens d'Angleterre, qui n'avez aucun droit sur le royaume de France, moi, Jeanne, je vous mande ceci, de par Dieu : Abandonnez vos bastilles et retournez dans votre pays, sinon je vous ferai un tel dommage, que vous vous en souviendrez éternellement. Voici la seconde fois que je vous écris... c'est assez... » - JEANNE. En une semaine la vierge guerrière, inspirée par le saint amour de la patrie, a vaincu les Anglais, triomphants depuis la bataille de Poitiers ! En une semaine la vaillante fille du peuple accomplit ce que n'avaient pu accomplir, depuis plus d'un demi-siècle, tant de nobles et illustres capitaines ! Voici, jour par jour, le récit de la SEMAINE DE JEANNE DARC.
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Eugène Sue (1804-1857) "On voyait en 1769, rue Saint-Honoré, non loin du Palais-Royal, une modeste boutique de tailleur ayant pour enseigne une énorme paire de ciseaux dorés suspendus au dessus de la porte à une tringle de fer. Maître Landry, propriétaire de la boutique des Ciseaux d'or, petit homme grêle, pâle, apathique, offrait un contraste frappant avec sa femme, dame Madeleine Landry. Celle ci, âgée de trente-cinq à quarante ans, était active et robuste ; ses traits durs, son allure masculine, son ton brusque, impérieux, montraient assez qu'elle exerçait dans le ménage une domination absolue. C'était par un jour de décembre sombre et pluvieux, onze heures venaient de sonner. Maître Landry, assis sur son établi, maniait alternativement les ciseaux et l'aiguille, en compagnie de Martin Kraft, son apprenti, grand, gros et flegmatique Allemand de vingt ans environ, aux joues roses et bouffies, à la longue chevelure plus jaune que blonde, à l'air stupide et lent. La femme du tailleur semblait possédée d'un violent accès de mauvaise humeur. Landry et son apprenti gardaient un respectueux silence. Enfin Madeleine, s'adressant à son mari, lui dit avec mépris : - Va, tu n'as pas de sang dans les veines... tu te laisseras enlever jusqu'à ta dernière pratique, imbécile d'homme que tu es ! Landry échangea un coup de coude et un coup d'oeil avec Martin Kraft, se tint coi, et fit manoeuvrer son aiguille avec un redoublement de dextérité." Le jeune marquis de Létorière a vite compris que, pour réussir, il faut plaire à tout le monde et que, pour plaire à tout le monde, il faut en être le miroir... Un vrai caméléon...
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Eugène Sue (1804-1957) "L'hiver de 1732 avait été très froid et les gelées fréquentes. Vers la fin du mois de janvier de cette année, une assez grande foule s'était amassée au bas du Pont-Neuf, à l'angle de la rue Dauphine et du quai des Augustins, à Paris. Rien n'était et n'est encore malheureusement plus commun que le triste spectacle qui rassemblait ces oisifs. Le pavé, rendu très glissant par le givre et le verglas, ne donnant aucune tenue aux chevaux, un de ces animaux, attelé à une grosse charrette pleine de bois, ne pouvait parvenir à faire avancer d'un pas cette pesante voiture. Le charretier, homme grand et vigoureux, vêtu d'une blouse bleue, à l'air dur et grossier, accablait ce cheval de coups de fouet, le frappant tantôt sur la tête, tantôt sur le corps, avec une impitoyable brutalité." Roman court. Histoire romancée d'un cheval nommé Sham et de son fidèle soigneur Agba...
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The Mysteries of Paris - Volume 1 (UNABRIDGED)
Eugene Sue
- Slingshot Books LLC
- 11 Septembre 2021
- 9781669321569
Rodolphe is the Grand Duke of Gerolstein, a fictional kingdom of Germany, but disguises himself as a Parisian worker. He can speak in the secret language of criminals, is extremely strong and a good fighter. However, he shows great compassion for the lower classes, good judgment, and has a brilliant mind. In the story, he moves through different layers of society, and understands their problems and how they are all linked. (Modified from Wikipedia)
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Eugène Sue (1804-1857) "Vers la fin de février 1810, par une belle matinée d'hiver, une voiture de voyage entra dans la cour d'un joli hôtel situé rue Chantereine. Un vieillard âgé d'environ soixante ans parut sur le perron. Cet homme, grand et maigre, encore vigoureux, était vêtu d'un habit noir à la française, portait des faces poudrées, une queue et une espèce de petite bourse, autrefois appelée crapaud. Ce personnage, valet de chambre ou plutôt homme de confiance du colonel Raoul de Blansac, marquis de Surville, s'appelait M. Dauphin. La famille de Surville ayant presque entièrement péri pendant la révolution, ce fidèle serviteur s'était retiré, lors de la terreur, au fond de la Touraine, avec le marquis encore tout enfant, et l'y avait élevé jusqu'à l'âge de quinze ans. À cette époque, le jeune marquis fut recueilli par une parente de sa famille, madame la maréchale princesse de Montlaur, et resta près d'elle jusqu'au moment où il entra comme volontaire dans un régiment de cavalerie." Le colonel de Surville doit partir à Viennes en mission pour l'Empereur. Il est inquiet pour la jeune duchesse de Bracciano, mal mariée à un procureur anobli par l'Empereur, qui est tombée amoureuse d'un autre homme dont les intentions semblent douteuses...