Trois femmes vivaient dans un village. La première était méchante, la deuxième était menteuse, la troisième était égoïste. Elles possédaient pourtant un point commun, un secret en quelque sorte : toutes les trois rêvaient de fuir...
Tout n'est qu'illusion, surtout quand un jeu de miroirs multiplie les indices et brouille les pistes. Pourtant les meurtres qui troublent la quiétude de Giverny, village cher à Claude Monet, sont bien réels. Au coeur de l'intrigue, trois femmes : une fillette de onze ans douée pour la peinture, une institutrice redoutablement séduisante et une vieille femme aux yeux de hibou qui voit et sait tout. Et puis, bien sûr, une passion dévastatrice. Le tout sur fond de rumeur de toiles perdues ou volées, dont les fameux
Nymphéas noirs.
Perdues ou volées, telles les illusions quand passé et présent se confondent et que jeunesse et mort défient le temps.
Un suspense brillant, à la résolution insoupçonnable, dans lequel chaque personnage est une énigme.
2017, prix Segalen des lycées français de la zone Asie Pacifique
2011, prix des lecteurs du festival Polar de Cognac
2011, prix du polar méditerranéen (festival de Villeneuve-lez-Avignon)
2011, prix Michel Lebrun de la 25e heure du Mans
2011, Grand prix Gustave Flaubert de la Société des écrivains normands
2011, prix des lecteurs du festival Sang d'Encre de la ville de Vienne (" gouttes de Sang d'encre ")
2011, Finaliste du prix mystère de la critique (3e), du prix du polar francophone de Montigny-lès-Cormeilles (2ème), du prix marseillais du polar, du prix Polar de Cognac, du prix du roman populaire d'Elven, du prix Plume-Libre, du prix plume de Cristal du festival policier de Liège.
Dans les années 1960, le port de Collioure connaît une série de meurtres inexpliqués. Un suspense drôle et décalé en terre catalane qui dissipe une partie de ses mystères par une procession et une croix symbolique...
Un soir de service dans l'usine où elle travaille, Luce Colomine découvre le cadavre de son patron, près d'une lanterne éteinte... Trois corps d'hommes morts sont ensuite retrouvés, et près d'eux un objet - un harpon, une lance, une échelle, une bourse de cuir ... Arrivent la semaine sainte et la procession de la Sanch. Et Luce voit sur la Creu dels Improperis, la Croix des outrages, les instruments de la Passion, alignés sous ses yeux, soit une lanterne, une lance, une échelle, une bourse... C'est sûr, il y a un lien entre les quatre morts ! Mais qui pour croire Luce, bavarde impénitente, cancanière et qui, malgré les réserves de la police ne recule devant rien pour mener son enquête, et encore moins les menaces ?
Il aura suffi d'une photo pour que tout commence... Un lac aux eaux noires qui gardait jusqu'alors cachée une caisse portant l'emblème nazi. Un vieux filou solitaire poignardé le lendemain de l'étrange découverte. Un village tranquille de Provence qui voit resurgir les fantômes du passé. Débute alors à Saint-Ambrose un véritable jeu de piste où fusionnent secrets de l'Histoire et récit d'une passion tragique.
Une enquête passionnante, dans le monde des soyeux à Lyon, qui éclaire sur les tout premiers pas de la police scientifique. Le Sang des bistanclaques raconte aussi le parcours d'une folie individuelle, le portrait d'un enfant de la Croix-Rousse devenu tueur en série.
Lyon, mai 1920. Une enquête est ouverte à la suite de la découverte du cadavre putréfié d'une vieille femme. Pour ne pas ternir la réputation de sa ville, rivale de Paris et ses Brigades du Tigre, le procureur confie l'affaire au tout nouveau laboratoire de la police scientifique de Lyon, le premier au monde, dirigé par deux experts : l'éminent professeur Hugo Salacan, et le commissaire Victor Kolvair, rescapé des tranchées. L'autopsie du corps révèle d'étranges sévices... Cette enquête criminelle dévoile deux visions de la police et de la science, dans une France en pleine mutation...
A l'aube du XXe siècle, près de Falaise en Normandie, un fait divers qui suscita l'émotion et un énorme scandale. Avec leur manoir et leur généalogie flatteuse, les Ménard de Couvrigny présentent l'image d'une famille respectable. Nul ne peut imaginer les scènes de débauche qui ont lieu derrière les murs de la grosse bâtisse, et dans lesquelles madame la baronne elle-même, toute honte bue, entraîne à sa suite enfants et domestiques. Un seul obstacle à ces dépravations : le père, homme d'une autre époque, aimé de tout le village mais haï par les siens.
Après Le Sang des bistanclaques et De mal à personne, la suite des aventures des experts lyonnais ou l'alliance parfaite du scientifique intègre (Salacan) et du policier humaniste (Kolvair), qui par le biais de cette nouvelle affaire retrouve les démons de la Grande Guerre.
Lyon, novembre 1921. Quand Anthelme Frachant, incarcéré en 17 après s'être mutiné, sort de prison, seul le commissaire Kolvair s'en inquiète. Celui qui a été son compagnon de tranchée est un assassin. Criminel récidiviste ou poilu en guerre contre lui-même : qui est-il ? Une certitude : Anthelme tuera de nouveau. La conviction du policier Kolvair devient une intime obsession. Il doit affronter ses pires cauchemars. Cette troisième affaire des premiers experts est une enquête in extremis. Un compte à rebours qui a commencé trop tard.
Une épave, des lingots d'or, un mystérieux calepin. Saint-Sauveur, l'émissaire de l'organisation secrète l'?uvre, part en Bretagne pour une mission des plus ardues...
Ce magot de la Marie-Océane existe-il vraiment ? Un calepin secret détiendrait la clé du mystère. Saint-Sauveur parvient à le récupérer et à le déchiffrer. Mais bientôt, son enquête se corse : trois personnes, liées au trésor, trouvent la mort dans des circonstances mystérieuses. De plus, il doit déjouer les complots de la police, de quelques autonomistes bretons, et d'un redoutable ennemi qui en veut aussi au pactole ! Au terme d'un sanglant règlement de comptes sur le phare de Tévennec, Saint-Sauveur, viendra à bout de sa mission périlleuse...
" Lorsqu'elle était rentrée dans l'église, beaucoup s'étaient tournés vers elle, interrogatifs. Elle avait choisi un endroit discret, un peu en retrait pour les observer. On meurt aux Saint-Jean-du-Verdon plus vite et plus jeune qu'ailleurs. Les Saintjeantais avaient-ils le teint vert ? Leurs visages étaient-ils émaciés ? Toussaient-ils plus que de raison ? Bien difficile à dire. "Au coeur de la Provence, au village des Saint-Jean-du-Verdon, on dénombre des cas de morts suspectes de tyroïde. Eva, "coureur de nuit"*, y est envoyée d'urgence par Foch, le patron. Rapidement, elle se heurte à l'hostilité des villageois, à l'exception de Marie Doman, présidente d'une association de malades. Mais celle-ci meurt " accidentellement ". Désormais, seuls les Robique, frère et soeur, vont pouvoir aider Eva à la fois dans son enquête mais également la renseigner sur sa propre histoire car ses parents ont mystérieusement disparu à Saint-Jean-du-Verdon. Elle découvre ainsi que le village a été clandestinement transformé en laboratoire à "ciel ouvert" pour mesurer les effets sur les humains des radiations de déchets nucléaires enfouis quarante ans plus tôt. Les résultats, documents hautement stratégiques, sont conservés dans le plus grand secret. Eva a pour mission de les récupérer. C'est sans compter l'homme de l'ombre, le Fennec... * L'oeuvre et ses "coureurs de nuit " est une organisation occulte, fruit de l'imagination de Pascal Martin. On les retrouve dans tous ses romans.
Pour venger son ancien compagnon d'armes sur le bûcher, celui que l'on appelle " l'Ecrivain public " sort de l'ombre... Une enquête au coeur du Paris foisonnant de la Renaissance.Paris, juin 1535. La procession solennelle de la Fête-Dieu s'arrête devant un étrange reposoir : un bûcher d'hérétique. Dans la foule, un homme reconnaît le condamné. Comme lui, il appartenait à la Bande Noire, des mercenaires d'élite qui, vingt ans plus tôt, offrirent au roi François la victoire de Marignan.
Pourquoi son ancien compagnon d'armes subit-il cette mort atroce ? La promesse de le venger fait basculer la vie de l'homme qui avait fui dans la sérénité d'une échoppe discrète un sombre passé. On l'appelle " l'Ecrivain public ", car nul ne sait son nom.
Une aventure-enquête au coeur du Paris foisonnant de la Renaissance.
Dans les Landes, un " camp de vacances " à la discipline quasi militaire est le théâtre d'un complot machiavélique... Noël 2008. On retrouve à Paris le corps d'une femme transformée en bombe ambulante. Curiosité macabre : elle a été gavée comme une oie... de virus et de prions. Peu de temps après, Foch, le mystérieux chef de l'?uvre, envoie un de ses coureurs de nuits, le Bonsaï, à Ecovie, étrange camp de vacances tenu par un exilé russe. Le site, immense, est cerné par une barrière de fils barbelés et entouré de miradors. De riches hommes d'affaires s'y retrouvent et se plient à un règlement sectaire qui prône un retour sans concession à la nature. Alors qu'au sein du camp de mystérieuses disparitions ont donné naissance à la rumeur de l'existence de l'" ogre des Landes ", le Bonsaï ne tarde pas à recevoir un curieux message : " L'ogre est parmi nous. Vous êtes sa prochaine victime "... Avec L'Ogre des Landes, Pascal Martin nous offre un polar décapant en même temps qu'une réflexion philosophique mordante sur notre société.
Des monts des Flandres jusqu'à Bruges, la quête de Saint-Sauveur pour retrouver des tableaux de grands peintres flamands convoités par un redoutable gang...
Des monts des Flandres jusqu'à Bruges, la quête périlleuse de Saint-Sauveur pour retrouver des tableaux de grands peintres flamands... A Bailleul, Saint-Sauveur, le fameux émissaire de Foch et de l'organisation secrète l'?uvre, filé en douce par l'inspecteur Mignoni, doit retrouver un certain Wildenstein. Ce dernier est l'héritier d'une extraordinaire collection de tableaux de primitifs flamands dérobés à son père par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. Un gang sans foi ni loi spécialisé dans le vol et le trafic de toiles de maître cherche à les doubler à tout prix. S'ensuivent courses-poursuites, jeux de dupes, faux-semblants, meurtres en série... Qui, de Saint-Sauveur, de Mignoni ou du gang, récupérera ces toiles inestimables ? Le sixième volume des " coureurs de nuits " plonge le lecteur dans l'univers trouble, audacieux, mystérieux de Pascal Martin. Un grand polar.