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Guy Morin
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Cap-aux-Diamants. No. 137, Printemps 2019
Yves Beauregard, Alex Tremblay Lamarche, Catherine Ferland, Samuel Heine, Yannick Cormier, Guy Morin, Francois Drouin, M
- Les Éditions Cap-aux-Diamants inc.
- 31 Mai 2019
- 9782924353295
C'est aux paradis artificiels et autres substances « illicites » que se consacre le numéro du printemps de la revue Cap-aux-Diamants. Tabac, alcool, marijuana, LSD, de la Nouvelle-France aux années 1970, ce numéro propose plusieurs articles abordant un aspect ou un autre de ces substances visant à altérer les sens. Catherine Ferland propose quelques histoires autour du tabac en Nouvelle-France. Samuel Heine nous entraîne dans les fumeries d'opium et à la rencontre de la communauté sino-montréalaise au XXe siècle. Prohibition ou tempérance ? Yannick Cormier revient sur le référendum du 10 avril 1919. Guy Morin effectue un voyage dans le Québec psychédélique, et François Droüin nous informe sur la commission Le Dain qui, dans les années 1970, étudiait déjà la possibilité de décriminaliser le cannabis. Enfin, Marc-André Brouillard discute de la revue Mainmise, publiée entre 1970 et 1978, véhicule de la contre-culture québécoise de l'époque.
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Aux sources du psychedelique
Morin Guy
- Presses de l'Université Laval
- Paradis artificiels
- 15 Mai 2008
- 9782763708591
« Dans un monde où la nouvelle drogue est la consommation à outrance des virtualités du cyberespace électronique, Aux sources du psychédé lique est un livre important qui nous rappelle que les premiers visionnaires d'une conscience planétaire écologique ont été les hippies des années soixante. On y apprend également que l'expérience psyché délique a donné naissance aux premiers "human-be-in", où l'art canalisait le vertige d'être ensemble à partager la joie de vivre. À cette époque, il n'y avait pas d'écran entre les humains solitaires tentant de se brancher sur les satellites de l'informatique. Dans les "communes", on entrait directement en communication par la chair et par l'esprit. On se branchait sur l'infini. On prenait le temps d'être. "Vivre et laisser vivre" était un principe humanitaire et sacré. »
Tiré de la préface de Raôul Duguay