Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
« Vous ne vous bornez pas d'ailleurs à jeter dans votre ouvrage un cri d'alarme renouvelé des précédents. Vous avez établi un catalogue effrayant dans son exactitude, du martyr sans espoir de milliers de créatures, une fois tombées dans les mains des proxénètes ; vous avez procédé en contrepartie à l'inventaire méthodique des mesures de tous ordres prises dans les différents pays contre ces derniers. Vous avez également tenu à examiner les remèdes envisagés par lesdits gouvernements en vue d'éliminer l'esclavage et les pratiques analogues, tout cela afin de pouvoir vous-même dresser en connaissance de cause le tableau d'ensemble des remèdes que vous jugez indispensables pour avoir raison, soit de la prostitution elle-même, soit plus spécialement de la traite des femmes et des enfants en vue de la prostitution. Je souhaite que ceux qui auront lu votre ouvrage, en emportent une conviction plus solide et de la nécessité de faire quelque chose pour sauver des dizaines de milliers d'êtres humains et, en même temps, de la possibilité d'en sauver une grande proportion. »
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La Cantate à trois voix, poème à la fois dramatique et lyrique, d'une musicalité somptueuse, est chronologiquement centrale dans la carrière de Claudel. Le présent essai en analyse les thèmes, très caractéristiques de l'auteur. Et en cherchant dans les ouvrages antérieurs et postérieurs (y compris les écrits religieux, peu étudiés) les prémices et les prolongements de ces thèmes, Albert Loranquin parvient aussi à une véritable synthèse de l'ensemble de l'oeuvre claudélienne, univers complexe et un, selon la conception d'un écrivain pour qui, sauf le mal, tout doit composer.
La France est fille de la Rome antique ; héritière de son art de construire et de se gouverner ; de son art de penser, d'ordonner les choses et d'aménager la justice. Cette France qui s'est laissée façonner par la civilisation latine, et en a reçu son sens de l'universel, comme la clarté de sa langue, est devenue, à ce titre, la matrice et la protectrice de nombreuses autres nations et de leurs cultures. Mais la France est aussi fille de l'Église catholique romaine. Elle a été éduquée, nourrie par l'Évangile, par les papes et les évêques, par les saints fondateurs de ses cités, de ses écoles, de ses « Hôtels Dieu », de ses monastères, de ses missions. Enlevez les fruits du catholicisme dans notre Histoire, que reste-t-il ? Faire connaître et aimer ce double héritage, naturel et surnaturel, tel est le but recherché par l'auteur du présent ouvrage, consacré au renouveau de la culture historique, car « dire culture, c'est exprimer, en un seul mot, l'identité nationale qui constitue l'âme d'un peuple, et qui survit malgré des conditions adverses » (Jean Paul II, au Corps diplomatique, le 12 janvier 1981).
Le deuxième centenaire de la Révolution française ramène la pensée vers les événements qui ont marqué cette période de notre histoire. Parmi eux, aucun n'est plus émouvant que la tragique destinée des seize Carmélites de Compiègne. Pendant deux ans, elles s'étaient offertes, chaque jour, comme victimes volontaires, pour obtenir la restauration de la paix en France et dans l'Église. Leur voeu fut exaucé. C'est pour leur fidélité qu'elles ont été condamnées à mort. Le sobre récit de l'abbé Le Sayec nous retrace cette page inoubliable.
En notre temps de désordres et d'inquiétudes, il est reposant et réconfortant de se pencher sur la vie et la personnalité d'Ernest Psichari qui a incarné, à l'aube de notre malheureux siècle, la vertu la plus haute et la plus solide, fondement des valeurs les plus sûres : l'amour de Dieu et de la patrie. La recherche de l'ordre a été son fil conducteur. Issu d'un milieu irréligieux et antimilitariste, il s'est engagé dans l'armée, où l'ordre repose sur la force, qui est une vertu morale. Il a pris part à la colonisation qui était, dans sa pensée, oeuvre de France et de chrétienté. Dans la solitude des déserts d'Afrique, il a entendu l'appel de la Grâce qui l'a conduit à la conversion catholique, où il a trouvé l'effusion intérieure de la foi et de la prière, mais encore la règle et la discipline que l'Église impose à ses fidèles, parce qu'elle n'est pas seulement une croyance, mais aussi une institution. Droiture, devoir, patriotisme, honneur, piété et, pour finir, sacrifice, Psichari a été tout cela. Sa mort prématurée lui conserve une éternelle jeunesse, et sa vie s'offre en exemple à tous les jeunes d'aujourd'hui.
Ce livre rassemble les articles d'une chronique des spectacles faite depuis 33 ans dans Doctrine et Vie1, et constitue par là une vue d'ensemble sur le théâtre contemporain. Cette chronique ne parle qu'occasionnellement de la qualité littéraire, poétique ou dramatique des pièces, de leur caractère scénique, de la mise en scène, du jeu des acteurs. Elle est une « critique », au sens étymologique du mot, c'est-à-dire qu'elle porte un jugement sur ce que l'on peut tirer des pièces de théâtre aux points de vue philosophique, psychologique, moral et social et, surtout, au point de vue chrétien, qui est le point de vue fondamental de l'auteur et du périodique pour lequel cette chronique était rédigée : regarder le théâtre contemporain, à la lumière de la foi chrétienne et de sa conception de la destinée humaine, dans une attention éveillée à toute ouverture par où peut s'insérer la grâce du Christ. Ajoutons que l'auteur, qui après tant d'hésitations a choisi Normale sciences plutôt que Normale lettres, est dans la joie d'avoir trouvé là l'occasion de faire de la crititique théâtrale.
La Terre, en tournant sur elle-même, déroule le fil de notre vie : quand tout le fil est déroulé... Vue ainsi, notre existence est une fatale absurdité, à laquelle nous nous cramponnons par peur de la sortie... Or, l'échange d'amour entre Dieu et les hommes, transfigure cette aventure, l'explique, la justifie et l'accompagne dans la paix du coeur. À partir de là, l'auteur s'attache à nous ouvrir, toutes grandes, les portes de l'Espérance, qui débouchent sur l'Éternité.
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Une aventure, née de l'imagination et du besoin de communiquer à d'autres, l'idée que l'auteur se fait de la vie, de l'amour. Dissocier l'âme et le corps, l'esprit et la matière. Une vivisection imaginaire, agrémentée de musique dans la phrase, de poésie dans le choix des mots, de mythologie et d'arts, dans les évocations et les symboles. Se trouver, se reconnaître dans cet univers, complexe, qui va de la fleur aux étoiles. Savoir mêler le doute et l'évidence, c'est créer un suspense agréablement intolérable.
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À travers tout son apostolat, il s'est rendu compte d'un redressement à opérer, pour que l'action sacerdotale reste vraiment sur le plan de l'Église. Il n'eut toujours qu'un seul souci dans toutes les fonctions ou l'obéissance le placèrent : être prêtre, n'être que prêtre. Il sut se dégager de l'illusion teilhardienne, ce qu'il considérait comme l'une des plus grandes grâces de sa vie.
L'abbé Robert Prévost (1895-1980), prêtre du Nord, ouvert à tous les problèmes, ayant exercé son ministère sacerdotal tant dans l'Action catholique, que dans les paroisses, en mission et sur le plan oecuménique, lança le laïcat missionnaire et la J.E.C. À travers tout son apostolat, il s'est rendu compte d'un redressement à opérer, pour que l'action sacerdotale reste vraiment sur le plan de l'Église. Il n'eut toujours qu'un seul souci dans toutes les fonctions où l'obéissance le placèrent : être prêtre, n'être que prêtre. Il sut se dégager de l'illusion teilhardienne, ce qu'il considérait comme l'une des plus grandes grâces de sa vie.
L'abbé Robert Prévost (1895-1980), prêtre du Nord, ouvert à tous les problèmes, ayant exercé son ministère sacerdotal tant dans l'action catholique, que dans les paroisses, en mission et sur le plan oecuménique, lança le laïcat missionnaire et la J.E.C. À travers tout son apostolat, il s'est rendu compte d'un redressement à opérer pour que l'action sacerdotale reste vraiment sur le plan de l'Église. Il n'eut toujours qu'un seul souci dans toutes les fonctions ou l'obéissance le placèrent : être prêtre, n'être que prêtre. Il sut se dégager de l'illusion teilhardienne, ce qu'il considérait comme l'une des plus grandes grâces de sa vie.
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Quand on a dépouillé Lamennais de ses attributs consacrés, qu'on cesse de voir en lui le primitif des landes bretonnes, le druide malouin, le trop chrétien, le pauvre hère, ou le solitaire de La Chênaie, qu'on renonce à l'image du Royaliste ultra de la Restauration, changeant opportunément son fusil d'épaule, au lendemain de la Révolution de juillet, autrement dit, quand on a bousculé quelques-uns des pots-de-fleurs, dont les dévots des grands hommes encombrent leurs Panthéons, que reste-t-il donc de celui-ci ? Ma foi, il reste le Lamennais essentiel, au destin singulier, l'ancêtre totémique des libéraux catholiques, du M.R.P., des Socialistes chrétiens, des prêtres en difficulté, le Père invisible de Vatican II... Et, déjà, ce n'est pas si mal. Tanguy Kenec'Hdu
Joseph Lotte, ami et confident de Péguy, détenait ses archives. Quoniam, neveu de Lotte y puisa pour consacrer à Péguy, en 1929, un ouvrage très vite épuisé.
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