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Juan Branco
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« Les révolutions naissent d'un regard. À nous de les enfanter. »
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Ce livre s'inscrit dans la tradition littéraire française des réquisitoires politiques. Sous la plume enflammée d'un jeune homme formé pour intégrer les élites mais croyant encore en la République, il dénonce et expose les preuves d'une captation de la démocratie par des oligarques puissants, en faveur d'intérêts de caste.
Et comment le président Emmanuel Macron en fut à la fois la créature et l'instrument.
Le publier est un acte citoyen. -
Il est courant et aisé d'appeler à l'insurrection. Il est habituel de céder aux provocations. Il est plus rare de réfléchir et d'organiser une révolution.
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« Qu'est-ce que Cyril Hanouna ?
Rien. Nada. Keutchi. C'est, au préalable, le point de vue qu'il nous convient d'adopter. Un pion dans un système qu'il serait inutile de, seul, faire tomber, et qui va justifier que nous nous comportions avec précaution à son égard, sans le dévaster. » -
Treize pillards : petit précis de la Macronie
Juan Branco
- Au Diable Vauvert
- 3 Février 2022
- 9791030705256
« Ces êtres ne sont pas corrompus : ils sont la corruption », écrivait Juan Branco dans son best-seller Crépuscule. Dans Treize pillards, il donne la synthèse la plus accessible possible des corruptions politiques de nos dirigeants, Emmanuel Macron, Édouard Philippe, Xavier Niel, Benjamin Griveaux, Gabriel Attal, Arnaud Lagardère, Bruno Roger-Petit, Anne Lauvergeon, Thierry Breton, Martin Hirsch, Fabrice Fries...
En treize chapitres explosifs, il expose les manipulations et l'avidité de ceux qui nous gouvernent.
Une plongée sidérante dans le revers de notre démocratie.
Un livre indispensable dans le débat politique qui agite la France. -
Comment ? Comment sortir de l'impasse et sauver un pays qui étouffe sous ses charges, la médiocrité et l'impunité ? En abattant l'ennemi. Voilà la réponse de Juan Branco qui, pour les avoir beaucoup fréquentés, connaît ad nauseam l'égoïsme, la concupiscence mais aussi l'extrême fébrilité de ceux qui nous gouvernent. Tour à tour menacé, flatté, vilipendé par des médias aux ordres, lui qui a battu le pavé avec les Gilets jaunes, dont le mouvement de protestation, violemment réprimé, n'a rien perdu de sa vigueur ni de sa légitimité, appelle à un changement de paradigme majeur en proposant un programme révolutionnaire, incluant la création de tribunaux d'exception, et la mise à bas des coteries qui gouvernent le pays. Une véritable bascule pour permettre à la France de se libérer des forces nocives, et à son peuple de recouvrer sa souveraineté.
Qu'est-ce qui transforme une révolte en révolution ? -
La République ne vous appartient pas ; discours à Polytechnique
Juan Branco
- Au Diable Vauvert
- 17 Septembre 2020
- 9791030703825
FABRICATION DES ÉLITES : UN SCANDALE DÉMOCRATIQUE
« La République ne vous appartient pas. » Le 9 décembre 2019 Juan Branco ouvre par ces mots son discours dans l'amphithéâtre d'honneur de Polytechnique. Face aux étudiants de la plus prestigieuse école du pays, il se livre à une leçon magistrale sur le dévoiement du système qui vient de les consacrer et donne les clés pour comprendre les finalités d'un système éducatif où les écoles du soi-disant mérite sont créées pour reproduire une logique de domination au profit de quelques-uns. Son appel au sursaut est un plaidoyer pour une idée de la République, abandonnée par leurs aînés.
Suivi des échanges avec les étudiants, un discours qui s'adresse à tous les Français et fera date sur un système de sélection dont ils sont avant tout victimes. -
Juan Branco, proche conseiller de Julian Assange, prend la plume afin de raconter l'odyssée du fondateur de Wikileaks, menacé de 175 ans de prison pour avoir dit la vérité.En 2010, alors qu'il révèle sur Internet faits de corruption, crimes de guerre et crimes contre l'humanité, Assange est courtisé par les médias, invité par des universités, honoré par des ONG, nommé pour le prix Nobel de la Paix. Il reçoit une dizaine de prix de journalisme.En 2019, après 2 487 jours à Londres, et surveillé 24h/24 par la CIA, Julian Assange est exfiltré de l'ambassade de l'Équateur où il avait cru pouvoir se réfugier. Des hommes en noir le mènent à la prison antiterroriste de Belmarsh. Depuis, selon l'ONU, il est soumis à une torture incessante.Que s'est-il passé en dix ans, pour qu'un hérault de la liberté devienne l'ennemi public numéro un ? Qu'a commis Assange de si terrible pour qu'on accepte ainsi le renversement de son destin ? En quoi se différencie-t-il d'Edward Snowden, que les révélations sur la NSA et la CIA ont propulsé sur tous les écrans, se voyant même récompensé par deux films hagiographiques.En s'appuyant sur ses expériences au Quai d'Orsay comme à la Cour pénale internationale, et tour à tour généreux, remonté, agacé, Juan Branco revient sur le parcours incroyable du plus grand lanceur d'alerte de notre époque, qui s'est peut-être brûlé les ailes, mais que nous pouvons encore sauver.Juan Branco, avocat et docteur en droit, s'est fait connaître en 2019 avec Crépuscule - best-seller de l'année.
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" Tout commence en janvier 2014. Je n'ai plus rien à faire là. "
De la Centrafrique à la CIA en passant par le Bristol et l'Élysée, Juan Branco opère une plongée ahurissante dans un monde à l'agonie, et livre les clefs d'un engagement longtemps incompris. Au-delà du pamphlet qui pointe la défaillance des politiques et dénonce de multiples trahisons, ce texte, écrit d'une traite, est la tentative d'un homme de décrypter les rouages d'un pouvoir qui porte aux nues ceux qui le servent complaisamment et broie ceux qui oseraient s'y opposer. Il crie l'évidence d'une déchirure, celle du voile des illusions politiques mais aussi sentimentales, et les souffrances qui en résultent. Un maelstrm qui, sans l'abattre, le rend plus fort.
" Résistez à ce qui vous sera raconté. Partez de vos expériences, de ce que vous avez traversé, de ce que vos corps ont absorbé... et luttez. " -
L'ordre et le monde ; critique de la cour pénale internationale
Juan Branco
- Fayard
- Essais
- 16 Mars 2016
- 9782213682945
25 juin 2014. Douze ans après sa création, la Cour pénale internationale rend définitive la première condamnation de son histoire. La personne concernée ? Un ancien chasseur d'okapis, nommé général à vingt-six ans pour être envoyé à La Haye et donner l'impression au monde que la République démocratique du Congo coopère avec l'institution. Maigre résultat, pour une Cour censée s'attaquer aux plus grands criminels de son temps. Saluée unanimement à sa création, l'institution ne s'est jamais montrée à la hauteur de ses ambitions. Progressivement affaiblie, soumise aux desiderata des grandes puissances, elle est très rapidement devenue l'actrice de son propre drame, jusqu'à faire s'interroger aujourd'hui sur le bien-fondé de son existence. À travers un récit haletant croisant droit et philosophie, Juan Branco retrace le devenir d'une organisation qui aurait dû tenir le monde entre ses mains. Il en montre la déliquescence, découverte au fur et à mesure de ses expériences auprès du premier Procureur de la Cour, au Quai d'Orsay puis comme chercheur et journaliste dans l'Afrique des Grands Lacs. Une mise à nu sans concessions d'un système dévoré par ses insuffisances et ses compromissions, et aujourd'hui sur le point de basculer. Juan Branco, premier docteur en droit de l'ENS Ulm, est Senior Research Fellow au Max Planck Institute Luxembourg après avoir travaillé au sein du Bureau du Procureur de la Cour pénale internationale et comme collaborateur extérieur du ministre des Affaires étrangères. Ce livre sert de pendant narratif à son ouvrage De l'affaire Katanga au contrat social global : un regard sur la Cour pénale internationale (IUV-LGDJ, 2015).
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ACTUALITE CRITIQUE Tome 4 : réponses à hadopi
Juan Branco
- Capricci Editions
- ACTUALITE CRITIQUE
- 12 Décembre 2013
- 9791023900323
Juan Branco en décrit les épisodes principaux, mais aussi les manoeuvres et les coups bas. Il analyse le débat autour d'une loi vue par certains comme le miroir de la Présidence Sarkozy, par d'autres comme la seule solution pour sauver la création.Engagé de longue date contre Hadopi, rédacteur de la "Lettre aux spectateurs citoyens" publiée dans Libération le 7 avril 2009, il démontre son inapplicabilité et explique en quoi ce qui devait sauver la culture et le cinéma en est devenu l'ennemi. Il prouve aussi que d'autres solutions sont possibles.