En bonne Anglaise qui se respecte, Elizabeth II n'est pas dénuée d'humour. Derrière la froideur du protocole se cache une femme pleine d'esprit, comme en témoignent ces authentiques anecdotes, citations et observations ici rassemblées, que n'auraient pas reniées ses compatriotes les Monty Python ! Parmi ses coups d'éclat, on retiendra le jour où, ayant proposé au prince héritier d'Arabie Saoudite (pays où les femmes n'avaient pas le droit de conduire) une visite guidée de son domaine écossais, elle s'installa elle-même au volant de son Land Rover et roula à tombeau ouvert tandis que son passager la suppliait de ralentir...D'hier à aujourd'hui, des cérémonies officielles aux farces jouées à ses petits-fils, Stephen Clarke, l'auteur de God save la France, vous révèle tout sur cet être mi divin mi gaffeur, dont les Sex Pistols disaient : « she ain't no human being » !
Edouard VII a toujours nourri une passion pour la France. Amant des plus célèbres actrices, courtisanes et danseuses parisiennes, il parlait un français plus parfait encore que son anglais, et fut le premier invité sur la tour Eiffel, malgré l'interdiction officielle de la couronne anglaise. Ses atouts de séduction à la française sont à l'origine de la prouesse diplomatique qui scella l'Entente cordiale.Un roi typiquement anglais ? Pas du tout ! Avec un humour inimitable, Stephen Clarke, auteur du best-seller God save la France, montre qu'avant de devenir roi, c'est en France que « Dirty Bertie » a tout appris de la vie ! « Une réjouissante comédie historique. » Daily Mail
Tout le monde sait qui a perdu la bataille de Waterloo. Même les Français doivent bien admettre que, le 18 juin 1815 au soir, sa Grande Armée en lambeaux, Napoléon Ier a capitulé. Il avait misé sur une grande confrontation avec ses ennemis et il a tout perdu. Personne ne peut le contester sérieusement. Enfin, presque...
Avec un humour très british, Stephen Clarke, subtil observateur des particularités hexagonales, auteur du best-seller God save la France, interroge ces frondeurs d'hier et d'aujourd'hui qui refusent toujours d'admettre l'évidence. Analysant Waterloo du point de vue des grognards, des romanciers, des historiens et même des hommes politiques contemporains, il montre que, pour les Français, comme le dit Dominique de Villepin, la défaite française « brille d'une aura victorieuse ». Comment expliquer que deux siècles après, Waterloo fasse encore débat ? Déni ? Excès de patriotisme ? Anomalie spécifiquement française ?
Publié à l'occasion du 200e anniversaire de la bataille de Waterloo, ce livre aussi brillant que spirituel tente d'y répondre.