Dans un premier temps, cet ouvrage propose une analyse détaillée de l'ensemble des racines profondes de la crise actuelle, faisant un état des lieux de tous les problèmes rencontrés dans notre écosystème et dans notre socio système, qui sont en étroites relations d'interdépendance. Dans un second temps, il procède à l'actualisation indispensable de la définition du développement durable et formalise un nouveau paradigme à vocation universelle afin de permettre une détermination rationnelle des actions souhaitables à effectuer.
Existe-t-il d'autres voies de sortie de crise que les sacrifices pour le peuple et la croissance exponentielle des dividendes et des profits pour une minorité ? Des mesures, faisant prévaloir des transformations profondes de la société apparaissent dans tous les domaines et, principalement, dans la maîtrise des banques privées et des marchés financiers afin de disposer de tous les moyens nécessaires pour combattre efficacement le capitalisme.
Les ONG du commerce équitable et éthique, militant pour le développement des labels et des codes de conduites, cherchent, à court terme, à renforcer la régulation des normes sociales, sa légitimité et sa privatisation. Mais c'est au risque d'un excès de privatisation puisque l'inspection du travail, qui relève d'une régulation publique, se voit progressivement remplacée par une régulation privée par des organismes d'audit. Peut-on, dans ces conditions, parvenir à améliorer le respect des normes fondamentales?
Sous quelles formes le projet de développement de l'Afrique doit-il se matérialiser et combien de temps faudra-t-il aux Africains pour changer leur continent ? Ils devront se préparer aux enjeux de la démographie, et à des réformes institutionnelles et économiques. Les propositions relatives à l'établissement de nouvelles perspectives financières, à la rigueur budgétaire, au sens de la responsabilité, à l'amélioration de la gouvernance et au retour à la dignité, visent à définir un cadre approprié à la reconstruction africaine.
Il n'est plus possible aujourd'hui de tergiverser. Nous avons vécu à crédit pendant 33 ans, il faut cesser d'alourdir la charge pour nos descendants. Et comme l'opinion refuse la disparition de la protection sociale et le rétrécissement du rôle de l'Etat, il faut bien en venir à des mesures douloureuses. Point n'est besoin de révolution, les solutions existent. Elle sont politiquement jouables, sous réserve que la rigueur s'accompagne de justice.
La nature de la monnaie donne lieu à des divergences chez les économistes, qui viennent en règle générale de ce que les hypothèses sur lesquelles ils s'appuient diffèrent selon qu'ils appartiennent à tel ou tel courant de pensée. Cet ouvrage est un concentré de savoir en économie monétaire et financière depuis l'âge classique à nos jours. Il s'adresse aux étudiants, chercheurs et enseignants en sciences économiques intéressés par les théories monétaires et financières, les déséquilibres macroéconomiques et les récents développements de la macro-économie post-keynésienne.
Dans ce livre est proposé un système économique d''une nouvelle ampleur qui s''intitule le "coordonnisme". Il s''agit d''un régime réunissant les qualités du capitalisme et du communisme. Il présente comme mesures la coordination des politiques monétaires, budgétaires et financières afin de réguler les consommations intérieures et extérieures, l''épargne, l''investissement, l''inflation et le chômage vers un taux optimal de croissance économique.
Quelles formes doivent prendre les projets économiques et industriels pour induire une croissance régulière et durable ? Le livre analyse l'hétérogénéité des outils du développement tout en identifiant les raisons pour lesquelles la situation de certaines économies se détériore malgré l'application de modèles avérés, afin de formuler des recommandations d'optimisation des projets de développement. Comment optimiser les moyens existants ? Une première option repose-t-elle sur une rationalisation des méthodes d'action ? Une seconde viserait-elle à mieux coordonner l'action des différents acteurs ? Une meilleure articulation des différentes interventions représente une priorité.
Comment le capital humain constitue-t-il, d'une part, une motivation individuelle dans le cadre de la thorie de l'cole classique, mais aussi un facteur de croissance conomique du point de vue de l'approche keynsienne ? L'itinraire de la problmatique amne justifier les causes de l'imperfection des marchs et le rle de l'Etat pour corriger ces imperfections et les effets d'hystrsis.
"Les outils de l'économie ne sont efficaces que s'ils se situent dans le cadre de l'institution de l'imaginaire global de la société." Ainsi se trouve explicité le rapport entre les règles sociales et les règles explicatives de l'économie et de la finance.
Se basant sur la crise économique mondiale de 2007, qui a débuté aux Etats-Unis, l'auteur nous explique qu'elle ne constitue qu'un début. La crise actuelle est étudiée en comparaison avec celle de 1929, jugée de moindre ampleur. Le programme d'un candidat de la "vraie" gauche pour les élections de 2012 est présenté en conclusion.
Cet ouvrage, construit à partir d'entretiens de praticiens visionnaires de l'innovation en France, offre une première expérimentation de "l'open social innovation". Ces témoignages soulignent l'importance de la mise en relation du monde de la recherche avec celui de la décision publique et privée. Les auteurs dessinent ainsi le nouveau modèle français d'innovation qui repose sur le travail collaboratif entre le chercheur, l'industriel, le banquier et le politique.
Les crises financières et l'implosion de multiples bulles spéculatives doivent susciter la remise en question d'un modèle capitaliste centré autour d'un marché financier considéré comme arbitre suprême. Il est fondamental d'opérer un changement de paradigme, car nos sociétés ne peuvent plus tolérer une telle monopolisation des ressources et des richesses économiques par une finance ayant confisqué à des Etats consentants la quasi-totalité de leurs pouvoirs.
Les taux d'intérêt ont récemment acquis une place centrale au sein des marchés capitaux. Cet ouvrage vise à mieux cerner le "prix de l'argent" à travers trois axes : l'évolution de la place des taux d'intérêt dans l'économie, les impacts des fluctuations sur le comportement des ménages, des entreprises et de l'Etat ; et enfin le marché monétaire et la courbe des taux pour décrypter les dernières évolutions de la politique monétaire. Un ouvrage didactique, illustré par de nombreux exemples.
Ce livre présente une analyse des documents de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP) en Afrique et met en garde les autorités contre les conséquences graves qui découleraient de sa mise en oeuvre en l'état. Il développe une démarche et un dispositif pour élaborer et mettre en place une stratégie nationale de développement durable (SNDD), seul véritable vecteur de la lutte contre la pauvreté en Afrique.
L'entrée des TIC sur les lieux de travail ne devrait-elle pas modifier l'organisation et le management ? Les TIC ne signent-elles pas la fin d'un modèle d'entreprise et d'un modèle économique ? Quelle place pour l'accompagnement ? Quelles formations et quel rôle pour l'encadrement, notamment intermédiaire ?
Quelles sont les valeurs affectives et sociales de l'argent ? Pourquoi accumule-t-on au-delà du raisonnable ? Pourquoi certains donnent et d'autres volent ? Pourquoi est-il si désagréable de payer ses impôts et comment l'Etat pourrait faire diminuer ce désagrément sans baisser leur niveau ? Qui possède le pouvoir de créer la monnaie et comment mieux l'utiliser pour réduire la pauvreté ? Pourquoi une économie centrée sur le bonheur est-elle un espoir dans la réduction de la pauvreté ?
Ce livre présente l'état des débats entre économistes, les conséquences des politiques économiques ou de leur absence, les faiblesses de la gouvernance d'un monde de plus en plus intégré. Il montre comment des pays ont réussi leur développement, comment d'autres sont piégés par l'exportation de matières premières ou par l'importation de produits technologiques. Même perfectible, l'OMC peut être un modèle pour la coopération internationale et la gouvernance globale.
Ce livre aborde 4 thèmes - les 3 rouages / le financement / la régulation de l'activité économique et les principaux déséquilibres économiques - illustrés de schémas et de dessins. Chacun est suivi d'une réflexion qui suscite le débat. En permettant une meilleure compréhension des mécanismes économiques fondamentaux, cet ouvrage facilite l'analyse des relations entre les agents économiques et offre une grille de lecture simple mais jamais simpliste des phénomènes économiques.
" Austériens de tous les pays : unissez-vous ! " Telle est la rengaine servie par les obsessionnels de la rigueur fiscale et budgétaire. Mais le citoyen européen n'a pourtant pas demandé cette dette colossale dont il n'est pas responsable. Ce ne sont pas
Le modèle économique et financier en cours vacille. Un autre modèle satisfaisant à la fois les exigences du mouvement écologique et du mouvement social est-il possible ? L'économie est une science humaine, une construction sociale : une alternative établie de façon démocratique est donc possible, mais seule l'alliance du mouvement social et du mouvement écologique peut y aboutir. Le livre dresse les fondements de cet autre modèle de société.
Cet ouvrage traite des mutations organisationnelles qui ont caractérisé l'industrie manufacturière dans les pays développés et propose une réflexion combinant théorie et histoire. Celle-ci plaide pour la primauté des principes de division cognitive du travail dans l'organisation industrielle postfordiste et traduit le fait que la principale source de valeur s'est déplacée des processus productifs où le travail d''exécution était au coeur de la création de valeur. Cette nouvelle tendance organisationnelle a des conséquences sur l''activité et l''emploi en France et certains pays de l''OCDE.
Alors que la "science économique" n'a rien prévu, on est surpris de comprendre le pourquoi et le comment des crises et des échecs du libéralisme et du "stalinisme" en lisant Marx. Cet essai tente de préciser les fondements méthodologiques de l'analyse de Marx, puis de montrer que ses idées sur l'histoire jettent un jour nouveau sur celle des ex-pays communistes, enfin de confirmer l'adéquation de ses théories avec les réalités économiques et les crises. A partir de là, il présente une analyse de la mondialisation-globalisation du marché.
L'innovation suppose une dynamique complexe d'interactions entre une multitude d'acteurs appartenant à différents départements d'une même firme, à diverses entreprises et/ou à plusieurs autres organismes (centres de recherche publics ou privés, établissements d'enseignement supérieur...). Mais cette conception systémique de l'innovation n'a pas encore trouvé son entière traduction dans la refonte des pratiques managériales et des politiques publiques.