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Marcel Priollet
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Le fils du banquier Crysal est retrouvé au petit matin, dans les Bois, au volant de sa voiture de sport, une balle dans la nuque.
Qui a bien pu tuer ce jeune homme ?
Un simple voleur ?
Un mari jaloux ?
Un obscur personnage sorti du passé de son père ?
Un maître chanteur ?
L'inspecteur François PESSART va devoir mettre toute sa sagacité au service de la justice pour identifier l'assassin ! -
Lors d'une soirée entre amis pour fêter la distinction de l'inspecteur François PESSART, un invité lui demande de narrer à l'assistance l'enquête la plus intéressante que celui-ci ait menée de sa carrière.
Avec une certaine réticence, une grande nostalgie et beaucoup d'émotions, François PESSART finit par conter une aventure qui lui est arrivée alors qu'il était encore un novice.
À l'époque, pour mettre du beurre dans ses épinards, il accepta la proposition d'un riche Sud-Américain : voyager pendant un mois à travers le monde à bord de son luxueux yacht « L'Arabella » en se faisant passer pour son secrétaire afin de toujours garder un oeil sur sa jeune et belle épouse neurasthénique aux tendances suicidaires... -
On a volé les millions de la Loterie Nationale
Marcel Priollet
- OXYMORON Éditions
- 20 Septembre 2020
- 9791070033067
Le capitaine Delperaux, grand blessé de guerre, est devenu fondé de pouvoir de l'Association des Blessés Internationaux de Guerre.
C'est à ce titre qu'il se rend, le lendemain du tirage, à dix heures du matin, au siège de la Loterie Nationale pour toucher les gains remportés pour le collectif.
Il en sort rapidement avec sa sacoche contenant trois millions sous le bras.
En début d'après-midi, Mme Delperaux s'inquiète du retard de son mari qui n'a jamais loupé le repas.
Le temps passe et l'angoisse ne cessant de croître elle appelle le président de l'oeuvre caritative.
Celui-ci, également sans nouvelle et tout aussi anxieux, décide de prévenir la police.
L'inspecteur François PESSART, chargé de l'enquête, va alors devoir déterminer si le héros de guerre, connu pour sa probité, est une pauvre victime ou un odieux criminel... -
L'inspecteur principal François PESSART de la police judiciaire profite de jours de congé pour se rendre dans sa bicoque aux environs de Gif dans la vallée de Chevreuse. Il compte s'y délasser, canne à la main, au bord de l'Yvette dans un coin poissonneux proche.
Au lever du jour, alors qu'il roule à vélo sur une sente étroite, déjà tout à sa partie de pêche, il doit s'écarter pour laisser passer une voiture.
Quelques mètres plus loin, la roue de sa bécane heurte un objet dur et François PESSART se retrouve au sol.
En se relevant, le policier ne tarde pas à constater que l'écueil n'est autre que le corps sans vie d'un homme... -
Bernard Grandier a tout pour être heureux. Une place enviée au ministère des Finances, une belle et jeune épouse qu'il aime profondément.
Rien ne pourrait troubler ce bonheur... excepté une lettre anonyme lui annonçant que sa femme le trompe durant ses absences.
D'abord incrédule, il est très vite rongé par le doute et la jalousie et décide, finalement, de vérifier ces ragots.
Quel n'est pas son effroi, en débarquant dans le jardin, d'entendre sa dulcinée clamer son adoration à un autre, derrière le rideau de la fenêtre de la chambre.
Pris d'une fureur incontrôlée, il sort son browning et tire à travers le voile. Un cri féminin, le bruit d'un corps qui s'écroule. Bernard Grandier s'enfuit devant l'horreur de son geste.
Mais, la raison le pousse rapidement à se rendre au commissariat et à avouer son crime...
Seulement, quand les policiers investissent la villa « Mon Rêve » où le drame a eu lieu, ils ne découvrent rien ni personne.
Désireux alors de retrouver sa femme, Bernard Grandier fait appel au détective Sébastien RENARD... et de son équipier, un superbe berger allemand... -
Claude PRINCE, le célèbre détective radiesthésiste, est appelé sur la Côte d'Azur par M. Mérainval qui s'apprête à marier sa jeune fille avec le riche comte de Livone.
Problème, celui-ci porte le nom d'un individu qui jadis, par deux fois, fut relaxé après avoir été accusé de l'empoisonnement de ses épouses dans le but de s'approprier leurs biens.
M. Mérainval veut s'assurer qu'il peut confier, sans risque, la chair de sa chair à cet homme certes plus âgé, mais qui a encore fière allure et s'avère au demeurant fort sympathique.
Claude PRINCE est invité, incognito, à passer quelques jours dans la luxueuse villa des Mérainval jouxtant la propriété du comte de Livone afin de faire la connaissance de ce dernier.
Or, lors de son investigation, Claude PRINCE va être témoin d'événements pour le moins étranges sans qu'aucun ne soit du fait du suspect...
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Un étrange crime a eu lieu à l'Hôtel Bergère.
Un soir, un représentant de commerce loue une chambre, reçoit pendant une heure une jeune femme aux yeux vairons et, le lendemain, un homme y est retrouvé pendu.
Problème, le mort n'est pas le négociant !
L'inspecteur François Pessart, chargé de l'enquête, va tenter de débrouiller ce macabre tour de passe-passe... -
Le célèbre détective radiesthésiste Claude PRINCE reçoit la visite de Mme Rodier, une jeune femme inquiète de la disparition, depuis cinq jours, de son mari.
Claude PRINCE, à l'aide de son pendule, ne tarde pas à déterminer que M. Rodier se trouve, sans vie, dans un petit hôtel délabré.
Quand le commissaire de quartier, prévenu par le détective, débarque avec ses agents sur les lieux, il découvre, étendu sur le parquet, le corps de M. Rodier entouré de bougies vertes, un stylet planté en pleine poitrine.
Un message est fixé sur l'arme : « La trahison est un crime qui se paie de trois bougies vertes ! »
Avant de partir et laisser la justice faire son oeuvre, Claude PRINCE prévient le policier : « cet homme n'a pas été assassiné ! » -
Le détective Sébastien RENARD reçoit la visite d'une demoiselle attendant de lui qu'il enquête sur le mystérieux meurtre de son père.
Celui-ci, alors qu'il s'apprêtait à lui faire une révélation sur le frère né d'une précédente union qu'elle ne connaît pas et qui a été répudié pour une faute horrible, s'écroule soudainement.
Le vieil homme étant malade de longue date, la jeune fille imagine qu'il a succombé à une crise cardiaque. Mais le médecin appelé sur place découvre que la mort est due à un projectile reçu en plein coeur, probablement tiré avec une sarbacane.
Elle demande donc à Sébastien RENARD de retrouver son demi-frère et l'assassin, au cas où le premier ne serait pas le second... -
M. Dardenne, le sous-chef de la Sûreté, reçoit la visite du Général, Comte de Mailleray.
Celui-ci trouve que ces dernières années, les membres de sa famille demeurant dans son château ont une fâcheuse tendance à décéder un peu trop facilement de mort naturelle.
M. Dardenne décide d'envoyer, dans la funeste demeure, en infiltration, en tant que majordome, son meilleur homme, l'inspecteur Guillaume Lambert surnommé par ses collègues « Fox » en raison de son flair... -
Ovide Lechat, un écrivain que le succès a fui, rentre dans son appartement après avoir passé plusieurs jours à Londres pour négocier ses romans avec des éditeurs anglais.
Il découvre avec stupeur le corps d'un homme nu et sans vie dans sa baignoire !
Affolé, il descend en courant prévenir le concierge afin qu'il appelle la police.
Quand l'artiste remonte dans ses aîtres avec le commissaire de quartier, il constate, encore plus décontenancé, que le cadavre a disparu.
Pensant à une mauvaise blague d'un auteur à l'imagination fertile, le policer quitte le bâtiment rageant. Dans la cour, il croise l'inspecteur François PESSART et lui raconte la mésaventure qui vient de lui arriver.
Mais, au lieu de rire de la plaisanterie, François PESSART, porte son intérêt sur les agissements étranges d'un chien... -
La célèbre star hollywoodienne Lilian Dawis est interviewée dans le studio d'enregistrement de « Radio-France » quand les auditeurs entendent un cri épouvantable.
L'actrice s'écroule subitement. Elle est transportée dans un salon attenant, le temps d'aller chercher un médecin.
Celui-ci, après son examen, ne comprend pas l'état d'hébétement quasi catatonique de la jeune femme et ne peut l'expliquer que par un intense choc nerveux.
Au bout de plusieurs jours, Lilian Dawis n'ayant toujours pas retrouvé sa lucidité, son fiancé décide de consulter le détective Sébastien RENARD afin de savoir ce qui s'est réellement passé lors de l'entretien radiophonique... -
Alfred Sermoise, capitaine de navire, est au chômage. La compagnie qui l'embauchait a fait faillite. Depuis, impossible de trouver un engagement. Les dettes s'accumulent. Bientôt, il lui sera difficile de subvenir aux besoins de sa femme et de ses deux enfants.
Aussi a-t-il passé une annonce pour un emploi dans différents magazines maritimes.
Pour seule réponse, M. Sermoise reçoit une lettre l'invitant à se présenter dans un bar louche de la capitale en vue d'une offre intéressante.
Bien qu'il pressente qu'on va lui proposer de transporter des produits illicites, il se rend sur place et accepte, en échange d'une belle avance, de prendre le commandement du « Cadix », un cargo espagnol.
Quelques jours plus tard, les corps étêtés du capitaine et de marins du « Cadix » échouent sur les plages d'une petite île.
Au bout d'un an, alors que le fils Sermoise, désormais devenu journaliste, se promène dans les rues de Paris, il croise un homme qui ressemble, trait pour trait, à son défunt père. La stupeur le fige, l'empêchant d'interpeller l'individu qui se perd dans la foule.
Pour en avoir le coeur net, il décide de louer les services du détective Sébastien RENARD... -
L'inspecteur principal François PESSART charge, un matin, dès son arrivée au Quai des Orfèvres, son collègue Bob Rex du dossier sur le meurtre de Madame Van Mulen, retrouvée poignardée dans la chambre de son hôtel particulier.
PESSART, qui s'est occupé des premières constatations sur place, n'a découvert, comme seul indice, qu'une lettre cachetée, sous forme de confession avortée, adressée au Vicomte Anthony d'Ambleuse...
Bob Rex ne peut s'empêcher de frissonner à l'évocation de ce nom, car il s'agit d'une des identités sous laquelle il se cache lors de ses enquêtes.
Il se souvient l'avoir utilisée, récemment, dans un bar où il était en planque, quand il y rencontra une femme, que le gérant de l'établissement surnommait « La Colombe Noire » et avec qui il passa une douce nuit avant de s'enfuir en catimini au petit matin... -
Le célèbre détective radiesthésiste Claude PRINCE a loué une villa dans le midi pour y passer des vacances en famille.
Un soir, alors qu'il fume tranquillement un cigare sur la terrasse, deux coups de feu retentissent.
Quelques minutes plus tard, M. de Montieux, un ancien militaire occupant la propriété voisine débarque en courant ; il lui demande assistance afin d'accéder à la chambre close de son frère d'où sont parties les détonations... -
Marcel Savignon, journaliste sportif, rentre chez lui, à pied, une nuit, en revenant de voir un match de tennis.
Soudain, il entend des appels à l'aide et, n'écoutant que son courage, se précipite dans la direction d'où viennent les cris...
Il sera retrouvé aux abords du Bois de Boulogne par des gendarmes, au petit matin, chloroformé au fond d'une automobile à l'intérieur couvert de sang.
C'est l'inspecteur François PESSART qui sera chargé de résoudre le meurtre du propriétaire de la voiture dont le corps est introuvable et de comprendre le rôle du reporter dans cette histoire... -
Monsieur Chevillon est plongé dans la terreur. Chaque début de mois, il reçoit une lettre anonyme égrenant le décompte du temps qu'il lui reste à vivre.
Le délai étant prochainement imparti, il fait appel à une Agence de Surveillance afin d'assurer la garde autour de sa villa isolée.
Malgré cette précaution, Monsieur Chevillon est assassiné durant la nuit.
Très vite, le juge d'instruction soupçonne le fils illégitime de la victime.
Mais, l'inspecteur François PESSART est persuadé de l'innocence du jeune homme.
Dans tous les cas, le policier va devoir résoudre un crime bizarre ! -
Un nouveau genre d'agression sévit dans le métro parisien !
Des gens de bonnes fortunes se plaignent d'une piqûre effectuée dans la cohue d'un compartiment.
Quelques minutes ou heures après, elles ont des comportements étranges : une vieille dame bien sous tous rapports se promène nue dans la rue ; un vénérable monsieur à la moralité sans faille fugue pour faire la noce ; un commerçant honnête s'enfuit avec la caisse ; une dévote investit dans les maisons de plaisir...
L'inspecteur Pessart, chargé de l'enquête, n'ayant pas réussi après plusieurs semaines d'investigations à trouver le « piqueur » ni les « piqués » du métro, demande de l'aide à son ami Claude PRINCE, le célèbre détective radiesthésiste...
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Monsieur de Saint-Évremont, riche industriel, a acheté l'hôtel meublé du défunt compositeur Rémi Ducoudray pour faire plaisir à sa fille malade et passionnée par l'oeuvre du célèbre pianiste.
La pièce maîtresse de la collection autour du grand maestro est le piano sur lequel il créait ses partitions de musique.
Le soir de la pendaison de crémaillère, alors que les invités sont tous dans la salle de réception, des notes se font entendre dans le salon, provenant sans nul doute du fameux instrument dont le couvercle du clavier est pourtant verrouillé.
Tout le monde se précipite dans la rotonde... elle est vide !
Parmi les convives, Claude PRINCE, le radiesthésiste détective renommé, témoin de la scène, propose son aide afin de résoudre cette énigme et demande à Edwige de débloquer l'abattant à l'aide de sa clé.
Personne n'a joué sur celui-ci depuis fort longtemps, la preuve en est, la poussière recouvre les touches !... -
Claude PRINCE, le réputé détective radiesthésiste, sur les conseils de son médecin dans le but de soigner son garçon, décide de séjourner à la campagne. Bienveillant, le praticien lui fournit l'adresse du marquis de Prensey, l'un de ses proches patients désireux de louer son pavillon de chasse.
Il le prévient, tout de même, que le notable n'est pas de nature affable, est affaibli par une santé fragile depuis sa jeunesse, endosse en plus très difficilement, un long deuil à la suite du décès tragique de sa jeune épouse dans le passé, poignardée une nuit dans sa chambre par un inconnu qui n'a jamais été retrouvé.
Le détective se rend alors sur les lieux afin de visiter la location et y découvre un homme bien plus souriant que prévu puisqu'il s'apprête à se marier à nouveau.
Invité à dîner et à dormir au château de son hôte, Claude PRINCE est réveillé par des cris d'agonie...
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Fraisette, une chanteuse de cabaret à succès, est assassinée à son domicile pendant la nuit.
Si les apparences laissent penser à une mort par strangulation, l'autopsie démontre que le décès est consécutif à un coup de poignard dans le coeur.
L'inspecteur Pessart chargé de l'enquête ne tarde pas à obtenir le témoignage d'un valet d'une demeure voisine du lieu du crime. Il dit avoir passé la soirée aux alentours de celle-ci dans l'attente de la femme de chambre de la victime avec qui il a une liaison.
Durant sa station, l'homme a aperçu trois personnes quitter la maison tragique, des suspects auxquels s'ajoute le fils de la défunte, actuellement au service militaire dans l'aviation... En voilà beaucoup pour le policier.
Ah... ! Si seulement son ami Claude PRINCE, le radiesthésiste détective, pouvait lui apporter son aide.
Mais, justement, où est donc Claude PRINCE ???
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Claude PRINCE, le célèbre radiesthésiste détective, est contacté par Madame d'Orsen afin de l'aider à résoudre un grave problème.
Son mari, Christian d'Orsen, a disparu en 1914, au tout début de la Première Guerre mondiale.
Six mois après la fin du conflit, toujours sans nouvelle, s'estimant veuve, elle s'apprête à épouser son cousin, amoureux de longue date. Mais la Croix-Rouge rapatrie un grand blessé, mutilé, trépané, amnésique, censé être Christian d'Orsen.
Pendant des années, elle s'occupe de l'invalide dans lequel elle ne reconnaît guère l'homme dont elle était tant éprise avant de découvrir, dans un cimetière belge, l'existence d'une tombe gravée du nom et du régiment de Christian d'Orsen.
Elle compte alors sur les dons de Claude PRINCE pour lui confirmer les doutes sur l'identité de l'éclopé...
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C'est jour de fête chez les Pitois. On célèbre les fiançailles de la jeune Lucie avec un comptable plein d'avenir.
Pour l'occasion, M. Pitois a acheté un délicieux pâté en croûte chez un charcutier réputé pour la qualité de ses produits.
La grand-mère croque avec gloutonnerie dans le mets et manque de s'étrangler avec un objet à l'étrange texture. Il s'agit en fait d'un doigt humain.
C'est l'inspecteur François PESSART qui est chargé de l'enquête... -
Le docteur Barjac, sommité du monde de la toxicologie, est retrouvé mort dans son laboratoire par son valet.
En apparence, la victime se serait suicidée avec un revolver, mais les premiers éléments démontrent qu'il s'agit en fait d'un empoisonnement.
L'inspecteur François PESSART enrage que le juge ait confié cette affaire intéressante à un autre policier bien moins doué que lui et va faire son enquête de son côté afin de déterminer qui est responsable du « suicide du professeur Barjac »...