Un intendant malhonnête louangé par son maître, un serviteur congédié pour prudence excessive, des gamins joueurs de flûte, un figuier stérile, un grain de sénevé, des outres vieilles et des outres neuves... Autant d'images de l'Évangile qui demeurent opaques à de nom¬breux lecteurs.
Jésus était un poète. Pour s'exprimer, il n'avait recours ni à des concepts ni à des abstractions philosophiques mais inventait des images, des comparaisons, des histoires. Il voulait ainsi amener les gens à considérer autrement la vie.
Deux mille ans ont passé depuis ces paroles déjà désar¬mantes. Aujourd'hui, il faut en plus souffler la poussière déposée sur elles par le temps, qui les a recouvertes et en masque le sens. Certaines d'entre elles ne nous atteindront que si nous éclairons un peu leur symbolisme et leur force d'évocation. C'est
à cette tâche que s'emploie ce petit livre.
Dieu est mystérieux. Comment se surprendre que cer¬taines de ses Paroles le soient aussi ?
Un guide fiable pour les jeunes de 11 à 15 ans et leurs éducateurs (parents et intervenants)
Note importante : La version ePub de ce livre a été faite en mise en page fixe. Il faut donc la lire avec une application permettant la lecture de ce format.
Une quarantaine de réflexion à partir d'objets, de symboles ou d'éléments de la nature afin de d'aborder le mystère de Dieu.
Cet ouvrage est consacré à une relecture critique de la découverte du mémoire que rédigea Pierre Rivière en prison, après avoir assassiné sa mère, sa soeur et son frère. Cette analyse se livre à un examen rétrospectif de ce crime et ce texte, mais aussi à l'ouverture de pistes nouvelles, pour ainsi montrer que dans ce que l'on nomme "l'affaire Rivière" se dévoilent, dès lors que sont question le crime, la folie, la famille, la Justice, la médecine (etc.), des puissances littéralement infinies.
Destinée aux habitants du Nunavik, aux touristes du Grand Nord et aux botanistes amateurs et professionnels, cette nouvelle édition du guide trilingue (français, anglais et inuktitut) remplace l'Atlas des plantes des villages du Nunavik. Elle présente plus de 400 végétaux et précise leur répartition autour des villages et dans les parcs du Nunavik, ainsi que dans certaines régions du Québec, dont le Parc de la Gaspésie qui, sur ses hauts sommets, abrite de nombreuses espèces alpines également présentes dans l'Arctique québécois.
La section sur l'usage des plantes par les Inuits a été considérablement augmentée.
La dynamique des structures est devenue un paramètre crucial pour satisfaire les besoins en performances, et ce dans des domaines aussi variés que l'automobile, l'aéronautique, le spatial ou l'armement. Dynamique des structures industrielles s'intéresse au comportement des structures soumises à un environnement de type vibratoire ou choc. Le sujet est présenté sous un angle original, dans un souci de compréhension des phénomènes. Cet ouvrage s'attache à reprendre les notions de base par une approche méthodique améliorant cette compréhension et permettant le traitement des structures industrielles avec un certain degré de généralité. Les développements sont exposés avec le minimum de mathématique et fréquemment illustrés par des exemples simples avant de passer à des cas issus de la réalité industrielle.
L'idée du présent numéro nous est venue un peu par hasard, au cours d'une discussion où nous venions de constater que les fictions québécoises s'intéressent peu à la représentation des rapports de pouvoir et à ceux qui l'incarnent. Les luttes de classes, les clivages politiques, les relations entre groupes ethniques, la vie des riches et des puissants ne sont pas des thèmes qui attirent d'emblée nos écrivains, nos cinéastes et nos scénaristes. Pourquoi donc? Avons-nous peur du pouvoir?
Durant la seconde moitié du 20e siècle, les régimes communistes ont incarné la principale figure d'altérité pour l'Occident capitaliste et néolibéral. Après la chute de l'URSS, ces régimes ne pouvaient plus jouer ce rôle, et la recherche d'un nouvel Autre s'est donc imposée à la conscience occidentale. Les attentats du 11 septembre 2001 lui ont apporté ce qu'elle recherchait : désormais, le djihad serait le nouveau repoussoir contre lequel l'Occident affirmerait ses valeurs hégémoniques, comme si celles-ci ne pouvaient se soutenir d'elles-mêmes face à un « adversaire » pourtant vaincu d'avance.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Jour après jour, nous sommes témoins d'individus qui déchirent leur chemise au nom des principes de la gauche ou de la droite. À les en croire, leurs revendications seraient incompatibles avec celles de l'autre clan et porteuse d'une morale particulière. Cette prétention résiste-t-elle à l'analyse? N'assiste-t-on pas plutôt à une uniformisation graduelle des politiques, en même temps qu'à une polarisation des discours? Que dévoile ce dialogue de sourds? La gauche et la droite ne sont-elles, au fond, que des soeurs siamoises, le yin et la yang du débat démocratique? Ce dossier spécial intitulé « La gauche et la droite : beaucoup de bruit pour rien? » présente les essais d'Alain Deneault, Éric Bédard, Monique Larue, Ugo Gilbert Tremblay et Mathieu Bélisle, ainsi qu'un entretien de Mauricio Segura avec Marc Angenot. Ailleurs dans la revue, un extrait inédit du prochain roman de Nicolas Dickner, la visite d'Atelier de Cindy Phenix et les poèmes de Mathieu K Blais, en plus des chroniques habituelles de Patrick Nicol, Serge Bouchard et Olivier Maillart.
Le plus récent numéro de L'Inconvénient se penche sur « L'amitié au temps de Facebook » avec un dossier réunissant des essais d'Éric Dupont, de Jean-Philippe Martel, d'Étienne Savignac et d'Ugo Gilbert Tremblay. Cette édition comprend aussi un extrait du roman à paraître en avril de Nancy Huston et des poèmes inédits de Thomas Mainguy et d'Hélène Dorion. Côté peinture, Marie-Anne Letarte présente l'artiste Louis-Philippe Côté et côté critique, Michel Biron offre une fine analyse du roman L'année la plus longue de Daniel Grenier, Marie-Andrée Lamontagne recense la traduction française de The Infinite Jest de David Foster Wallace et David Dorais se penche sur le roman 2084 de Boualem Sansal. Les chroniques de Serge Bouchard, Geneviève Letarte, Olivier Maillart, Patrick Nicol, Georges Privet et Martin Winckler sont aussi au rendez-vous et, pour clore ce numéro en beauté, Mathieu Bélisle signe un billet amusant intitulé "Désolé pour les inconvénients".
Vérité ou fiction? Une grande majorité des oeuvres littéraires auxquelles nous sommes exposés tiennent de l'histoire inventée. Pourtant, nous nous arrêtons rarement à questionner la valeur intrinsèque de tels récits relativement à ceux qui sont ancrés dans le réel. Une histoire fictionnelle a-t-elle moins de valeur qu'une « véritable » ou, au contraire, davantage? Et que dire de ces romans semi-biographiques qui brouillent les cartes? L'Inconvénient se penche sur ces questions dans un dossier intitulé « À quoi sert la fiction? » qui fait la part belle aux articles de fond, accompagnés d'un entretien avec Carl Bergeron. Le numéro 66 de la revue poursuit également son travail d'ouverture à la diversité des médiums d'expression culturelle en inaugurant trois nouvelles chroniques, celle de Stanley Péan sur le jazz, celle de Thomas Hellman sur la musique populaire, et enfin celle de Samuel Cantin sur la bande dessinée.
Le dossier de ce numéro d'hiver de L'Inconvénient s'intitule « La société sans douleur », et pourtant, dixit Alain Roy, « la raison d'être de l'art, sa fonction oserait-je dire, consisterait ainsi à combattre une érosion de la sensibilité qui serait logée au coeur de l'expérience humaine ». Le plaisir esthétique sous forme de perversion masochiste, peut-être? Cinq auteurs (Ugo Gilbert Tremblay, Bertrand Laverdure, Céline Lafontaine, Michel Morin et Thomas Hellman) signent autant d'essais ou d'entrevues autour de ce thème. Si les textes de la section littérature sont ensuite consacrés aux derniers ouvrages de Catherine Mavrikakis, Yasmina Reza ou Amos Oz, la chronique peinture met en lumière les acryliques à la fois graphiques et organiques de Jessica Peters. Les nouvelles sensations en matière de séries télévisées sont bien servies par des articles sur Westworld, Narcos et Fargo. Quant à la tribune, elle est confiée pour ce numéro-ci à Jacques Godbout qui s'attaque à un sujet on ne peut plus dans l'air du temps : le retour du religieux.
Un panorama vivant et actuel de la foi chez des jeunes de tous horizons et de leurs attentes.
Un avant-propos intéressant en vue du Synode d'octobre prochain sur les jeunes et la foi.
Cinq trentenaires prennent la parole pour évoquer leur foi chrétienne, centrale dans leur vie. Une foi souvent issue dune conversion plutôt quhéritée de leurs parents ; une foi qui se traduit dans des vocations variées ; une foi soucieuse dcuménisme et des enjeux sociaux contemporains. Une foi assumée et ardente. Labbé Alain Roy relit avec nous leurs témoignages et en dégage les traits annonciateurs dun nouveau visage du christianisme.
Jürgen Fesenmayr est enseignant en français et en éthique et culture religieuse au secondaire. Sébastien Gendron est détenteur dune maîtrise en théologie et coordonnateur de la pastorale pour le diocèse de Gaspé. Valérie Jean est depuis peu engagée dans le mariage. Norman Lévesque est directeur du Réseau des Églises vertes. Sur Lucie-Caroline est membre des Fraternités monastiques de Jérusalem.
Alain Roy est prêtre depuis 1980. Il a dirigé le Service de pastorale liturgique et sacramentelle du diocèse de Montréal. Il est actuellement curé de la paroisse Saint-Joachim de Pointe-Claire. Auteur apprécié, il tient un blogue et a publié le livre Une Église sans domicile fixe (Médiaspaul, 2010).
L'art doit-il être moral ? Le numéro du printemps de la revue L'Inconvénient s'interroge sur la moralité de l'art à l'ère de ce qu'elle nomme : la censure victimaire, où représentation rime trop souvent dans la tête des gens avec promotion d'idées jugées inacceptables. « La représentation ne suppose pas l'adhésion. Montrer, ce n'est pas approuver ni préconiser. » (extrait de l'introduction). À la suite des affaires SLAV et Kanata, entre autres, le débat - qu'on croyait réglé - a récemment refait surface. L'art doit-il se soumettre à certaines injonctions morales ? Peut-il s'affranchir absolument de ces dernières ? Également au sommaire, un portrait du peintre Mark Stebbins, la quatrième partie de Jazz et condition noire aux États-Unis par Stanley Péan, des recensions d'ouvrages récemment parus et une réflexion sur l'amoralité de certaines personnes et les conséquences qui en découlent à travers deux séries télé : The Little Drummer Girl et Patrick Melrose.
La saison des vacances débute, les touristes affluent. Nombreux sont ceux qui visiteront des lieux patrimoniaux. C'est donc un numéro estival de circonstances que propose la revue Continuité en explorant la relation entre tourisme et patrimoine. Ils se nourrissent mutuellement, s'allient bien souvent, mais quels sont les avantages et les inconvénients découlant de l'alliage tourisme et patrimoine ? Quelle est la place des attractions de moindre envergure dans l'offre de l'industrie touristique ? Comment innover dans la mise en valeur des vestiges de notre passé ? Continuité vous offre quelques pistes de réflexion. Ce numéro vous propose également un coup d'oeil sur la conversion de la maison Merry à Magog en lieu de mémoire citoyen, vous narre l'histoire derrière les traces étranges que portent un rocher sur la grève de la Rivière-Ouelle et vous offre un éclairage sur l'évolution des sentiers anciens avec Nathalie Coz, autrice du livre Le Québec à 5 km/h.
Lire Ducharme sans Ducharme, c'est à cela que le mystérieux écrivain convia son lectorat. Depuis sa mort en 2017, c'est un état de fait d'autant plus vrai. « Lire Ducharme sans Ducharme » pour la revue L'Inconvénient, c'est l'occasion de consacrer un numéro estival à revisiter l'héritage et l'oeuvre de cet auteur à l'écriture « baroque et bigarrée, truffée de références savantes et populaires, de calembours, de virtuosités langagières aussitôt annulées par des maladresses délibérées. » En peinture, découvrez l'oeuvre de Trevor Kiernander. Lisez aussi un extrait du prochain roman de Ying Chen « où Irène Curie croise des Japonais décédés sous le rayonnement des bombes. » Ensuite, Georges Privet discute des échanges créatifs entre cinéma et nouvelles expériences immersives. Sylvain David, lui, offre un tour d'horizon de polars internationaux au petit écran, puis Stanley Péan livre la première partie d'un essai sur le jazz et la condition des Noirs aux États-Unis.
Sujet chaud, s'il-en est, c'est de laïcité dont il est question à la une du numéro du printemps de L'Inconvénient. En ouverture, Alain Roy met la table en distinguant d'abord laïcité et sécularisation, ou du moins effet sécularisant. Daniel D. Jacques fait une incursion au « royaume de la confusion », Yolande Geadah et Jacques Beauchemin s'entretiennent avec Georges Leroux, Guillaume Lamy discute de controverses identitaires, Joseph Rosen raconte sa vie entourée de voisins hassidim et Ugo Gilbert Tremblay offre ses considérations sur la laïcité, le droit et les moeurs. Ce numéro comprend aussi un photoreportage sur l'art de la boxe, le retour au réalisme où « une collectivité est abordée selon ses dynamiques d'intérêts et de pouvoir » dans des séries télé comme The Night of et Big Little Lies ainsi qu'un entretien avec David Dorais sur l'état de la critique littéraire au Québec.
Ce numéro de printemps de L'Inconvénient s'ouvre avec un hommage signé Geneviève Letarte à notre Leonard Cohen national, « curieux mélange de diva et de moine bouddhiste ». Les rubriques artistiques sont particulièrement riches : en cinéma, vous retrouverez la somptueuse ode funèbre de Pablo Larraín, Jackie; en littérature québécoise, l'oeuvre de contre-culture malheureusement négligée par l'histoire de Jean Basile; en séries, Black Mirror. Dans un noir et blanc contrasté, un photoreportage de David Himbert nous colle au plus près du peuple cubain en deuil de leur « comandante », Fidel Castro. Quant à Thomas Hellman, il nous offre sa réflexion autour du Prix Nobel de littérature remis, ô stupeur, à une rock star et un poète, Bob Dylan! Le tout entoure un grand dossier consacré à la question brûlante d'actualité du populisme : de l'Amérique latine (entretien avec le professeur de l'UQAM José Del Pozo) à la confrontation médiatique Richard Martineau/Marc-André Cyr, « les derniers mouvements du balancier ont singulièrement rapetissé l'espace du dicible ».
Le numéro d'été de L'Inconvénient propose Le fantasme de la survie un dossier fouillé sur cette propension au macabre, cette « fascination morbide pour l'apocalypse et la destruction, comme si nous avions besoin de maintenir coûte que coûte la menace, aussi fantasmatique soit-elle » dans un monde où tout est pourtant réuni pour nous permettre une vie sans souci. Nous incitant à nous considérer comme individus vivant en sursis, attendant l'écroulement, cet état d'esprit nous convie aussi à vivre dans la complaisance et sans souci de l'autre, à vivre « à côté de la vie ». Un dossier signé par Evan Osnos, Christian Guay-Poliquin, Dalie Giroux, Vincent Lambert et Alain Roy. Aussi dans ce numéro, un poème de Patrice Desbiens, une BD de Samuel Catin, un reportage sur la traduction au Québec et au Canada par Mauricio Segura, la peinture de Dil Hildebrand et les habituelles chroniques littérature, cinéma et séries télé.
Pour nous Québécois, l'Amérique a toujours été une question. Nous sommes d'Amérique, c'est l'évidence, mais nous ne sommes pas, nous n'avons jamais été complètement américains. Nous vivons un peu comme dans un pays d'Europe du Nord : société prospère, politiques sociales généreuses, respect de la diversité, grands espaces, etc. Et, comme dans ces sociétés où il ne se passe jamais rien, nous sommes étrangers aux violences vécues aux États-Unis et dans les pays d'Amérique latine, qu'elles soient le produit d'un conflit racial qui s'éternise, de la guerre contre les narcotrafiquants ou des inégalités sociales criantes. Le dossier de ce numéro, constitué des textes de Vincent Lambert, Mathieu Bélisle, Samuel Archibald et Louise Desjardins, fouille la question : Sommes-nous américains? À quelle Amérique ou à quelle dimension de l'Amérique pouvons-nous nous identifier?
Un panorama vivant et actuel de la foi chez des jeunes de tous horizons et de leurs attentes.
Un avant-propos intéressant en vue du Synode d'octobre prochain sur les jeunes et la foi.
Cinq trentenaires prennent la parole pour évoquer leur foi chrétienne, centrale dans leur vie. Une foi souvent issue dune conversion plutôt quhéritée de leurs parents ; une foi qui se traduit dans des vocations variées ; une foi soucieuse dcuménisme et des enjeux sociaux contemporains. Une foi assumée et ardente. Labbé Alain Roy relit avec nous leurs témoignages et en dégage les traits annonciateurs dun nouveau visage du christianisme.
Jürgen Fesenmayr est enseignant en français et en éthique et culture religieuse au secondaire. Sébastien Gendron est détenteur dune maîtrise en théologie et coordonnateur de la pastorale pour le diocèse de Gaspé. Valérie Jean est depuis peu engagée dans le mariage. Norman Lévesque est directeur du Réseau des Églises vertes. Sur Lucie-Caroline est membre des Fraternités monastiques de Jérusalem.
Alain Roy est prêtre depuis 1980. Il a dirigé le Service de pastorale liturgique et sacramentelle du diocèse de Montréal. Il est actuellement curé de la paroisse Saint-Joachim de Pointe-Claire. Auteur apprécié, il tient un blogue et a publié le livre Une Église sans domicile fixe (Médiaspaul, 2010).
« Faudra-t-il toujours lutter pour le français ? » demande L'Inconvénient en couverture de son numéro d'automne. Pris entre l'angoisse financière de la souveraineté et l'insécurité culturelle d'une nation minoritaire dont la présence maintenue au sein de la fédération canadienne ne peut que nourrir l'angoisse identitaire et linguistique, le Québec, en plein dilemme, se cherche, mais ne se trouve pas. La province comme société « divisée, déchirée, entravée par des peurs contradictoires qui ne veulent pas s'effacer » et le rapport à la langue autour duquel se cristallisent et s'incarnent ces peurs, voilà ce qu'explorent les collaborateurs de L'Inconvénient dans le dossier thématique de ce numéro. Lisez aussi la deuxième partie de l'essai « Le délire collectif des déclinistes français » d'Alain Roy, un portrait du peintre Mark Puchala par Marie-Anne Letarte, Stanley Péan qui parle de la saxophoniste jazz Christine Jensen et Sylvain David des « Communautés (ré) imaginées » dans les séries télé Fauda, Bron/Broen et The Fall.
Après le début du mouvement #Moiaussi (#MeToo), assistons-nous à une deuxième révolution sexuelle ? Peut-être est-ce le cas. La revue L'Inconvénient plonge et pose cette question dans son numéro d'automne où un dossier est consacré à ce que cette prise de conscience et de parole change (ou pas). Précarité du mouvement, plaidoyer pour la nuance des stéréotypes de genre, malaise, les collaborateurs et collaboratrices multiplient les angles d'approche afin d'approfondir la réflexion sur ces enjeux nécessaires. Ensuite, dans la rubrique « Peinture », découvrez le travail de Manuel Mathieu. Puis, David Dorais aborde Entrez dans la danse dans la rubrique « Ces livres dont on dit du bien ». Georges Privet, lui, s'attarde à ce que la série de films The Purge dit de l'évolution de l'Amérique dans la dernière décennie. Enfin, lisez également la deuxième partie de l'essai de Stanley Péan sur le jazz et la condition noire.