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Détails produits
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Auteur(s)
François Villon
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Traducteur
JEAN DUFOURNET
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Éditeur
Flammarion
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Distributeur
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Date de parution
26/08/2020
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EAN
9782080230744
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Disponibilité
Disponible
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Nombre de pages
482 Pages
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Action copier/coller
Non
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Action imprimer
Non
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Partage
Dans le cadre de la copie privée
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Nb Partage
6 appareils
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Poids
2 447 Ko
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Diffuseur
Flammarion
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Entrepôt
Eden Livres
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Support principal
ebook (ePub)
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Version ePub
3.0
Infos supplémentaires : Multilingue
Accessibilité
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Biographie
François Villon
- Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Villon
- Naissance : 1-12-1431
- Décès :1-1-1463 (Mort il y a 561 ans à l'âge de 32 ans)
- Pays : France
- Langue : Francais
1431- ?
Oeuvre courte et gloire posthume qui ne s'est jamais démentie... La vie aventureuse du poète y est sans doute pour quelque chose.
François de Montcorbier ou des Loges naquit l'année où mourait Jeanne d'Arc. Orphelin, il fut élevé par un chanoine, Guillaume de Villon, dont il prit le nom. En 1452, il est maître ès arts et poursuit des études de droit. En attendant un bénéfice ecclésiastique, il s'amuse avec d'autres étudiants. Au cours d'une rixe, il tue son adversaire et doit s'enfuir. Pendant quelques années, il erre sur les routes de province. On le retrouve en prison à Orléans en 1461. Rentré à Paris, il est impliqué dans un vol, puis dans une nouvelle rixe. Ses protecteurs ne sont plus en place et le pouvoir royal veut rétablir l'ordre. Un arrêt du parlement (1463) le frappe de bannissement pour dix ans. On perd alors sa trace.
Dans les quelque 3000 vers qu'il nous laisse, Villon s'est insurgé contre la vie facile des moines et des ordres mendiants ou contre les grands et leur avidité. Amant trahi, voluptueusement pervers, il n'a jamais perdu le sens de la vraie tendresse humaine. Poète, il l'est doublement par son esprit humoristique et son lyrisme moderne. "Ce bon folâtre rit en pleurs" comme en témoigne l'épitaphe écrite peut-être à quelques heures d' intervalle de la poignante Ballade des Pendus:
Je suis François, dont il me poise,
Né de Paris emprès Pontoise,
Et de la corde d'une toise,
Sçaura mon col que mon cul poise