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Le chef-d'oeuvre de John Banville, couronné du prestigieux Prix Booker en 2005.
Peu de temps après la mort de sa femme, Max revient dans la petite station balnéaire où, enfant, il a passé l'été qui a façonné sa vie. Ce séjour à Ballymoins, c'est une retraite contre la colère et la douleur causées par la perte d'Anna. Mais c'est aussi un retour sur les lieux où, cinquante ans plus tôt, Max a rencontré les Grace. Cette riche famille bourgeoise avait loué la villa des Cèdres, qui subjuguait le garçon pauvre qu'il était alors. Auprès d'elle, il expérimenta, pour la première fois, l'étrange proximité de l'amour et de la mort... Magistralement composé et écrit, La Mer est un roman d'une beauté envoûtante, mélancolique et sensuelle, sur l'amour, la perte et le pouvoir de la mémoire. " Si la mer sied si bien à l'un des sommets de Debussy - à une belle chanson de Trenet, aussi -, elle sera désormais associée à un roman inoubliable. " L'Express -
Le livre qui a inspiré le film Marlowe, avec Liam Neeson et Diane Krüger dans les rôles principaux.Nous sommes au début des années 1950, Philip Marlowe est en petite forme, business et moral en berne, lorsqu'une nouvelle cliente pousse sa porte : une jeune femme, belle, richement vêtue.
Clare Cavendish, héritière d'une des familles les plus fortunées de Bay City, Californie, veut engager le détective pour retrouver son amant, officiellement disparu dans un accident de voiture deux mois plus tôt. Marlowe ronchonne mais accepte, évidemment - Clare Cavendish est incroyablement séduisante. Et c'est le début de ses ennuis...
Publié précédemment sous le titre
La Blonde aux yeux noirs,
ce roman est un hommage irrésistible au détective iconique
de Raymond Chandler, Marlowe, joué par Liam Neeson dans
l'adaptation cinématographique du même nom.
" J'ai adoré ce livre. C'était comme voir un vieil ami que l'on croyait mort entrer dans la pièce. " Stephen King -
" Un roman audacieux, funambulesque, où Banville pirouette entre ciel et terre. " L'ExpressAdam Godley, un brillant mathématicien, repose dans sa chambre, au seuil de la mort. À ses côtés se trouvent sa seconde épouse, ses deux enfants, ainsi que la femme de son fils, Helen, une comédienne à la beauté troublante.
En un jour, en un lieu, ce monde mortel et imparfait va recevoir la visite des dieux de l'Olympe, des dieux à l'esprit facétieux, qui vont se plaire à prendre la place des humains pour satisfaire leurs désirs illicites. Hermès, le fils de Zeus, narrateur espiègle de cette tragicomédie qui ressemble à un songe, se prêtera lui-même à ce jeu, tandis qu'Adam revivra dans son esprit le souvenir de ses années passées.
Dans ce récit étincelant où réel et merveilleux se côtoient, John Banville interroge, avec humour et gravité, le sens de notre existence, son mystère et sa beauté. -
Dans Mme Osmond, John Banville, l'auteur de La Mer, lauréat du Booker Prize, imagine une suite au Portrait de femme de Henry James et nous livre, outre un superbe pastiche, un merveilleux roman.
Fuyant Rome et un mari dont elle vient de découvrir la trahison, la jeune et vive héritière Isabel Osmond court à Londres au chevet de son cousin bien-aimé, qui gît sur son lit de mort. Elle qui menait une existence morne et silencieuse dans son palais romain renaît pourtant de ses cendres à mesure que les prétendants se pressent autour d'elle. Résolue, elle renoue avec ses vieux amis, se lance dans une quête de liberté et d'indépendance et savoure sa jeunesse retrouvée.Mais, bientôt, elle décide de retourner en Italie pour affronter son mari et se délivrer de son emprise. Réussira-t-elle à se venger ? N'est-ce pas prendre un risque démesuré que de retourner auprès de cet homme et une illusion que de penser qu'elle pourra vivre sans lui ?" John Banville est l'un des meilleurs romanciers anglophones et un ventriloque d'exception, entre autres choses. Sa façon de redonner vie au passé, notamment au Portrait de femme de Henry James. Un bijou stylistique. " The Guardian -
Oliver Orme, vous le savez sans doute, est un peintre dont le talent est reconnu dans le monde entier. Ce que vous ignorez encore, c'est qu'il a cessé de peindre, en proie à des doutes esthétiques. Et qu'il a passé sa vie à voler des choses de valeurs diverses à son entourage, non par cupidité mais par goût, éprouvant un plaisir quasi érotique à subtiliser des objets. L'un de ces objets subtilisés à d'autres, en l'occurrence à son ami Marcus, est Polly, dont il fait sa maîtresse. Mais, tout comme il a fui son épouse Gloria, il fi nit par la laisser un jour où il ressent le besoin de se réfugier dans sa maison natale, aussi délabrée soit-elle. Or bientôt Polly le retrouve, et leur histoire d'amour renaît de ses cendres. Entre passion, désillusion, jalousie et égoïsme, Oliver déverse le fl ux de ses pensées comme il brossait autrefois ses toiles, cherchant toujours le mot juste, pour être le plus vrai possible, si tant est que le vrai existe en ce monde.