Filtrer
Éditeurs
Langues
Formats
Candide & Cyrano
-
Une édition de référence d'Arsène Lupin, gentleman-cambrioleur de Maurice Leblanc, spécialement conçue pour la lecture sur les supports numériques.
« Arsène Lupin parmi nous ! l'insaisissable cambrioleur dont on racontait les prouesses dans tous les journaux depuis des mois ! l'énigmatique personnage avec qui le vieux Ganimard, notre meilleur policier, avait engagé ce duel à mort dont les péripéties se déroulaient de façon si pittoresque ! Arsène Lupin, le fantaisiste gentleman qui n'opère que dans les châteaux et les salons, et qui, une nuit, où il avait pénétré chez le baron Schormann, en était parti les mains vides et avait laissé sa carte, ornée de cette formule : « Arsène Lupin, gentleman-cambrioleur, reviendra quand les meubles seront authentiques. » Arsène Lupin, l'homme aux mille déguisements : tour à tour chauffeur, ténor, bookmaker, fils de famille, adolescent, vieillard, commis-voyageur marseillais, médecin russe, torero espagnol ! » (Extrait du chapitre 1) -
Une édition de référence des Confidences d'Arsène Lupin de Maurice Leblanc, spécialement conçue pour la lecture sur les supports numériques.
« Muni de son paquet, le monsieur au monocle rejoignit cette jeune personne dont cette écharpe de soie rouge écarlate indique suffisamment les allures excentriques. L'ayant rejointe, et pour des motifs encore inconnus, il la frappa d'abord à coups de couteau, puis l'étrangla à l'aide de cette écharpe de soie. » (Extrait du chapitre 5) -
Une édition de référence d'Arsène Lupin contre Herlock Sholmès de Maurice Leblanc, spécialement conçue pour la lecture sur les supports numériques.
« - Sholmès ? Oh ! j'avoue que celui-ci est de taille. Mais c'est justement ce qui me passionne et ce pour quoi vous me voyez de si joyeuse humeur. D'abord, question d'amour-propre : on juge que ce n'est pas de trop du célèbre Anglais pour avoir raison de moi. Ensuite, pensez au plaisir que doit éprouver un lutteur de ma sorte à l'idée d'un duel avec Herlock Sholmès. Enfin ! je vais être obligé de m'employer à fond ! car, je le connais, le bonhomme, il ne reculera pas d'une semelle. - Il est fort. - Très fort. Comme policier, je ne crois pas qu'il ait jamais existé ou qu'il existe jamais son pareil. Seulement j'ai un avantage sur lui, c'est qu'il attaque et que, moi, je me défends. Mon rôle est plus facile. En outre... Il sourit imperceptiblement et, achevant sa phrase : - En outre je connais sa façon de se battre et il ne connaît pas la mienne. Et je lui réserve quelques bottes secrètes qui le feront réfléchir... Il tapotait la table à petits coups de doigt, et lâchait de menues phrases d'un air ravi. - Arsène Lupin contre Herlock Sholmès... » (Extrait du chapitre 2, 1re partie) -
Une édition de référence de L'Aiguille creuse de Maurice Leblanc, spécialement conçue pour la lecture sur les supports numériques.
« L'Aiguille creuse ! association déconcertante de deux mots, incompréhensible question que posait ce morceau de papier dont la provenance même était inconnue ! Était-ce une expression insignifiante, le rébus d'un écolier qui barbouille d'encre un coin de feuille ? Ou bien était-ce deux mots magiques par lesquels toute la grande aventure de l'aventurier Lupin prendrait son véritable sens ? On ne savait rien. » (Extrait du chapitre 4) -
Une édition de référence de La comtesse de Cagliostro de Maurice Leblanc, spécialement conçue pour la lecture sur les supports numériques.
« - Mais ris donc, petite fille, s'écria-t-il. Tout cela est très drôle. Ris donc. Arsène Lupin ou Raoul d'Andrésy, qu'importe ! L'essentiel, c'est de réussir. Et je réussirai. Là-dessus, vois-tu, aucun doute. Pas une somnambule qui ne m'ait prédit un grand avenir et une réputation universelle. Raoul d'Andrésy sera général, ou ministre, ou ambassadeur... à moins que ce ne soit Arsène Lupin. C'est une chose réglée devant le destin, convenue, signée de part et d'autre. Je suis prêt. Muscles d'acier et cerveau numéro un ! Tiens, veux-tu que je marche sur les mains ? ou que je te porte à bout de bras ? Aimes-tu mieux que je prenne ta montre sans que tu t'en aperçoives ? ou bien que je te récite par coeur Homère en grec et Milton en anglais ? Mon Dieu, que la vie est belle ! Raoul d'Andrésy... Arsène Lupin... les deux faces de la statue ! Quelle est celle qu'illuminera la gloire, soleil des vivants ? » (Extrait du chapitre 1) -
Une édition de référence de 813 de Maurice Leblanc, spécialement conçue pour la lecture sur les supports numériques.
« Il y avait aussi un colis que venait d'apporter le service des colis postaux parisiens. Comme le papier qui l'entourait était en partie déchiré, M. Lenormand put voir une cassette d'ébène sur laquelle était gravé le nom de Rudolf Kesselbach.
Il ouvrit. Outre les débris d'une glace dont on voyait encore l'emplacement à l'intérieur du couvercle, la cassette contenait la carte d'Arsène Lupin.
Mais un détail sembla frapper le chef de la Sûreté. À l'extérieur, sous la boîte, il y avait une petite étiquette bordée de bleu, pareille à l'étiquette ramassée dans la chambre du quatrième étage où l'on avait trouvé l'étui à cigarettes, et cette étiquette portait également le chiffre 813. » (Extrait du chapitre 5, 1re partie) -
Une édition de référence de Les Huit Coups de l'horloge de Maurice Leblanc, spécialement conçue pour la lecture sur les supports numériques.
« Huit jours après leur départ, on retrouvait chacune d'elles en un endroit quelconque de la banlieue ouest de Paris, et chaque fois, ce fut un cadavre qu'on retrouva, le cadavre d'une femme frappée à la tête d'un coup de hache. Et chaque fois, près de cette femme attachée solidement, la figure inondée de sang, le corps amaigri par le manque de nourriture, des traces de roues prouvaient que le cadavre avait été apporté là par une voiture.
L'analogie des cinq crimes était telle qu'il n'y eut qu'une seule instruction, laquelle engloba les cinq enquêtes, et d'ailleurs n'aboutit à aucun résultat. Disparition d'une femme, découverte de son cadavre huit jours après, exactement. Voilà tout. » (Extrait du chapitre 6) -
Une édition de référence de La Femme aux deux sourires de Maurice Leblanc, spécialement conçue pour la lecture sur les supports numériques.
« De toutes les énigmes qui compliquaient l'aventure où il se trouvait engagé, celle-là était la plus captivante et la plus inaccessible. Antonine ?... Clara ?... laquelle de ces deux figures constituait la véritable personnalité de l'être charmant qu'il avait rencontré ? Elle avait à la fois le sourire le plus franc et le plus mystérieux, le regard le plus candide et les yeux les plus voluptueux, l'aspect le plus ingénu et l'air le plus inquiétant. Elle émouvait par sa mélancolie et par sa gaieté. Ses larmes comme son rire provenaient d'une même source fraîche et claire par moments, à d'autres obscures et troubles. » (Extrait du chapitre VI) -
Une édition de référence de Le Bouchon de cristal de Maurice Leblanc, spécialement conçue pour la lecture sur les supports numériques.
« - Somme toute, me dit Lupin, après m'avoir raconté les diverses phases de l'histoire, somme toute, aucune entreprise ne m'a donné plus de mal, ne m'a coûté plus d'efforts, que cette sacrée aventure, que nous appellerons, si vous voulez bien : « Le bouchon de cristal, ou comme quoi il ne faut jamais perdre courage. » En douze heures, de six heures du matin à six heures du soir, j'ai réparé six mois de malchances, d'erreurs, de tâtonnements et de défaites. Ces douze heures-là, je les compte certes parmi les plus belles et les plus glorieuses de ma vie. » (Extrait du chapitre XIII) -
Une édition de référence de La Demoiselle aux yeux verts de Maurice Leblanc, spécialement conçue pour la lecture sur les supports numériques.
« Ah ! demoiselle aux yeux verts, se dit Raoul, pendant que les trois mules du break, dont il entendait tinter les grelots, commençaient l'escalade des premières pentes, jolie demoiselle, vous êtes ma captive désormais. Complice d'assassin, d'escroc et de maître chanteur, meurtrière vous-même, jeune fille du monde, artiste d'opérette, pensionnaire de couvent..., qui que vous soyez, vous ne me glisserez plus entre les doigts. La confiance est une prison d'où l'on ne peut s'évader, et, si fort que vous m'en vouliez d'avoir pris vos lèvres, vous avez confiance au fond du coeur en celui qui ne se lasse pas de vous sauver, et qui se trouve toujours là quand vous êtes au bord de l'abîme. On s'attache à son terre-neuve, même s'il vous a mordu une fois. » (Extrait du chapitre 6)