Jean Michel Gibert
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À quoi servent les rayures des zèbres, et la robe rouge à points noirs de la coccinelle ? Une introduction à la fonction de la couleur dans le vivant et à la manière dont elle apparait. Une centaine d'illustrations pour montrer la variété des couleurs du vivant.
Vert des feuilles, rouge du coquelicot, rose du flamant, carapace bleue du homard, mais aussi taches, bandes, rayures : le monde vivant explose de couleurs et de motifs.
Ils peuvent servir à se cacher, ou au contraire à exhiber sa toxicité. Les oiseaux mâles peuvent en user pour séduire les femelles, et les fleurs pour attirer les pollinisateurs. Si les fruits mûrs sont colorés, c'est pour être plus aisément repérés par ceux qui les consomment, et ainsi favoriser la dissémination de leurs graines. La pigmentation peut servir de protection contre les UV, ou, dans le cas de certains insectes, à moduler la température du corps : les individus foncés se réchauffent plus vite et sont plus actifs. Les rayures des zèbres perturbent les mouches, quand les taches du guépard imitent la lumière intermittente des sous-bois.
Les variations sont infinies, mais la genèse des couleurs et de leurs motifs est régie par les lois de la génétique et par l'environnement. C'est ce que cet ouvrage nous propose de découvrir. -
La créativité n'est pas un jeu ; une approche nouvelle de la psychologie du travail
Michel Gibert
- Editions L'Harmattan
- Vivre l'entreprise
- 1 Décembre 2014
- 9782336713717
Qu'est-ce que la créativité ? Comment se définit-elle ? Comment l'exprimer, l'appliquer pour soi, pour son travail ? Ce livre permet au lecteur d'identifier ses modes de pensées, ses moteurs et de pénétrer dans les différentes phases du processus : de la concentration au travail de l'inconscient et à la réalisation - de l'angoisse au dépassement et à la réussite. Car la créativité est au coeur de toutes les activités humaines.
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Au-delà du cercle des conventions quotidiennes, des réalités sans relief, commence le royaume de l'imaginaire ; au-delà des clichés et des lieux communs, renaissent tes mots, se précisent les formes, parfois même recouvrent une certaine vie, les ombres... Ainsi, rien de plus inerte, de plus « désarmé » que ces blockhaus à demi immergés dans le sable des plages landaises, tels qu'on les découvre tout au long des côtes de l'Atlantique ou de la Manche, rien de plus compact, de plus assoupi, et pourtant il a suffi d'un regard intérieurement éclairé par l'étincelle d'une imagination soudain en éveil, pour qu'ils se mettent à vivre, à s'agiter grotesquement comme de lourdes âmes en peine, à recéler et tout à la fois révéler de terribles, de fantastiques secrets...