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Serge Latouche
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Bon pour la casse ; les déraisons de l'obsolescence programmée
Serge Latouche
- Éditions Les Liens qui libèrent
- Les Liens Qui Libèrent
- 3 Octobre 2012
- 9791020900272
L'obsolescence programmée, c'est un processus stupéfiant qui, pour développer notre addiction à la consommation et donc nous rendre captif du système économique, fut conçu puis mis en application au milieu du xixe siècle aux États-Unis. Des trois formes d'obsolescence programmée, le recours aux techniques pour rendre un produit suranné, à la publicité pour nous convaincre d'acquérir de nouveaux biens dont nous n'avons nul besoin, le plus symptomatique et le plus pervers est le fait d'introduire dans les produits une pièce défectueuse pour en limiter la durée de vie. Ampoules (pourtant conçues par un ingénieur au xixe siècle pour avoir une vie illimitée) automobiles, appareils ménagers, ordinateurs... la plupart des biens que nous consommons sont sciemment affectés d'une durée limitée afin que nous soyons contraints de les renouveler ! C'est ce processus infernal que raconte Serge Latouche dans une société aujourd'hui en pleine "crise de croissance" et de gaspillage, dépassée par les déchets et les dégâts environnementaux qu'elle engendre. Serge Latouche est professeur émérite d'économie.
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Tout notre système économique repose sur l'idée de croissance. Pour investir, se développer, lutter contre le chômage, rembourser la dette, améliorer nos conditions de vie, il faudrait encore de la croissance, toujours de la croissance... Mais comment « croître » indéfiniment dans un monde fini ? Quand toutes les ressources naturelles arrivent à épuisement ? Et si l'idée de croissance n'était qu'une croyance parmi d'autres ? Serge Latouche déconstruit méthodiquement une idéologie qui n'est qu'une hypothèque sur l'avenir. Il rappelle qu'à l'inverse le projet de la décroissance n'est pas un retour à l'âge de pierre ! En remettant en cause le productivisme et la philosophie de l'Homo oeconomicus, il entend poser les conditions d'un changement profond de notre système de valeur. La décroissance ? Un art de vivre bien, sobrement, en accord avec le monde, un art de vivre avec art.
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Travailler moins, travailler autrement ou ne pas travailler de tout
Serge Latouche
- Éditions Rivages
- Philosophie Rivages
- 25 Août 2021
- 9782743654238
Le slogan présidentiel "Travailler plus pour gagner plus" est obscène. Pas tant par ce qu'il va à l'encontre des tables de la loi, mais d'abord parce que les horaires actuels de travail sont déjà excessifs. Ils dévorent la vie, étouffent la citoyenneté, engendrent le stress et la souffrance. Travailler plus est d'autant plus absurde et obscène, qu'à défaut de changement d'orientation, cela ne peut qu'accélérer le moment de la catastrophe écologique. C'est pourquoi il nous faut un nouveau mot d'ordre : "travailler moins pour vivre mieux !"
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L'abondance frugale comme art de vivre ; bonheur, gastronomie et décroissance
Serge Latouche
- Éditions Rivages
- Sciences humaines Rivages
- 21 Octobre 2020
- 9782743651374
L'abondance frugale comme art de vivre. La frugalité fait l'économie de toute consommation non nécessaire. La réhabilitation de la joie de vivre à la base du projet de la décroissance passe largement par celle des saveurs. L'art de bien manger fait partie de cet art de vivre préconisé par la décroissance.
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Faut-il refuser le développement ?
Serge Latouche
- Presses universitaires de France (réédition numérique FeniXX)
- Economie en liberté
- 9 Novembre 2018
- 9782130662693
L'ouvrage dénonce les mythes de l'industrialisation et du développement pour s'attaquer aux véritables raisons : la destruction des sources de créativité et le surréalisme suicidaire. « Copyright Electre »
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Comment réenchanter le monde ; la décroissance et le sacré
Serge Latouche
- Éditions Rivages
- Sciences humaines Rivages
- 27 Mars 2019
- 9782743646455
La décroissance entend nous libérer de l'aliénation de l'idolâtrie de la croissance et du marché. Désacraliser la croissance consiste à dévoiler la manière dont a été bricolée sa sacralisation : l'hypostase de l'argent, la théologisation de l'économie, et la création des idoles du progrès, de la science et de la technique. Le projet d'une société alternative soutenable et conviviale, porté par la décroissance, vise à sortir du cauchemar du productivisme et du consumérisme, mais aussi à réenchanter le monde. Il contient donc une dimension éthique et même spirituelle essentielle. Cela en fait-il pour autant une nouvelle religion ? Inédit
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Jean Baudrillard (1929-2007) appartient à la génération de la French Theory, à cheval entre post-marxisme et postmodernité. À la différence de ses contemporains philosophes et sociologues, il eut une trajectoire non conformiste. Il a traversé de manière flamboyante la sociologie, la linguistique, la sémiologie, la psychanalyse, l'anthropologie, et la philosophie, avec une agilité conceptuelle qui en déconcerta plus d'un. Dont Serge Latouche, qui le fréquenta jusqu'en 1976, avant que leurs routes ne se séparent. Il y a un mystère Baudrillard, du moins une fascination pour sa pensée et son écriture qui ne se laissent enfermer dans aucun système.
Oublier Baudrillard ? Cela pourrait être une tentation pour se conformer à son injonction, mais ce serait céder à tous les bien-pensants et esprits académiques qui ne pouvaient accepter sa liberté de critiquer.
Se rappeler Baudrillard aujourd'hui, c'est exhorter à l'extrême lucidité, celle à laquelle l'auteur des Cool Memories s'est exercé toute sa vie durant. Une lucidité qui lui fit annoncer et analyser, dès les années 1970, le monde dans lequel nous vivons : terrorisme, hyperconsumérisme, artificialisation générale et triomphe du virtuel, simulacres, jeux médiatiques, immondialisation...
Serge Latouche, professeur émérite d'économie à l'Université d'Orsay, objecteur de croissance, est l'auteur d'une trentaine d'ouvrages, Le Pari de la décroissance (Fayard), Pour une société d'abondance frugale et Petit traité de décroissance sereine (Mille et une nuits).
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L'âge des limites
Serge Latouche
- Fayard/Mille et une nuits
- Les Petits Libres
- 7 Novembre 2012
- 9782755505184
Au début des années 1930, lorsque Paul Valéry écrit l'une de ses plus fameuses phrases, « Le temps du monde fini commence », il constate que le temps de l'aventure, des découvertes des nouveaux continents et de leur conquête est terminé. Aujourd'hui, son expression « monde fini » nous renvoie à l'épuisement du monde, tout d'abord de son sol et de ses richesses minières et pétrolifères, à la pollution des eaux, de l'océan, de l'air... L'exploitation totale de notre biosphère ne peut plus être que l'annonce de la fin du monde. Si nous voulons éviter la catastrophe, il convient de rompre avec le projet de développement illimité que porte l'Occident et d'entrer dans une nouvelle ère : l'Âge des limites. Nous devons impérativement abandonner le programme formulé au XVIIe siècle par le philosophe anglais Francis Bacon : « Reculer les bornes de l'empire humain en vue de réaliser toutes les choses possibles. » C'était une illusion, dangereuse et destructrice. Serge Latouche montre comment le processus qui conduit à toujours repousser les limites se manifeste dans tous les domaines (non seulement économique et écologique, mais aussi politique et moral).
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En donnant à sa riposte aux attentats du 11 septembre le nom de code Enduring Justice (« Justice sans limites »), le gouvernement américain a mis le doigt, à son insu, sur l'un des problèmes fondamentaux de ce nouveau siècle : que signifie faire justice dans une économie mondialisée ?
Aujourd'hui, l'échange social tend à être totalement absorbé par le trafic marchand. Le système économique, avec le renfort de la violence symbolique, a réussi à établir une fantastique domination imaginaire. Normalement, il n'aurait pas dû tenir face aux injustices criantes du monde, dont nombre de rapports statistiques annuels nous donnent la mesure. Et pourtant, contrairement aux prévisions de Marx, de Lénine, de Mao Tsé-tung, la révolution mondiale n'a pas eu lieu.
La déconstruction du discours économique permet de mettre en évidence son amoralité, voire son immoralité. Tout souci de justice a été éliminé dans le fonctionnement de la société mondiale de marché. Le travail de décolonisation des esprits passe donc d'abord par la remise en cause d'une lecture exclusivement économique du monde. Après quoi il devient possible d'esquisser les traits de ce que pourrait être une société plus juste. C'est une gageure, mais c'est ce qu'exige la situation.
Serge Latouche, professeur émérite à l'université Paris-Sud (Orsay), est spécialiste des rapports culturels Nord/Sud et de l'épistémologie des sciences sociales. Il a notamment publié L'Autre Afrique (Albin Michel, 1998), et La Déraison de la raison économique (Albin Michel, 2001). -
L'Invention de l'économie
Serge Latouche
- Albin Michel
- Bibliothèque Albin Michel Michel Economi
- 1 Novembre 2012
- 9782226234698
La prégnance de l'économie sur la vie des hommes n'est pas plus à démontrer que leur morosité et leur souffrance. Comment s'est construit notre « imaginaire économique », notre vision économique du monde ? Pourquoi voyons-nous aujourd'hui le monde à travers les prisme de l'utilité, du travail, de la compétition, de la concurrence et de la croissance sans fins ? Nous avons inventé la valeur-travail, la valeur-argent, la valeur-compétition, et construit un monde où rien n'a plus de valeur mais où out possède un prix ? Au fil d'une passionnante mise en perspective historico-économique, Serge Latouche revient aux origines de cette économie que les premiers économistes appelaient la « science sinistre ». Servi par une brillante érudition économique et philosophique, cet ouvrage montre la manière dont s'est façonné notre obsession utilitariste et quantitative, et nous permet ainsi de porter un regard neuf sur notre monde.
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Renverser nos manières de penser
Serge Latouche
- Fayard/Mille et une nuits
- Les Petits Libres
- 5 Novembre 2014
- 9782755506686
« Jetant un regard rétrospectif sur mon parcours intellectuel, autour d'un objet envahissant et problématique, l'économie, il m'apparaît que mes efforts ont visé à produire ce que les Grecs appelaient une metanoïa, c'est-à-dire un renversement de la pensée. Aujourd'hui, il nous faut renverser nos manières de penser. Parce que le monde n'est plus vivable ainsi, que nous le savons mais restons pris dans les schémas capitalistes et productivistes, il nous faut réinventer notre imaginaire pour trouver une nouvelle perspective existentielle. Qui passera par l'après-développement, la décroissance et l'éco-socialisme. »S. L.
Serge Latouche, professeur émérite d'économie à l'Université d'Orsay, objecteur de croissance, est notamment l'auteur du Petit traité de la décroissance sereine (Mille et une nuits). -
Survivre au développement : De la décolonisation de l'imaginaire économique à la construction d'une société alternative
Serge Latouche
- Fayard/Mille et une nuits
- Les Petits Libres
- 13 Octobre 2004
- 9782755501612
Social, humain, local, durable.... Le développement a récemment revêtu des « habits neufs » qui satisfont les critères des organisations internationales telles que la Banque mondiale et le Fonds monétaire international. Mais la logique économique est restée la même, et le modèle de développement conforme à l'orthodoxie néolibérale.
Or le développementisme repose sur des croyances eschatologiques en une prospérité matérielle possible pour tous - que l'on sait dommageable et insoutenable pour la planète. Il faut donc remettre en cause les notions de croissance, de pauvreté, de besoins fondamentaux, et déconstruire notre imaginaire économique, ce qui affecte l'occidentalisation et la mondialisation. Certes, il ne s'agit pas de proposer un impossible retour en arrière, mais de penser les formes d'une alternative au développement : notamment la décroissance conviviale et le localisme.
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La déraison de la raison économique ; du délire d'efficacité au principe de précaution
Serge Latouche
- Albin Michel
- Bibliotheque Albin Michel Economie
- 1 Avril 2017
- 9782226339829
La recherche de l'efficacité est parfois assassine. Trop d'obsession productiviste, rationnelle, rentable, organisatrice, conduit aux pires dérèglements, excès et délires. La vache folle dans l'assiette, le sang contaminé, transfusé pour des raisons d'efficacité, la vie étouffée dans les embouteillages monstres pour une quête effrénée de vitesse, le pétrole anéantissant une région sont autant de manifestations d'une raison économique devenue folle. Comment retrouver le raisonnable, la prudence, la sagesse, sans tomber dans des peurs irrationnelles et millénaristes ?
Serge Latouche, un des économistes les plus lus aujourd'hui, part à la recherche de la prudence, qui a toujours accompagné la raison en Grèce, en Afrique, en Inde et en Chine. Son érudition économique et philosophique, ses expériences africaines et européennes nous conduisent à renouer, au-delà de ce "principe de précaution" inventé par les Grecs, avec la véritable démocratie.
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La Planète des naufragés
Serge Latouche
- La Découverte (réédition numérique FeniXX)
- Cahiers libres
- 24 Août 2015
- 9782348017957
Les naufragés du développement sont partout, dans les banlieues des métropoles, dans les bidonvilles du tiers monde, dans les réserves où survivent les espèces humaines mal protégées en voie de disparition. Le monde des gagnants fabrique de plus en plus d'exclus. Poursuivant l'analyse engagée dans L'occidentalisation du monde, Serge Latouche approfondit dans cet ouvrage la réflexion sur les causes de cette évolution. Partant d'une critique mordante du monde des gagnants, il propose un autre regard sur son envers, la planète des vaincus de la modernité. Explorant les îles de l'archipel de l'informel, il montre comment les victimes du développement réagissent pour assurer leur survie, comment se crée une authentique culture de la pauvreté, préfiguration possible d'une autre société. La dimension techno-économique se trouve totalement réenchassée dans un tissu de réseaux de solidarité et de réciprocité, reconstruit sur de nouveaux imaginaires bricolés avec plus ou moins de bonheur. Cette tentative de recréation du lien social est source d'espoir, mais peut-elle résister aux menaces qui pèsent sur elle ?
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Sortir de la société de consommation
Serge Latouche
- Éditions Les Liens qui libèrent
- Les Liens Qui Libèrent
- 24 Septembre 2014
- 9791020901347
Serge Latouche, professeur émérite d'économie, est le penseur le plus connu de la décroissance. Il est l'auteur de nombreux livres dont "Le Pari de la décroissance", "Petit Manuel pour une décroissance sereine"... Dans ce livre, il explore les conditions de la construction d'une civilisation de sobriété choisie. Bref une alternative vitale à une société de consommation - et à son attribut principiel, le productivisme - vouée à l'impasse.
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Penser un autre monde : pédagogie et décroissance
Serge Latouche, Simone Lanza
- Éditions Rivages
- Philosophie (Rivages Poche Petite Biblio
- 15 Février 2023
- 9782743658816
"Ce texte reprend et réélabore de nombreuses remarques sur la décroissance: il s'efforce de les présenter de façon synthétique sous une forme unifiée et cohérente centrée sur la tension entre le défi
d'une pédagogie visant à l'émancipation de la religion économique et les institutions faites pour promouvoir le culte de la croissance tout particulièrement dans la formation scolaire." Serge Latouche -
Où va le monde ? 2012-2022 : une décennie au-devant des catastrophes
Yves Cochet, Jean-pierre Dupuy, Susan George, Serge Latouche
- Fayard/Mille et une nuits
- Les Petits Libres
- 15 Février 2012
- 9782755504941
Tous les discours des personnalités économiques ou politiques qui s'expriment dans les médias ont un point commun : la reprise est en vue, la croissance va revenir, on va s'en tirer. Certes, il y aura des sacrifices à faire, des réformes à effectuer, mais, grosso modo, le cours ordinaire des choses reprendra à terme. C'est là l'illusion qui expose au danger.
Pourtant, nul n'arrive à se projeter dans le grand bouleversement de demain et à anticiper les mutations. Si rien ne change, nous savons - même si beaucoup refoulent cette perspective - que nous allons à la catastrophe.
Pour Yves Cochet, il faut se préparer au choc et le penser comme tel. Pour Jean-Pierre Dupuy, on doit changer de mode de pensée (« faire comme si le pire était inévitable ») ; pour Susan George, il est urgent de subordonner tout à fait l'économique au politique, au social et à l'écologique. Quant à Serge Latouche, il nous invite à penser le déclin inéluctable de l'ordre néolibéral occidental et espère qu'il sera remplacé par une société d'abondance frugale.Yves Cochet, député écologiste de Paris, ancien ministre de l'Environnement, est l'auteur de Pétrole apocalypse (Fayard).
Jean-Pierre Dupuy, philosophe, est l'auteur de Pour un catastrophisme éclairé (Le Seuil).
Susan George, présidente d'honneur d'Attac, est l'auteur de Leurs crises, nos solutions (Albin Michel). Serge Latouche, professeur émérite d'économie, objecteur de croissance, est l'auteur notamment du Pari de la décroissance (Fayard). -
Nouveaux Cahiers du socialisme. No. 14, Automne 2015
Pierre Beaudet, Yves-Marie Abraham, Andrea Levy, Louis Marion, Gilbert Rist, Michel Lepesant, Serge Latouche, Vincent Li
- Collectif d'analyse politique
- Nouveaux Cahiers du socialisme
- 20 Novembre 2015
- 9782924554029
L'appel explicite à une « décroissance soutenable » a été lancé au début des années 2000. Le « développement durable » ou aujourd'hui la « croissance verte » ne permettront, dans le meilleur des cas, que de « polluer moins pour polluer plus longtemps ». Une croissance économique infinie dans un monde fini n'est pas possible ni souhaitable car elle est synonyme d'injustices entre humains. La question est de savoir si cette décroissance sera subie, conséquence brutale du dépassement des limites biophysiques de la planète, ou si elle sera choisie et assumée collectivement, dans le but d'éviter aux humains les effets désastreux d'un tel dépassement.
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Critique de la raison économique ; introduction à la théorie des sites symboliques
Serge Latouche, Fuad Nohra, Hassan Zaoual
- Editions L'Harmattan
- Épistémologie et philosophie des science
- 1 Janvier 1970
- 9782296397385
La science économique présuppose qu'en tout lieu et en tout temps l'individu répond au même modèle de comportement rationnel, celui de l'Homo oeconomicus. C'est face à cette croyance scientifique que s'élève l'entreprise critique des auteurs ici réunis, qui proposent une démarche " économique " indisciplinée et signent la fin des mythes rationnels en économie. En tenant compte des multiples dimensions de l'action humaine, les contributions de cette oeuvre collective lancent les bases de l'approche plus ouverte sur les espaces vécus des acteurs de la société.