À l'évocation du mot «croyance» la plupart des gens vont penser «religion». Et vous ?
Pourtant dès la naissance, quatre fondamentaux vont nourrir nos systèmes de croyances : éducation parentale, religieuse, scolaire, sociétale.
Bien souvent, nous faisons un amalgame entre le mot «croyance» et le mot «foi».
Est-ce que si je crois j'ai la FOI (croire) ou est-ce que si j'ai la FOI, je croîs ? (croître).
Tout au long du livre, l'auteure remet les mots à leur juste place afin que leurs vibrations se réajustent en chacun.
La trame de ce nouveau livre est identique au premier constitué de trois parties, toujours basées sur des faits réels, des constats, du vécu amenant à une ou plusieurs prises de conscience.
Un livre écrit en toute simplicité où le pouvoir des mots domine pour vivre au-delà de nos croyances et retrouver le chemin de la FOI.
enA l'âge de 17 ans, une vilaine chute lors d'une compétition de danse laisse Catherine martin plutôt
amochée. Sa colonne vertébrale est sérieusement et les médecins lui prédisent la paralysie avant
30 ans. Pourtant, une petite voix dans sa tête lui dit constamment : « Ne les écoute pas ». Deux
guides apparaissent dans ses rêves et lui proposent de réparer sa colonne vertébrale si elle accepte de renouer avec les dons spirituels qu'elle possédait auparavant. Après un premier refus, elle finit par accepter et elle sent immédiatement un travail énergétique s'effectuer dans son être. Quelques minutes après, elle se lève et marche sans aucune douleur, comme si rien ne s'était passé. Elle reprend alors les dons qu'elle possède et commence à les mettre à profit. Aujourd'hui, et depuis plusieurs années, elle reçoit des messages qu'elle offre à ceux qui veulent bien écouter, sans jamais imposer quoi que ce soit. Elle donne aussi des ateliers sur le travail énergétique et reçoit des gens en consultation.
C'est à son parcours unique qu'elle nous convie dans un premier temps avant de nous partager des enseignements, parsemés d'exemples vécus, sur la guérison consciente. Enfin, elle nous partage des messages et des leçons reçus de ses guides.
Un livre écrit en toute simplicité et qui nous ramène à l'essentiel : être soi!
ses mains ! Certains
Au contact d'une cicatrice à l'arrière de sa tête, l'auteure se souvient de sa confrontation récente et douloureuse avec la maladie, qui a bouleversé pour toujours son existence.
Ce manuel traite l'intégralité du programme du Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion (DSCG), épreuve n° 1 - Gestion juridique, fiscale et sociale.
Cette édition, conforme au programme, propose une analyse de la législation illustrée de nombreux exemples jurisprudentiels ainsi que de nombreux renvois aux sources du droit.
Diverses branches du droit sont concernées : le droit civil, le droit pénal, le droit des sociétés, le droit commercial, le droit social, le droit fiscal, et de plus en plus
le droit communautaire et international.
Un ouvrage complet, rédigé par un collectif d'auteurs spécialistes des différents domaines traités.
Au sommaire :Partie 1 : L'entreprise et son environnementPartie 2 : Le développement de l'entreprisePartie 3 : Le financementPartie 4 : De l'entreprise au groupePartie 5 : La pérennité de l'entreprisePartie 6 : Les associations et autres organismes à but non lucratif
En complément :Entraînez-vous à l'épreuve d'examen avec les Cas pratiques corrigés et commentésRévisez avec : Tout le DSCG 1 en fiches mémos
Pierre-Esprit Radisson entame la carrière internationale qui le conduira à Boston, à New York et à Londres. Avec son inséparable compagnon Des Groseilliers, il vivra des drames aussi incroyables que véridiques: embuscades, naufrages, épidémie de peste, batailles navales, attaques de pirates, grand incendie de Londres...
À force de détermination, les deux aventuriers convain-cront le roi d'Angleterre d'appuyer le projet pour lequel ils ont tout sacrifié. De riches banquiers et de puissants aristocrates fonderont avec eux la Compagnie de la Baie d'Hudson qui marquera l'histoire du Canada. Cette tranche de la vie de Radisson est un hymne à la persévérance.
«Ils sont presque paralysés par la vision d'enfer. Des brandons brûlants atterrissent sur leur visage. Des étincelles manquent d'enflammer leurs vêtements. L'épaisse fumée oppresse leur souffle. Ils font marche arrière, lentement, bousculés par des miliciens qui accourent pour remplir la petite citerne de leur fourgon à incendie. Les deux Français tentent de les aider.»
Martin Fournier, historien (Ph. D.), a participé à maints projets de diffusion publique de l'histoire et du patrimoine. Il se consacre désormais à la rédaction de romans. Il a mérité plusieurs prix, notamment un prix littéraire du Gouverneur général du Canada. Ses réalisations enrichissent la collectivité d'une meilleure connaissance de son histoire.
Dirigé par Clara Dupuis-Morency et Gabrielle Giasson-Dulude, l'édition automnale de la revue Moebius « Cet animal m'a donné la vie » (Le feu de mon père, Michael Delisle) propose des textes d'Anne-Marie Alonzo (rubrique du fonds Moebius), Simon Brousseau (résidence d'écriture), Anne-Renée Caillé, Jean-Philippe Chabot, Marie-Hélène Constant, Marilou Craft (lettre à une écrivaine vivante), Marie-Ève Fleury, Kristina G. Landry, Catherine Lemieux, Catherine Morency, Camille Readman Prud'homme et Martin Tailly. « Ce pourrait être un animal impossible à reconnaître. [...] Ce pourrait être une colère, ou une joie, dont on survivrait, à répétition. [...] Ce pourrait être une personne venue de nulle part qui aurait échappé à l'une ou à l'autre de ses prisons de chair. Ou encore, un être qui doucement ou dangereusement s'approcherait. Peut-être, plusieurs fois dans une vie, l'étrangeté même et le miracle de vivre ou de revivre, peaux de serpent ou peaux d'âne, membranes, parures, tout ce que l'on emprunte pour fuir ou pour survivre. » (extrait de la présentation)
En nous penchant sur la notion de qualité de vie sous l'angle collectif autant qu'individuel, nous regardons ses coutures historiques, politiques et sociologiques, et nous nous autorisons à rêver à ce qu'elle devrait être.
Il sera question de décélération, de saillies de trottoir, de villes durables et d'architecture, d'inventions inutiles, de nécessaires évasions de la réalité et de bien d'autres choses encore.
Comment caractériser les relations intimes, les discours sur l'amour et la sexualité, les institutions qui les encadrent ou les produits culturels qui les représentent dans les sociétés occidentales contemporaines ? Quels sont les éléments de continuité ou de distanciation quant aux idées et aux pratiques du passé ? Des spécialistes de la sociologie de l'intimité et de la sexualité explorent ici ces questions, notamment par l'analyse des imaginaires amoureux dominants et leurs expressions culturelles, mais aussi en décortiquant les pratiques courantes pour en révéler les transformations récentes.
Synthèse de l'expertise théorique et empirique internationale, cet ouvrage collectif livre un aperçu des recherches sur les thèmes les plus actuels de l'intimité, tels la non-monogamie, le polyamour, l'adultère, la gestion de l'argent dans les couples, les rencontres en ligne, la diversité sexuelle et bien d'autres. Les auteurs y abordent l'intimité contemporaine amoureuse et sexuelle de manière théorique, sans se limiter aux contenus des représentations dans les médias (miniséries, films, sites de rencontre, publicité) ou aux pratiques concrètes de la sexualité.
C'est bien le regard empathique que Gabrielle Roy pose sur ce peuple canadien-français démuni qui a retenu l'atten- tion des écrivains Hélène Frédérick et Daniel Grenier ainsi que de la cinéaste Catherine Martin. Dans ce numéro que nous consacrons à l'austérité, il est plutôt révélateur de lire sous la plume de nos trois auteurs autant de réflexions sur la pauvreté matérielle de nos ancêtres et la précarité de leur culture. Ces « petits êtres gentils, moqueurs, mesquins et gênés, remplis de part en part de petits drames et de grandes rêveries » dont nous parle Daniel Grenier ne sont pas trai- tés en figurants dans l'oeuvre de Roy.
Tout comme la religion catholique s'immisçait, au Canada français, dans les moindres recoins du département de l'instruction publique, les paramètres de la gestion, de l'entreprenariat, de la rentabilité et même de la production semblent aujourd'hui imprégner de bout en bout notre ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport.
Ce dossier se veut d'abord une occasion de réfléchir aux raisons historiques qui expliquent l'état actuel de notre enseignement ainsi qu'aux influences - souvent internationales - qui l'affectent. Nous voulons aussi signifier aux femmes et aux hommes oeuvrant dans les tranchées de notre système scolaire qu'ils ne sont pas seuls.